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| Mer 20 Nov - 10:19 | Uriel Jack Lewis Coeur d'Occamy Nom Lewis ; Prénoms Uriel Jack ; Âge 27 ans ; Date de naissance 12 avril 1976 ; Lieu de naissance une petite clinique moldue londonienne ; Signe astrologique Bélier, mais s'il y a bien un truc dont Uriel se fout, c'est l'astrologie ; Nationalité anglaise ; Statut Civil célibataire ; Préférences sexuelles son job, ça compte ? Il n'est cependant pas totalement étranger aux charmes féminins comme masculins du moment qu'il y a un cerveau fonctionnel au milieu de toutes ces cellules ; Statut du sang sang mêlé ; Tradition Ordre d'Hermès par sa mère Isabel Mappleton, Choeur céleste par son père adoptif, Jonas Lewis ; Baguette Acacia et plume de phénix : la baguette est caractérielle, mais le côté très posé d'Uriel a toujours contrebalancé la fougue de l'instrument ; Patronus une souris blanche ; Dons imbattable avec du fil et une aiguille, que ce soit pour recoudre des plaies à la moldue ou repriser des chausettes ; Pouvoirs savoir rire sur commande à n'importe quelle blague... Il faut bien ça pour travailler aux urgences ; Particularités fils illégitime de Lucius Malefoy. Activité Professionnelle, études, métier, autre Infirmier en poste à l'hôpital Sainte Mangouste, service des Urgences depuis deux ans. CARACTÈRE / ANECDOTESS’il est une vertu que tu as su faire tienne depuis toutes ces années, c’est la patience. Comme ton père (adoptif) tu as toujours été d’un naturel plutôt contemplatif. Tu aimes la sérénité et la tranquillité et détestes être dérangé dans ta petite bulle. Tu fais partie de ces êtres qui savourent les choses simples de la vie comme les plus précieux trésors. Une tasse de thé en famille, un bon livre, un coucher de soleil. Avenant, tu l’as toujours été. En des temps où chacun se méfiait des Serpentards, tu as toujours été le quota le plus jovial et affable de ta maison. T’eût-on demandé que tu aurais donné de ton temps et de ton attention à n’importe quel enfant ou adolescent de Poudlard. Gentil benêt travailleur, c’est ainsi que l’on te définissait, et tu continues de l’être. Doux et souriant, tu sais à nul autre pareille endormir l’ennemi. Après tout, la gentillesse t’a toujours permis d’arriver à tes fins plus sûrement que l’arrogance de certains de tes paires. Et toi, contrairement à nombreux de tes petits camarades, tu es toujours en vie et bien intégré dans la société après la guerre. Diable sous les traits d’un agneau. Manipulateur, tu l’es un peu. Juste ce qu’il faut pour survivre. Tu es cependant quelqu’un de fondamentalement bienveillant. Tu ne fais pas partie de ces gens souhaitant écraser les autres à tous prix. Tu as toujours préféré la douceur et la subtilité. Les mouches, c’est avec du miel qu’on les attrape.
CURRICULUM VITAE1. Tu es né après neuf mois de tourmente pour ta mère. La jolie Isabel Mappleton n’avait que dix-neuf ans lorsqu’elle est tombée, comme d’autres femmes, dans les griffes d’une escouade de mangemorts avides de rappeler à ces nées-moldues leur place dans la société. Tu n’as dû qu’à ses convictions religieuses de n’être pas avorté, mais lorsqu’elle t’a regardé dans les yeux à la naissance, elle a vu le regard inexpressif de son violeur. Il lui a fallu tout son courage et tout le soutien de tes grands parents pour ne pas t’abandonner. Mais tu as vite appris que les voies du Seigneur étaient impénétrables. Tes grands parents ont un rapport ambigu à la magie : d’un côté, c’est un miracle divin offert à leur fille, d’un autre côté, c’est souvent la marque du Diable. De conciliations mentales en contradictions internes, ils en sont arrivés à la conclusion que le viol subi par leur fille est une épreuve divine pour la purger de l’impiété de sa magie. Et toi, tu es à la fois l’artisan de son malheur et de son salut. Que de poids sur de si petites épaules.
