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Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage
 :: Salon de Thé & Bar à chats :: SAISON 1 :: Fiches présentation

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Farah Zahab

Farah Zahab
MEMBRE
hiboux : 20
Sam 21 Nov - 19:59
Farah Zahab
Corne de Licorne
Nom Zahab, le nom de papy, un nom de clan dont tu ne peux t’empêcher d’être fière malgré la tradition dont tu questionnes l’éthique ; Prénoms Farah, une lumière aimée ; Âge 25 ans ; Date de naissance 21 janvier 1979 ; Lieu de naissance le Caire, maison familiale ; Signe astrologique Tu n’y connais rien en astrologie… c’est très ironique quand on sait combien l’astrologie doit aux astronomes et mathématiciens des califats d’antan, mais tu es très forte en arithmancie… est-ce que ça compense ? ; Nationalité égyptienne de coeur et de sang ; Statut Civil célibataire, tu te trouves encore trop jeune pour te caser, manque de chance pour ta mère, tu es carriériste… tu tiens ça d’elle. Tu espères un jour trouver un homme qui te laisse libre de voler de tes propres ailes plutôt que de te les couper ; Préférences sexuelles hétérosexuelle ; Statut du sang tu es un sang-mêlé de deuxième génération (ta grand-mère paternelle est un nagin, le reste de ta famille est constituée de sang purs de bonne famille euthanatoi) ; Tradition Euthanatos, même si tu questionnes l’éthique de certaines pratiques, tu restes très attachée à ta famille et à tes origines. Tu fais partie de cette jeune génération d’euthanatoi qui espère faire mieux que les prédécesseurs : tiens, sur le focus par exemple, ne peut-on pas envisager le choix de victimes destinées à mourir et leur procurer une euthanasie souhaitée par elles ou la famille ? Et est-on bien sur qu’il n’y a pas d’autres moyens d’obtenir le même effet que ce rituel sanglant ? Un focus « végan » par exemple ? A-t-on seulement fait des recherches ? Il faut sans arrêt corriger les choses ! Ne jamais se reposer sur ses acquis et les coutumes ancestrales ! ; Baguette ou autre focus Malgré ta grande répulsion à le faire, tu utilises exclusivement ses tatouages en tant que focus, tu n’as jamais appris à te servir d’un autre focus et ne le souhaite pas. Tu espères, en revanche, pouvoir offrir un jour à tes enfants une alternative au rituel sanglant que tu as vécu toi-même et qui reste le plus grand traumatisme de ta vie, même dix ans après ; Patronus un scarabée ; Dons aucun ; Pouvoirs occlumancie depuis peu, tu as appris à méditer et calmer ton esprit depuis toute petite, mais tu n’as vraiment pris le coup de l’occlumancie auprès de ton papy qu’aux dernières vacances de l’hiver 2003 lorsque tu es rentrée au Caire pour profiter de ce temps avec ta famille. Le chemin de la méditation qui t’a conduite à l’occlumancie t’a beaucoup aidée à surmonter le traumatisme de ton quinzième anniversaire en t’aidant à accepter ton geste, tes doutes, ton sentiment de culpabilité qui alimentent aujourd’hui toutes tes décisions et tes choix de vie. Tu as fait le mal, mais tu es prête à aider le monde à devenir meilleur aussi ; Particularités Tu ne cherches pas spécialement à cacher tes tatouages qui représentent, assez ironiquement, des sourates du coran en arabe entremêlées d’entrelacs orientaux mais tu es bien contente que la plupart d’entre eux soient cachés sous des vêtements… Par contre, c’est toujours une plaie d’expliquer ton athéisme à quiconque les voit… Comme si tu les avais choisis ! Activité Professionnelle, études, métier, autre Doctorante en droit international à l’Université d’Oxford financée avec une bourse de l’Université, tu es aussi actuellement stagiaire dans un cabinet d’avocat moldus de Londres et tu as entamé depuis peu la rédaction de ton travail de thèse après avoir validé tous tes semestres à Oxford avec mention.
CARACTÈRE / ANECDOTES
Tu es passionnée, personne ne pourra dire le contraire. De ces caractères tout feu tout flammes qu’on adore ou qu’on déteste. D’ailleurs, il n’y a pas l’ombre d’un doute, si tu avais été à Poudlard, tu aurais été envoyée à Gryffondor, que tu sois répartie à onze ans ou à vingt cinq. Durant ton enfance, toute cette force de travail et d’enthousiasme que tu avais était dirigé vers tes études. Une bonne élève, brillante, même. Elevée dans un cadre strict, tu n’as eu de cesse que de rendre tes deux parents fiers de toi dans tous les aspects de ta vie. Tu as appris les sourates du Coran, tu as révéré Dieu, tu t’es appliquée à exceller en astronomie, en mathématiques, en théorie magique. Tu as appris à te battre comme le font tous les euthanatoi. Un esprit brillant dans un