mettre en avant les différents passages dans vos RPs qui montrent une interaction entre votre personnage et son familier.LIEN - "Malachy se penchait sous la table, cherchant du bout des doigts à atteindre le crâne de son chien, qui le regardait, l’air de ne pas comprendre pourquoi ce soir-là, le banquet tardait tant à apparaître sur les tables. Il rêvait déjà de lécher l’assiette de son Maître, sale bête. "
LIEN - "Tibère, comme soudainement réveillé, releva le crâne et engagea ses pattes arrières pour le suivre. Peut-être que ça le mènerait vers de la nourriture ? S’accroupissant près de son ami, de sorte à se tenir à peu près à sa hauteur, il porta son regard vers le même objet que lui. "
LIEN - " Tibère en fit de même, c’était un vieux chien avec l’odorat d’une mouette, mais à l’ouïe toujours particulièrement fine. Pas grave ; Malachy avait suffisamment d’odorat pour deux. Il fila vers la porte, attendant qu’on toque, remuant l’arrière-train. Ramona entrant dans la pièce, Tibère se montra toutefois soudainement plus soumis, filant entre les pattes de son maître. Il devait sentir chez elle sa nature lupine, et ne pas savoir que faire avec. "
LIEN - "Tibère, surpris de cette interruption tardive – il ne connaissait pas encore bien son maître, haussa le crâne, et prit même la peine de hausser son arrière-train pour joindre la porte, au moment même où Malachy s’exclamait : « entrez ! »."
LIEN - "Mona, de l’autre côté de la pièce, gratouillait son chien en demandant à Malachy comment il s’appelait. « Tibère », s’exclama-t-il, exprès. La pauvre bête se crut en faute, et fila se réfugier entre les pattes de son maître, semblant lui demander pardon. « Tiberius, en fait. Je l’ai adopté récemment à la ménagerie du Chemin de Traverse. Il appartenait à un vieux sorcier mort pendant la guerre. » Un mangemort, sûrement, se garda-t-il de préciser. Du bout des doigts, il tendit la chocogrenouille à son ancienne élève. « Tient, pour toi. Le pauvre, j’essaye de lui faire comprendre qu’il n’a pas besoin de courber l’échine à chaque fois que je hausse la voix, mais on n’y est pas encore, comme tu peux le voir. » il souriait, manifestement amusé par sa bête, qu’il caressait désormais entre les deux oreilles. « Je dois puer, pour lui. Puer le loup-alpha. »"
LIEN - " Malachy avait choppé deux bouteilles de bières et son chien pour rejoindre Lemony dans ses quartiers. Tibère adorait son chat ; pas certain que l’inverse ne soit aussi probant, mais le main coon n’aurait qu’à grimper sur une étagère pour narguer Tibère, qui serait bienheureux ainsi. Malachy lui avait juré – au chien – que toute son excitation n’avait aucun rapport avec la Lune, puisqu’on en était au strict milieu du cycle. Ce n’étaient pas ses humeurs qui lui jouaient des tours, avait-il aboyé, alors qu’il courait dans le couloir et que le vieux chien peinait à suivre derrière lui."
LIEN - "avancées par le TUSH – Séléné, personne ne s’était-il toutefois opposé à ce nom ? Malachy caressa le haut du crâne de Tibère qui s’était calé entre les jambes, et qui réclamait déjà l’une de ces tranches de bacon apparues comme par magie dans l’assiette de son maître. Il jeta un œil à Lemony. Comment avait-il fait, à peine quelques mois après que Rogue lui avait filé le poste de Directeur des Serdaigle ?"
LIEN - "Entre ses mains, il tenait un petit parchemin – Tibère aboya, en le voyant s’approcher de la table. Un aboiement rauque, qui résonna dans tout le hall. Il devait sentir la tension de son maître, au-dessus de lui. De nombreuses têtes s’étaient tournées vers la table des professeurs, comme appelées à le faire par le chien. "
LIEN - "Elle termina son verre d’une traite, il regretta d’avoir déjà fini le sien. Comment en étaient-ils arrivés là ? Tibère tournait sur lui-même, cherchant que faire, où se tenir, sur quelle patte danser. Malachy continuait d’écouter, considérant qu’Hekate n’en avait sans doute pas finit de lui. "
LIEN - "Notre Loup ne pouvait plus marcher avec les mêmes foulées que ça avait un jour été le cas, à cause de son nouveau chien. Son nouveau mais très vieux chien. Tibère traînait la patte, alors que son maître l’entraînait à accélérer le pas. [...] Peut-être le chien rendrait-il la pilule plus agréable à avaler ? Il n’y avait qu’à le regarder, impossible de s’énerver en sa présence … « N’est-ce pas, mon gros ? Tu vas m’aider ? » chuchotait-il, pour se rassurer. Ils étaient désormais arrivés dans l’aile où logeait Hekate. Atteignant bientôt sa porte, il s’accroupit près du chien, et du bout de sa baguette, il collecta toute la bave qui débordait de sa gueule. "