2. Il fait mauvais genre pour une fille d’être mère célibataire sans emploi. Elle travaille dans la boutique familiale en tant que réceptionniste pour décharger ta grand-mère. Tu grandis donc dans la maison familiale pendant tes trois premières années. A l’étage, toute la famille habite, au rez-de-chaussée, les macchabées dorment : tes grands parents gèrent des pompes funèbres chrétiennes. Dans ta quatrième année d’existence, ta mère fait la connaissance de celui qui deviendra ton père adoptif, Jonas Lewis. Ancien séminariste, de cinq ans l’aîné de ta mère, il est revenu en Grande Bretagne après avoir passé quelques temps sur les bancs de Rome. Dieu n’est finalement pas sa voie, mais il est certainement sa voix. C’est son timbre profond qui séduit ta mère, autant que sa bienveillance emprunte de charité chrétienne. Et en plus, il plaît à ses futurs beaux parents. Toi ? Tu te souviens encore de votre première rencontre. Il a demandé à ta mère où était ton père. Elle a dit « mort » d’une voix neutre. C’était la première réponse que tu avais : quand c’était toi qui posait la question, ta mère se contentait de détourner les yeux.
3. Quand tu reçois ta lettre pour Poudlard, tu es dans la cuisine de l’appartement que tu partages avec tes parents, prêt à affronter ta dernière semaine d’école avant les vacances d’été. Ta mère prépare des œufs brouillés, ton père prépare les cours de la matinée qu’il donnera à sa classes d’enfants dont tu fais partie. La petite école catholique du quartier n’accueille pas beaucoup d’enfants, mais elle a le meilleur professeur que tu connaisses : ton père. Bien qu’il ne soit pas ton vrai père, il t’a donné son nom et il semble t’adorer. C’est comme s’il voyait que tu souffrais de la distance un peu froide qu’il y a toujours entre ta mère et toi et qu’il voulait compenser. Tu sais qu’il est important pour ta maman. Tu l’as vu la prendre dans ses bras lorsqu’elle se mettait à pleurer le soir en disant qu’elle ne pouvait pas supporter qu’il soit aussi gentil avec elle alors qu’elle ne pouvait même pas supporter qu’il la touche. Tu n’as jamais compris pourquoi ta maman disait ça : tu l’as déjà vue main dans la main avec ton père, et tu vois bien aussi son sourire lorsqu’il pose un baiser sur sa joue avant d’aller travailler. Tu es très surpris d’apprendre que tes parents sont des sorciers, parce que tu n’as jamais vu ta mère faire de magie, et celle de ton père ne fonctionnant qu’à la voix, tu ne t’étais jamais rendu compte que sa capacité à apaiser les gens ou les influencer en parlant était magique… Et surtout, tu comprends pourquoi tes grands-parents parternels et lui t’ont forcé à devenir enfant de choeur à la paroisse du coin où tu as appris à chanter. Tu vois bien que ta maman hésite à te laisser partir à Poudlard, elle te dit que tu n’es pas obligé d’y aller si tu ne veux pas, mais tu vois aussi que ce serait un soulagement pour elle de ne plus te voir tous les jours… Tu sais qu’elle t’aime, mais tu vois aussi les longs regards qu’elle te lance parfois. Ton père te dit que lui, quand il était jeune, il n’y est pas allé et qu’il a regretté de ne pas avoir connu cette expérience. Quelque part, c’est ça qui te décide.