corps sculpté par l’effort physique. Un mental d’acier. Tu étais parfaite. Mais ta mère t’a toujours dit que tu as un trop grand coeur. Ton père ne l’a jamais dit, pas directement, mais il a du le penser aussi. C’est par ton coeur que la ruine arrive. Lors de ton quinzième anniversaire, le choc de devoir tuer quelqu’un est si grand que, bien que tu saches te battre depuis ton plus jeune âge, tu hésites, tu le fais, en pilote automatique, lorsqu’il se défend… Et tu vomis tes tripes à même le sol lorsque commence le rituel. Pendant des jours, tu envisages de te laisser mourir, de te rendre à la justice, d’agir d’une façon ou d’une autre. Ton grand cœur a toujours fait de toi une amoureuse de la justice, une battante. Tu as toujours plus ou moins su que les activités de ta tradition n’étaient pas les plus légales ou respectables qui soient, mais on t’a toujours dit que vous agissez pour le bien, que vous êtes les garants de l’équilibre. Il faut parfois agir de façon immorale pour le bon déroulement des vies humaines, de la marche du monde. La mort est une part de la vie, et il faut savoir parfois tuer quelqu’un pour lui offrir une belle mort, un départ digne plutôt que rongé par d’incurables maux… et pourtant, lorsque tu t’es retrouvée face au geste à accomplir, tu n’as pas eu l’impression de faire une activité louable. Lorsque ta famille t’a félicitée, tu n’as eu qu’envie de pleurer.
A la suite du choc de ton rituel, tu as renié Dieu alors que la religion avait une place si importante dans ta vie. Toi qui voulait toujours agir en suivant les sourates sacrées dictées au Prophète, tu t’en es détournée : si Dieu autorise les euthanatoi à exister et à agir de la sorte pour obtenir leurs pouvoirs, c’est qu’il n’existe pas ou se fout de l’humanité. Dans les deux cas, tu refuses désormais de prier un être désincarné qui n’a pas empêché ton geste. Qui n’a pas envoyé de signe. Dieu n’a pas pu sérieusement vouloir ça ! Et ces sourates tatouées sur ton dos ne t’aident pas du tout. Elles sont l’expression de la ferveur religieuse qui a guidé ta main au moment fatidique juste avant que ton esprit ne se brise. Tu es ouvertement athée au sein de ta famille proche ou dans les pays occidentaux mais tu fais profil bas à chaque fois que tu reviens au Caire… pas tellement sûre de la façon dont Papy Hakim le prendrait…
Tu es désormais animée par un besoin presque maladif d’expier ta faute. Tu veux le faire non pas dans la foi mais dans la réforme. Tu veux mener les euthanatoi vers une ère de progrès social et culturel. Les traditions vieilles de centaines, milliers d’années doivent être actualisés pour vivre en phase avec la société. Tu crois en des euthanatoi gardiens du cycle de la vie et de la mort, malgré toi, tu crois aussi à leur utilité. Tu ne crois pas en cette tradition mafieuse, en revanche. S’il y avait un moyen d’avoir un focus plus moralement acceptable, tu es certaine que tu pourrais aider ta tradition à entrer dans une nouvelle ère. Une ère où toutes les traditions pourraient co-exister, où les hermétiques, peut-être, désormais largement majoritaires, comprendraient l’utilité de ta tradition et cesseraient de la pourchasser. Tu veux sauver ta tradition de la destruction non pas en préservant ses coutumes mais en l’expurgeant au contraire des coutumes barbares venues d’un autre temps. Pour cela, tu es partie voir le monde, faire des études ailleurs, découvrir les civilisations moldues. Les moldus anglais te fascinent tout particulièrement : contrairement à l’Egypte où le monde moldu et le monde magique sont intimement mêlés, ton père est par exemple ambassadeur chez les moldus et dans le monde magique et nombreux sont les sorciers et euthanatoi au gouvernement, le Royaume Uni et la majeure partie de l’Europe ont adopté un secret magique strict et ont tenté de séparer au maximum les deux mondes. Tu trouves cette façon de faire fascinante : les moldus ont évolué dans leur propre monde et ont fait naître des explications non-magiques, scientifiques du monde… Et ça marche. La plupart du temps, ça marche ! Parce qu’ils n’avaient ni Dieu ni la magie pour répondre à leurs besoins, ils ont du chercher, faire preuve d’ingéniosité. Ils combattent les maladies avec la médecine, jouent avec les chiffres et les concepts abstraits mieux que les sorciers, envoient des hommes sur la Lune et des télescopes géants dans les cieux pour mieux comprendre l’univers. Qui peut se targuer d’avoir posé le pied sur la lune chez les sorciers ? La magie aveugle. Tu veux voir clair et faire voire clairement à ta tradition. Serait-ce si mal que d’entrer dans une ère de progrès ?

