Pansy Parkinson était chez les Serpentard ; elle est aujourd'hui Pandora Parkinson, rédactrice chez Witch Weekly. Elle est orpheline de père et de mère, et elle est aussi la dernière héritière de la famille Parkinson. Cela fait d'elle une lady. Sa famille a été ruinée par la guerre et les amendes dues au gouvernement magique pour collaboration avec le Seigneur des Ténèbres. C'est la raison pour laquelle elle travaille aujourd'hui. Contre toute attente toutefois, son métier lui plaît. Elle est ambitieuse, travailleuse, moqueuse et fêtarde. Elle vit dans le dernier reliquat de la fortune familiale, une maison londonienne dont elle loue quelques chambres, où règne l'ordre au milieu des mille breloques ramenées du manoir familial vendu après la guerre.
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Toi Je veux un lien ! T'es belle, tu t'habilles trop bien (okay, je suis complètement superficiel) et tu bosses dans un journal. Je te fais des réducs contre un bon article, ou je te raconte ce qui s'y passe si tu mentionnes le Petit Ogre (on a du beau monde). Bon par contre, j'suis un cracmol, mais j'suis arrangeant comme garçon.
Comme dit, @Ernest C. Fawley et Pando ont rdv tous les mois au Petit Ogre, on peut imaginer que c'est comme ça que Pando a fini par "remarquer" les Price. Elle devait pas vraiment faire gaffe à eux, rapport à leur statut de sang. Mais on peut imaginer qu'elle est tombée sur des photos de ce à quoi ressemblait le Petit Ogre avant, et qu'elle a du mal à reconnaître le resto qu'elle a choisi précisément pour son élégance, et du coup, elle aurait d'abord écrit un article sans trop en parler, et après, un portrait de Rhys. Ou au moins, elle aurait voulu en écrire un (peut-être que question discrétion euthanatoï, il refuserait, mais ça n'empêcherait pas Pando de le tanner avec ça)
Alors la discrétion selon Rhys consiste à faire beaucoup de bruit pour détourner l'attention, donc il n'y a aucun soucis pour l'entretien, au contraire il aurait été absoluement ravi de raconter comment il a trouvé l'inspiration en allant travailler pour des chefs français et japonais, etc etc. (Bref, l'histoire officielle des Price, en long, en large et en travers). Et comme d'habitude, le tout entrecoupé de large compliments parce que "mon dieu mes que cette tenue est belle, qu'est-ce qu'elle est bien porter" et tout, parce que Rhys est très très démonstratif.