4. Tu entres à Poudlard en 1987. La paix règne dans le monde magique, puisque le méchant Voldemort et ses cohortes de mangemorts ont disparu. Tu es réparti à Serpentard après une grosse hésitation du Choixpeau qui te voyait bien à Pouffsouffle. Mais ton sourire angélique est suspect, disait le choixpeau, il pourrait induire en erreur n’importe qui. Tu ne vois pas ce dont il parle, mais tu sais que ton père t’a toujours dit que le meilleur moyen d’arriver à ses fins, c’était par la bienveillance et la gentillesse. Te voici donc élève à Poudlard, et il semblerait même que tu arrives à faire fondre le coeur aride de Severus Rogue. C’est surtout quand tu lui as dit que ta mère était Isabel Mappleton avant son mariage. Il a eu l’air de se troubler un peu, mais t’as, après, pris sous son aile… Personne n’a trouvé ça bizarre : Rogue a toujours été connu pour favoriser ses Serpentards, et vu le nombre de griefs accumulés contre ta maison par les autres, tu n’as pas questionné cette bonne fortune. En plus, même si tout le monde semble détester les serpentards, pour une raison inexplicable, tu n’as que très peu d’ennemis. « Mais il est gentil, Uriel, lui. C’est à se demander ce qu’il fout à Serpentard ». ça, tu l’entendras tout au long de ta scolarité. Tu es travailleur et poli, sympa. Ça te permet de te faire un nom dans le très sélect club de potions et tu fréquentes pendant tes sept années la chorale de Poudlard. A chaque vacances, tu reviens chez tes parents. En grandissant, tu vois bien que ta mère devient de plus en plus distante à mesure que tu perds ton visage d’enfant pour devenir un jeune homme. Ton père t’as dit un jour que c’est parce que tu rappelais à ta mère ton père biologique. Tu en as déduit que c’est parce qu’elle était triste du décès de ton père biologique qu’elle n’en parlait jamais, se braquait quand tu essayais de lui poser des questions, ne laissait pas ton père l’approcher, et qu’elle avait du mal à te regarder dans les yeux. Tu te mets à questionner ton entourage : tes grands parents maternels ne te sont d’aucune utilité : ils répondent que pour ta mère, tu es un cadeau divin. Ça te fait une belle jambe à toi qui ne sait même pas comment s’appelle ton père biologique. Alors tu te raccroches comme tu peux à la famille que tu connais : ton père est le meilleur père du monde. Ton directeur de maison est le meilleur directeur de maison du monde. Tu es ami avec de nombreux élèves de l’école, toutes maisons et années confondues. Tu travailles souvent avec un petit groupe d’amis Serdaigles et Serpentard et, pendant sept ans, votre groupe d’étude rafle le haut du classement. Toi, tu es bon en potions, sortilèges et en botanique particulièrement, mais tu as des bases très solides un peu partout. En plus, tu aimes apprendre et aider ton prochain. Dès tes quinze ans, tu sais que tu veux être médicomage : guérisseur ou infirmier. Tu n’as pas envie de faire des études interminables, alors tu optes pour infirmier. Tu passes tes trois dernières années à demander des conseils en médicomagie à Poppy Pomfresh et à dévorer des atlas de médecine. Tu auras la chance de bénéficier de lettres de recommandations particulièrement élogieuses de la part de Severus Rogue et Poppy Pomfresh qui, ajoutées à ton dossier excellent, te permettront d’intégrer la formation d’infirmier à Sainte Mangouste.