Idéaliste ? Jusqu’au bout des ongles.
CURRICULUM VITAE


Une enfance dorée Tu as grandi dans la poussière et les fastes du Caire. Une ville chaude, trop chaude, où les pluies sont rares et où le dénuement côtoie les fastes les plus fous. Tu as été de ces enfants dociles qui veulent faire plaisir à leurs parents à tous prix. Et tes parents sont jeunes et amoureux. Tu es leur aînée. Une fille chérie et choyée. Tu grandis dans une tour d’ivoire faite des légendes de ta famille, de ton peuple, de ta tradition. Tu as su que tu étais une sorcière dès l’enfance. On te l’a dit et répété. On t’a raconté ces histoires merveilleuses des prêtres d’anciennes religions, gardiens du cycle de la vie et de la mort. On t’a parlé de ces héros qui fauchent des vies pour alléger les êtres de leur souffrance. On t’a parlé de la miséricorde, de la compassion de Dieu. On t’a dit que tu étais une élue. Et dans ce petit cocon, tu l’as cru.

En bonne élue, tu travailles dur, tu écoutes tes parents, tu pries, cinq fois par jour au rythme des appels du Muezzin. Tu te tournes vers la Kabaa, tu t’agenouilles, tu pries. Une vie de dévotion et de croyance. Une vie passée dans le secret du domaine de tes parents. Ta mère est pieuse, ton père aussi, à sa manière. Ton grand-père, surtout. C’est avec eux que tu apprends à lire et à écrire, à compter, à reconnaître les astres dans le ciel et à te battre, te défendre. Tu apprends la littérature en arabe, les poètes pré-islamiques, la mythologie et l’histoire de ton pays. Tu écoutes avec fascination ton père te raconter des légendes, le soir. Tu sais que ton grand-père siège au conseil de la tradition, c’est quelqu’un d’important. Tout comme ton père, ta mère, ton petit frère, Hakim. Pendant l’enfance, vous êtes proches. Deux années seulement vous séparent et vous avez la même mère. Plus petite, tu as vu d’un mauvais œil l’arrivée de cette adolescente dans la famille. La deuxième femme de ton père. Neuf années seulement vous séparent et tu ne lui as pas facilité la vie lorsqu’elle est arrivée dans la famille. A six ans, les enfants peuvent être cruels, paraît-il.

Mais tu as appris à l’apprécier, cette étrangère, principalement parce que ta mère a toujours essayé d’apaiser les tensions entre vous. Tu la voyais comme un danger pour la place de ta mère, pour ta place de petite princesse. Mais ta mère t’a toujours dit que ce coeur trop grand, trop tendre, tu l’as hérité de ton père et qu’il aimera toujours également ses compagnes tout comme il aimera toujours tous ses enfants quelques soient leurs mères. Alors tu as accepté la bigamie de ton père et lorsque, dix ans plus tard, tu as tenu dans tes bras d’adolescente le petit poupon qu’était Safia, ta cadette, tu as su que tu avais fait le bon choix en ce qui concernait ta famille.

Un rituel Si, pendant ton enfance, tu as été une petite fille modèle (ou presque), il n’en est plus allé de même à l’adolescence. Ton quinzième anniversaire a été le moment du chamboulement. Tu avais peur, bien sur. Toute ta vie, on t’avait préparée à ce moment. Le rituel. Celui qui t’intègrerait dans la communauté. Tu ne savais pas quelle était la nature exacte du rituel, mais cela ne t’a pas empêchée d’y aller fièrement, frondeuse, presque. Tu étais prête à en découdre. Enigme ? Tu avais l’esprit plus affûté qu’une lame. Combat pour prouver ta valeur ? Ton corps était musclé et entraîné. Entretien avec les aînés de la tradition ? Tu étais incollable sur l’histoire et la philosophie de la tradition.

Avec le recul, désormais, tu sais que tu aurais du le voir venir. Évidemment que le rituel nécessiterait de voler une vie. Évidemment qu’il serait sanglant. Évidemment que le meurtre était ce qui liait la communauté. Mais à l’époque, ça ne t’a même pas effleuré l’idée. Tu t’attendais à des questions, un examen, des épreuves pour prouver ta valeur. Certainement pas un meurtre. Ça n’aurait pas du t’étonner, pourtant. Tu sais que ton père a parfois rempli des contrats, ta mère aussi, même si elle a fini par abandonner cette vie. Ta deuxième mère, surtout. Tu sais qu’elle est reconnue, qu’on l’appelle lorsqu’il faut accompagner une âme dans le grand cycle de la destruction. Et pourtant, lorsque ton père t’a emmenée dans cette ruelle et t’a désigné une petite frappe, un sorcier extatique trop aviné pour se défendre efficacement, bien qu’il soit plus vieux et plus expérimenté que toi, tu as regardé ton père avec incrédulité. Tu as attendu le signe qui t’indiquerait que c’était une blague. Et puis tu as frappé. Tu as pris cette vie, parce que c’était ce qu’on attendait de toi et que tu ne pouvais pas envisager de faire autrement : tu ne pouvais pas envisager de refuser de faire partie de cette tradition si chère à ton coeur, de cette famille si précieuse pour toi. Tu l’as tué. Tu as titubé pendant que ton père réalisait le rituel qui te donnerait accès à la magie de ta tradition, tu es tombée à genoux et tu as vidé le contenu de ton estomac.

Les jours qui ont suivi, tu as peu dormi, hantée par ton geste, hantée par ces sourates sur ta peau et le prix qu’elles avaient nécessité. Tu as saccagé ta chambre, brûlé tes livres, hurlé sur tes parents. Et puis le silence est revenu. Long. Trop long. Tu leur as à peine adressé quelques mots le mois qui a suivi, murée dans l’horreur de ce que tu avais fait. C’est papy Hakim qui est venu te trouver, à la demande de ton père, peut-être. Il t’a proposé de faire avec lui des exercices de respiration. Un souffle menant à autre chose, il a commencé à te faire méditer, à t’aider à ranger ton esprit, à accepter. Est-il aussi passé par là ? Pourquoi personne ne parle du Rituel ? Tous les adultes de ton entourage ont-ils vécu la chose aussi violemment que toi ? Tu n’as jamais osé lui poser ces questions et c’est ta mère qui, des années plus tard, a eu cette discussion avec toi. Après l’obtention de tes tatouages, plus rien n’a jamais été pareil : tu n’as plus réussi à aller prier avec autant de ferveur, tu n’as plus su adhérer à la part la plus sanglante de ta tradition. Et pourtant, tu ne peux pas les rejeter, tu ne peux pas, n’est-ce pas ? Tu as du négocier avec toi-même, avec les limites de ton éthique, de ce que tu acceptes, de ce que tu refuses. Les longues prières à la mosquée se sont muées en longues réflexions sur des dilemmes moraux et tu t’es découverte une passion pour la philosophie.

Tu as continué de t’entraîner, mais la pratique de la magie a toujours été un point délicat pour toi : bien que tu sois douée, en potions, en botanique et en métamorphose, notamment, et que ton esprit brillant t’ai permis de connaître bien, trop bien, parfois, la théorie derrière la pratique magique, tu as toujours eu du mal à aimer faire de la magie : le prix à payer pour avoir ce privilège t’a toujours semblé beaucoup trop élevé.

C’est l’année de tes dix-sept ans, alors que ton cadet atteignait l’âge fatidique de quinze ans que les premières disputes avec lui ont commencé ouvertement. Tu n’as jamais pu t’empêcher de refuser l’idée qu’un jour ta petite sœur, ce petit bambin d’un an qui découvre la vie, soit amenée à vivre le même événement que toi. Tu as cherché, cherché, mais tu n’as jamais trouvé d’autre moyen que ce focus au sein de ta tradition. Tu n'as pas eu accès à beaucoup d'informations sur les autres traditions, et tout ce que tu trouves sur les tatouages-foci émane directement de sources euthanatoi : de sorte que tu ne sache pas, à cet âge là, qu'il est possible de recevoir ce type de focus sans devoir tuer le donneur du sang nécessaire à la réalisation du tatouage. Lorsque tu découvriras cette information, des années plus tard, dans un livre acheté à prix d'or sur l'Allée des Embrumes, tu comprendras que le meurtre chez les euthanatoi est surtout symbolique et qu'il te faudra mener un combat plus idéologique, éthique, que magique. Ce n'est pas qu'il faut investir dans la recherche d'un nouveau focus, c'est qu'il faut faire bouger les mentalités et refuser la barbarie... une tâche tellement plus ardue. Tu as vu ton frère ressortir fier, presque arrogant, de ce rituel. Manifestement, il n’a pas du tout vécu les choses comme toi. Alors Hakim, deuxième du nom, et toi avez commencé à vous disputer, de plus en plus souvent, jusqu’à nécessiter, parfois, l’intervention de vos parents pour mettre le holà. Il est comme ton père : la vie humaine n’a aucune valeur à ses yeux. Cela ne veut pas dire que l’un comme l’autre ne chérissent pas leur vie ou celle de leurs proches, mais ils sont sans pitié et prendre une vie n’est pas plus compliqué que de collecter un ingrédient pour potion. Toi, tu n’as jamais pu t’y faire. Tu te bats, pourtant. Beaucoup. Tu t’entraînes à la box et au maniement des armes blanches cinq fois par semaine, mais jamais dans le but de tuer, jamais pour prendre une vie : tu veux savoir te défendre, tu veux savoir protéger ta famille… ta petite sœur. Et bientôt, il a fallu choisir quoi faire de ta vie parce que tu ne pourrais pas rester une enfant jusqu’à la fin de tes jours. Alors tu as déclaré à tes parents que tu voulais étudier le droit. Et on t’a laissée choisir cette voie, bien que tu sois certaine que ton père aurait espéré te voir changer d’avis et opter pour une carrière plus magique.