5. Même si, après trois ans d’études et de stage à la suite de tes ASPIC, tu finis infirmier, tu ne commences pas ta carrière aux urgences, mais bien en service des pathologies mentales. Tu as continué d’étudier avec ton père la magie des Choeurs Célestes, et même si tu n’es pas aussi bon que lui, ton père t’a enseigné des bases très solides. La plupart des patients souffrant de pathologies mentales de naissance ou à la suite de traumatismes ou d’enchantement sont réceptifs à ta voix et la magie des choristes célestes. C’est une période sombre que la fin de tes études et le début de la vie active : une nouvelle guerre explose. La santé mentale de ta mère se dégrade rapidement. Pour une raison qui t’échappe au début, ta mère semble terrorisée à l’idée que des mangemorts puissent la retrouver ou l’attaquer. Tu supposes que comme elle était jeune lors de la guerre précédente, elle a peut-être été traumatisée par les attaques. Mais tu commences à soupçonner quelque chose à mesure que les pressions s’intensifient. Potter est porté disparu, les nés moldus sont censés se recenser et son bannis de Poudlard en 1997, ta mère fait une première crise de panique en lisant le journal annonçant la nomination de Severus Rogue en tant que directeur de Poudlard. Tes réactions sont mitigées : il t’a aidé et soutenu tout au long de ta scolarité, mais il semblerait bien qu’il soit un mangemort. Ta mère qui sait que tu as été proche de cet homme t’implore de ne plus jamais t’approcher de lui de peur d’être blessé pour être le fils d’une née moldue. Bien que tu arrives à la calmer, tu prends ton père entre quatre yeux et lui demande de t’expliquer ce qui se trame. Tu apprends finalement, à force de dispute, que ton père biologique est un mangemort. Tu écartes Rogue directement : vous n’avez pas du tout le même physique, mais tu ne peux pas t’empêcher de penser à Malefoy ou Avery, blonds tous deux, et mangemorts notoires tous les deux, mais ça ne colle pas : ta mère t’a dit que ton père était mort. Tu sens que ton père ne t’as pas tout dit, et les réactions de terreur de ta mère dès que l’on parle de mangemorts ou de Voldemort te laisse présager plusieurs scénarii : peut-être que ton père biologique a rejeté ta mère après avoir découvert qu’elle était une née moldue ? Peut-être que ton père a même été tué par ses anciens camarades pour avoir osé fréquenter une née moldue ? Et le calvaire subi par ta mère prend une toute autre tournure dans ta tête : tu ne peux pas t’empêcher de penser à quelque chose digne d’une épopée romantique à la place de la sordide vérité.
6. Voldemort est mort, vive Potter. Ou l’inverse, tu ne sais pas bien : Potter comme son ennemi de toujours ont disparu, et toi, te voilà infirmier jeté la tête la première dans les urgences. On manque de monde, les blessés sont innombrables et tu t’inquiètes pour ta mère. Elle semble osciller entre ravissement et terreur. Ton père t’a dit qu’elle ne dormait quasiment plus et qu’elle faisait de nombreux cauchemars ; elle est tellement sur la brèche que ton père arrête même de travailler pour rester avec elle pendant quelques mois. Tu devines que la première guerre des sorciers a été éprouvante pour elle. Tu espères juste que la deuxième est bel et bien finie. Tu n’es pas sur que ta mère supporterait un nouveau conflit. Tu la vois s’apaiser à mesure que les mangemorts sont attrapés, tu sens que ça lui fait u bien, que ça la rassure. Alors dès que tu entends parler d’une bonne nouvelle, d’un procès s’achevant par une incarcération ou d’une capture, tu te fais fort de la tenir au courant. Lorsque Potter revient, elle semble enfin se tranquilliser : la guerre est bel et bien finie. La vie reprend tout doucement son cours jusqu’à l’été 2003. Alors que tu rentres à la maison après une bonne et longue journée de travail aux urgences, tu vois cet officiel du Ministère en grande conversation avec ton père. Tu sais que ça sent les mauvaises nouvelles. Tu demandes où est ta mère. On te répond qu’elle a été tuée dans un attentat perpétré par Lestrange.