Une jeune adulte Tu as commencé tes études à l’université du Caire, un lieu principalement moldu, c’est vrai, dans lequel se cachent quelques sorciers et cracmols. Tu as continué d’habiter la maison familiale, mais l’université a néanmoins été une porte ouverte sur le monde. Toi qui a toujours connu la famille et le clan Zahab, tu t’es mise à découvrir d’abord d’autres euthanatoi, puis d’autres traditions magiques au contact de certains des élèves de ta promo. A cette époque, et pour ne pas alerter tes proches, peut-être… ou peut-être parce que tu n’avais pas encore la force de caractère pour le faire, tu es restée dans le rang : gentille avec tout le monde, souriante, toujours de bonne volonté et facile à vivre. Tu as même opté pour un statut quo avec ton frère cadet, Hakim, lassée de passer ton temps à te disputer avec lui. Et les trois premières années années de ta vie étudiante ont été relativement paisible. C’est après que cela s’est corsé lorsque tu es venue taper du poing sur la table familiale un soir d’été en déclarant que tu voulais partir à Oxford pour ton master de droit international. Comme tu avais l’air moins frondeuse, plus « docile » peut-être, du point de vue de tes questionnements après le rituel, tu as fini par obtenir gain de cause. Ton père a grommelé, ta mère a opiné, les lèvres pincées, ton grand-père a tempêté. Il n’y avait guère qu’Hakim, ton cadet, qui avait l’air d’être soulagé de te voir partir. Il faut dire que vous avez toujours marché sur des œufs en vous côtoyant depuis son rituel, et cinq années de charbons ardents sous le même toit, c’est long et éreintant.

Alors tu es partie pour le Royaume Uni avec ton accent approximatif, ta bonne volonté, ton dossier universitaire sans accroc, le soutien financier de tes parents qui s’est avéré une aide précieuse et ta curiosité. L’arrivée au Royaume Uni a été pour toi l’occasion de rencontrer les euthanatoi de Grande-Bretagne. La famille Zahab étant un peu connue à l’internationale et la coupole ayant eu son mot à dire, ton père et toi avez été officiellement présentés au conseil des Îles Britanniques et tu as eu l’occasion de fréquenter tes confrères et consœurs des îles britanniques à quelques occasions. Même si tu as fait ton devoir en te présentant à toutes les réunions auxquelles tu étais « invitée », tu as toujours fait preuve de beaucoup de discrétion et a toujours été la première à te porter volontaire pour garder les plus jeunes pendant que le conseil et les parents discutaient dans la pièce voisine, sous le poids d’un enchantement de secret magique rendant leur réunion parfaitement confidentielle pour ses participants. Tu as toujours supposé que cela arrangeait tout le monde que tu ne fasses pas des pieds et des mains pour participer à ces réunions : après tout, tu restes une étrangère, ici. Ta famille n’a pas beaucoup de poids, à cette époque, en Grande Bretagne car ton père n’est pas encore ambassadeur. Tu t’es débrouillée pour être irréprochable, mais à l’intérieur, tu bouillonnes. Être loin de ta maison, étudier le droit international, comparer des systèmes juridiques, te poser des questions d’éthique et d’épistémologie… tout ça t’apporte bien plus que ne le fait la fréquentation des euthanatoi : tu désespères de trouver quelqu’un avec qui parler éthique à bâtons rompus au sein de ta tradition… tu aurais probablement trouvé des paires assez ouverts d’esprit pour discuter avec toi si tu avais osé, à cette époque, affirmer tes positions. Mais les euthanatoi te rendent un peu paranoïaque. Tu ne sais que trop ce qui arrive à ceux qui s’opposent à la tradition en Egypte… tu ne sais pas ce qu’il en est au Royaume Uni, mais les tarés comme ton frère sont plus courants que les sceptiques comme toi.

A cette époque là, en plus de tes études, tu entretiens une correspondance acharnée avec tes parents et ton grand-père. Tu donnes régulièrement de tes nouvelles aux premiers, et tu demandes de l’aide au patriarche de la famille pour apprendre l’occlumancie. Tu as déjà fait une part du travail en apprenant à méditer et à organiser ton esprit par le biais de la méditation et de techniques de mnémotechnies comme le palais mental qui t’aident beaucoup à être performante dans tes études, mais tu n’arrives que difficilement à savoir évaluer si tu parviens ou non à fermer ton esprit aux attaques extérieures. Tu sais que tu n’auras pas le choix… il va bien falloir que tu t’entraînes avec quelqu’un qui essaiera de rentrer dans ton esprit et contre lequel il faudra lutter. Autant que ça soit en famille, tu supposes. Même si tu n’es pas spécialement enthousiaste à l’idée d’avoir ton grand-père dans ta tête pour voir tous tes doutes et tes incertitudes quant à la tradition… Peut-être que réciter mentalement des articles de loi ferait une bonne défense ?

Celle que tu es aujourd’hui Tu es restée à Oxford pour commencer ta thèse de doctorat : après trois années à assister et valider tous les séminaires possibles et imaginables et à ne t’accorder qu’occasionnellement le luxe d’un flirt ou d’une sortie, tu revis depuis la rentrée 2003. Tu as enfin le feu vert pour commencer à écrire. Tu as décidé de travailler sur l’Union Européenne et questionner la place de cette structure dans les législations des pays membres : les questions de souveraineté, de coopération et d’organisations étatiques te fascinent et tu espères bien pouvoir apporter ta pierre à l’édifice. Tu as commencé à te relaxer et profiter un peu plus de la vie estudiantine depuis septembre 2003. Après tout, tu as un peu plus de temps libre, et comme tu n’es plus obligée de courir partout pour valider des cours et des séminaires, tu as un peu plus de temps libre. Tu rencontres d’autres chercheurs, tu donnes ta première conférence, tu flirtes un peu avec ce beau gosse célibataire en contrat post-doctoral dans ton labo qui a le bon goût d’être un sorcier, comme toi. Même si tu passes le plus clair de ton temps dans le monde moldu, tu croises parfois des congénères. Il arrive que tes tatouages te permettent de déceler leur magie, mais le plus souvent, c’est un doute, une référence qu’ils ont laissée échapper. Cela ne t’étonne pas, mais au Royaume-Uni, depuis la dernière guerre, pas mal de nés-moldus de ton âge ou de la génération d’avant ont opté pour une vie en périphérie du monde magique. Et ça te plaît. Parce que franchement, cette invention moldue, là, la play station 2, c’est vachement cool ! C’est une de tes amies de labo, moldue, qui te l’a fait découvrir. Tu as bâti un mythe autour de ta famille auprès de tes amis : famille de politiciens, aussi influents que conservateurs, égyptiens. Ce n’est pas vraiment un mensonge… Et clairement, tu ne rendrais ton Final fantasyou l’ordinateur portable que tu t’es acheté pour écrire ta thèse (et découvrir le monde merveilleux de la connexion internet 512 méga) pour rien au monde !  

C’est à l’hiver 2003, alors que tu es revenue passer les vacances au soleil, en Egypte, que tu apprends le bouleversement imminent de ton petit monde paisible : ton père est en très bonne voie d’obtenir un poste d’ambassadeur. La chose ne sera officialisée qu’un peu plus tard, évidemment, mais le plan est dans les tuyaux. Tu as des sentiments mitigés sur la question : si tu es très contente de revoir ta famille, et notamment tes plus jeunes cadets pour lesquels tu t’inquiètes toujours un peu : ton petit frère depuis qu’il a reçu ses tatouages, semble plus renfermé sur lui-même et élude le sujet dans vos lettres, et la petit dernière, Safia, devrait les recevoir tout bientôt, ce qui, évidemment, te met à cran. Tu avais déjà tempêté pour ton plus jeune frère, tu as tempêté à nouveau auprès de ton père pour la petite dernière d'autant qu'à cette époque là, contrairement à l'époque où Hakim devait recevoir ses tatouages, tu as de sérieux exemples pour soutenir tes revendications : certaines traditions y arrivent bien sans le meurtre, les euthanatoi seraient-ils plus cons que la moyenne pour ne pas y parvenir ? Mais tout ça tombe dans l'oreille de sourds : tes parents invoquent les traditions, ton grand-père invoque les légendes entourant les tatouages euthanatoi : faire saigner une victime ne suffit pas, il faut s'abreuver de sa puissance et de sa force vitale en lui volant la vie. Penser que cette petite que tu as tenu dans tes bras enfant va devoir tuer quelqu’un… C’est cet hiver là que tu as enfin la confirmation que tu es parvenue à maîtriser l’occlumancie quand ton grand-père échoue à rentrer dans ton cerveau. Au cours de vos entraînements lors des vacances précédentes, il en a vu assez pour savoir ce que tu penses de la tradition et du focus qu’est le vôtre. Il sait aussi que tu as hérité de ton père d’être parfaitement têtue. Mais comme tu ne fais pas de vague, à ton grand soulagement, tu n’as jamais subi de remontrances… Avec ton père au Royaume Uni, en revanche, ça va peut-être changer.