7. Le décès de ta mère est plus dur à encaisser que ce que tu aurais cru. Même si vous n’avez pas été les êtres les plus proches du monde, c’est ta mère. Elle t’a donné la vie. Tu as passé vingt six ans avec elle et avec ton père. Tu sais qu’elle n’a jamais pu dépasser les circonstances de ta naissance, que tu lui as toujours rappelé ton père biologique auquel tu ressembles. Tu supposes qu’elle devait être profondément triste à chaque fois qu’elle te regardait, mais tu l’aimes, ta mère. Et tu sais qu’à sa façon, comme elle pouvait, elle t’a aimé aussi. Ton père et toi vous soutenez. Tu repousses tes envies de déménagement pour rester avec lui. Il est profondément affligé et tu le vois, à présent, te regarder étrangement, comme ta mère le faisait avant lui. Il pèse le pour et le contre et cède finalement. Un soir, il prend cet air grave qu’il a toujours avant de te parler de quelque chose important. Le testament de ta mère va être ouvert le lendemain, il semblerait qu’il se doute de ce que vous y trouverez. Alors il te dit tout. Tout ce qu’il sait sur le viol de ta mère et les circonstances de ta naissance. Il ne connaît pas l’identité de ton père biologique, mais il t’avoue qu’il a toujours su. Ta mère lui en a parlé le jour où il l’a demandée en mariage parce qu’elle estimait qu’il devait savoir. Tu es ébranlé. Toute ta vie prend une couleur différente. Tu en veux à ta mère de ne te l’avoir jamais dit, et en même temps, tu admires la folie et l’abnégation qui l’ont poussée à te garder et t’élever. Tu as toujours su que tu n’étais pas le fils de l’homme dont tu portes le nom, mais tu n’aurais jamais pensé être le rejeton d’un crime subit par ta mère au nom d’une idéologie pro-sang pur. Mais le lendemain, à l’ouverture du testament de ta mère, tu lui es reconnaissant de t’avoir prévenu la veille : apprendre qu’on est le fruit d’un viol est une chose. Apprendre que l’ennemi public numéro un, Lucius Malefoy, est ton père en est une autre. heureusement que le testament a été ouvert à huis clos.
FT. Charles Chuck Bilgren (et ça a été bien galère de trouver un acteur blond et jeune !) ; Pseudonyme Appl3pie ; Âge 19 ans ; Comment as-tu trouvé le forum ? PRD ; Un petit mot à ajouter ? Les annexes sont trop cool ! ; Ta fréquence de connexion 5/7. |
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| Mer 20 Nov - 11:16 | Diantre =O Mon fils =D Tu as fait ma journée =D Dans mes bras mon petit bout de chou =D
Bienvenue sur le forum =D Je suis tellement contente de voir ce scénario re-volé =D Il a déjà été un peu joué sur le forum, mais très peu, de sorte que tu sois parfaitement libre concernant tes liens et ta façon de l'interpréter =D Je sais que le joueur précédent avait des liens avec @Severus Rogue notamment, et, je crois, @Winnie Carrow, si jamais tu désires les contacter =D
Au besoin, n'hésite pas à me MP si tu veux des précisions sur le personnage ou sur les choristes célestes =D Je ne connaissais pas cet acteur ou mannequin ? Mais il est très chouette =D |
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hiboux : 1257 pictures : | Ven 22 Nov - 9:10 | Oh oooh, mais quelle excellente nouvelle ! Comme je suis heureuse de voir ce scénario repris dans la foulée ! Et quel début de fiche ! J'aime énormément ce que tu décris dans la relation d'Uriel avec sa mère, les réserves invincibles de la maman et l'impossibilité d'Uriel de penser qu'elle ait pu subir des horreurs tant qu'il n'a pas été mis lui-même devant la révélation... Très juste, très bien trouvé, très bien écrit. Hâte de lire la fin de ta fiche, jeune homme ! Comme l'ont dit mes collègues plus tôt, le précédent joueur d'Uriel n'a pas beaucoup joué et tu es donc encore très libre sur ton interprétation du personnage. Profites-en ! Si tu as la moindre question, bien sûr, n'hésite pas à contacter un membre du staff ! |
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