Tu es là, à l’ambassade, le jour où ta famille débarque officiellement sur le sol anglais. Tu les as vu il y a peu de temps, évidemment, mais là, les choses son différentes. Avec ton père sur le sol anglais, tu sais que, quelque part, les vacances sont finies. Pas que ton père soit un tyran, mais tu n’es plus seulement Farah. Tu es la fille d’un ambassadeur, aussi bien dans le monde moldu que magique. Mine de rien, ça change beaucoup de choses. Tu as toujours prêté attention à la politique de Grande-Betagne, comme un objet de curiosité. Ce que tu as vu, c’est que deux camps s’affrontent : les progressistes, au pouvoir, les conservateurs. En profitant de la vie en Grande-Bretagne, toi qui a toujours grandi dans une famille conservatrice, qui soutiendrait sans doute Narcissa Malefoy plutôt qu’Harry Potter si elle était du coin, tu n’as pas pu t’empêcher d’adopter les valeurs du camp au pouvoir : tu fréquentes les moldus, et tu te rends compte qu’en Grande-Bretagne, il y a une séparation nette entre le monde moldu qui rentre au XXIe siècle et le monde sorcier qui s’est attardé au XVIIIe. Le monde de la magie est encore une société presque féodale à bien des aspects, et ça t’a poussé à réfléchir à la société sorcière d’Egypte. Là bas, les moldus et les sorciers sont plus mêlés, mais les sorciers continuent de représenter une certaine élite, même s’il y a une élite moldue aussi, évidemment. Les sorciers les plus défavorisés sont quand même au dessus des moldus les plus défavorisés et la puissance magique fait office d’échelle sociale. En Grande Bretagne, tu vois bien que les choses sont différentes et semblables à la fois : les mondes magiques et moldus sont séparés l’un de l’autre, avec peu de passerelles, mais les disparités restent et l’aristocratie de sang pur a longtemps joui des avantages d’une caste dirigeante et aisée.

Depuis cette rentrée d’automne 2003, tu as lu plus régulièrement la gazette du sorcier, même si tu lis surtout des journaux moldus, là où est l’essentiel de ta vie, après tout. Tu as su l’attentat en Septembre et n’a pas pu t’empêcher d’être horrifiée d’apprendre la mort d’Astoria Malefoy. Tu as fait partie de ces innombrables sorciers qui ont laissé des fleurs de façon anonyme pour sa mort, une carte de condoléances perdue dans la marée, envoyée aux familles Malefoy et Greengrass. Tu ne sais même pas laquelle de ces deux familles l’a lue et reçue. Tu ne sais pas trop pourquoi tu l’as fait… Peut-être que tu t’es sentie coupable… il paraît qu’on suspecte les euthanatoi… Un contrat sur Potter qui aurait mal tourné… Ils ont du embaucher des bleusailles. Ou alors désigner les euthanatoi était une facilité. Des bouc-émissaires. Dans le doute, tu as envoyé des fleurs. Contrairement à beaucoup, l’idée de la réserve magique ne t’a pas choquée : c’est une pratique courante chez les moldus, réservistes de l’armée, réservistes chez les pompiers… tu n’as pas vraiment compris pourquoi la nouvelle a fait un tollé comme ça. Et si ça peut permettre d’encadrer et de surveiller d’éventuels nostalgiques de la guerre… non, franchement, il vaut mieux ça que des milices privées : tu as vu ce que l’alternative donne en Egypte. Tu n’as, évidemment, pas pu passer à côté du Concert donné par Reissen en Janvier ni à côté du tollé que cela a fait dans les médias. En même temps, tu comprends : incitation à la haine, concert donné en l’honneur d’un criminel de guerre dans l’espace publique… ça t’étonne que Gringotts soit encore debout mais tu as appris après coup que les gobelins ont le monopole du monde financier en Grande Bretagne…. Tu supposes que si un jour, les sorciers se les mettent à dos, ça va faire mal à l’économie locale. C’est pour cela que tu as ton compte personnel anglais dans une banque moldue et tu ne vas à Gringotts que pour faire changer ton argent moldu. Tu trouves ça plus sûr pour le moment. Ça fait enrager ton père, mais il n’est plus à une excentricité près, tu supposes. Tu as suivi un peu moins assidûment les journaux en Février, le mois d’arrivée de ta famille en Grande Bretagne, mais il a été difficile de louper le procès des membres de Reissen et leur condamnation… Encore une fois, tu es surprise que tout le monde en fasse un foin : en Egypte, on aurait probablement retrouvé les cadavres des membres du groupe quelque part… Mais quelque part, tu aimes le fait que la Grande-Bretagne soit un pays suffisamment libre pour que ces protestations soient possibles.

Comme tu en as l’habitude, tu as fait partie des euthanatoi qui n’ont pas souhaité assister à la réunion extraordinaire de la tradition en mars dernier, tu n’y es même pas allée. Tu as prétexté du travail auprès de tes parents et tu es restée chez toi. La présence de ton père en Grande-Bretagne te dispense au moins d’assister aux réunions le plus souvent : tu n’es plus la représentante locale de la famille Zahab, et cela te va très bien ! Mais lorsque tu as appris dans le journal fin mai que Potter avait reconnu comme patrimoine local les différentes traditions, tu ne t’es pas leurrée : les euthanatoi de Grande Bretagne sont derrière ça. La réunion extraordinaire devait être à ce sujet. Peut-être Potter leur a-t-il proposé une alliance… ou bien ils ont trouvé un moyen de pression. Quoi qu’il en soit, tu te doutes beaucoup trop de ce qui a pu se passer… Et ça ne te choque pas non plus : maintenant que la position des euthanatoi locaux est sécurisée, peut-être que la tradition va enfin pouvoir se tourner vers la mise à jour de certaines de leurs coutumes les plus sanglantes ? Après plusieurs milliers d’années d’inertie, peut-être qu’un petit dépoussiérage… ? Et tu as toujours trouvé que l’excuse du « on a toujours fait comme ça » était une grosse connerie ! En tous cas, les mois à venir vont sans doute être mouvementés : entre la capture de Malefoy en début du mois et son procès imminent et tout le remue-ménage que va causer le nouveau statut des traditions non hermétiques… Tu es bien contente de ne pas être en politique, toi !



FT. Melisa Asli Pamuk ; Pseudonyme Oasis. ; Âge 26 ans ; Comment as-tu trouvé le forum ? partenariats ; Un petit mot à ajouter ? Merci à tous pour votre accueil et merci surtout à Erin de m’avoir laissé le perso ! Gros disclamer : je ne suis pas musulmane moi-même et je ne connais pas si bien que ça les pratiques religieuses musulmanes, mes parents étant tous les deux athées : n’hésitez pas à me corriger, parce que j’ai peut-être raconté des grosses bêtises Embarassed ; Ta fréquence de connexion surtout le weekend, mes semaines de prof sont un peu trop remplies pendant le confinement !

Cecil A. Selwyn

Cecil A. Selwyn
MONSIEUR LE DIRECTEUR
hiboux : 3012
pictures : Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage UQKrvcx
TEATIME is always epic with englishmen | ALWAYS in love with his dear Lily | BOOKS lover | MAGISTER es potionis
Sam 21 Nov - 21:17
Officiellement sur cette fiche : Bienvenue à toi sur le forum <3 Ce début de fiche est monstrueusement classe :smi46:

Comme dit un peu partout, en cas de questions, n'hésite pas, on est tous là pour ça <3 Courage pour l'histoire :smi82:

Angelina Johnson-Weasley

Angelina Johnson-Weasley
Vif d'or
hiboux : 120
pictures : Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage Dd05573008b2e61133121628307da779
Sam 21 Nov - 21:43
Bienvenue ici avec ce superbe personnage :smi53:
En te souhaitant une rédaction inspirée :smi40:

A. Josiah N'Da

A. Josiah N'Da
MODÉRATRICE & MJ
hiboux : 1086
pictures : Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage Voodoo-ppl
Dim 22 Nov - 10:41
Comme dit sur la CB hier, je suis trop contente de voir ce personnage tenté :smi46: Bon courage pour la rédaction de cette fiche, au plaisir de la dévorer, mais aussi de t'aider si tu as la moindre question par rapport à celle-ci :smi40:

Bienvenue chez toi :smi19:

Uriel J. Lewis

Uriel J. Lewis
MEMBRE
hiboux : 224
pictures : Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage 5145235480824587a34264859401580e
Dim 22 Nov - 10:43
Mais ce choix de personnage si bien :smi10:
Bienvenue à toi sur le forum :smi82: J'ai tellement hâte de voir ce que tu vas en faire, le début est fantastique (et, je dois dire, le faceclaim est sublime) ! C'est @Djouqed qui doit être aux anges :smi10:

J'espère qu'on aura l'occasion de se donner la réplique :smi63:

Invité

avatar
Invité
Dim 22 Nov - 13:40
Ma sister bienvenue à toi !!! J'ai trop hâte qu'on puisse rp ensemble !! :smi85: :smi63: :smi82: :smi95: :canardsev:

Moira A. Oaks

Moira A. Oaks
ADMINISTRATRICE & MJ
hiboux : 1257
pictures : Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage B717b481cf18bbbfe428ae91148e4b8e
Dim 22 Nov - 13:50
J'ai vu ton message dans la zone invité et je suis très contente pour Djouqed de voir ce personnage arriver ! D'autant que ce début de fiche est terriblement intéressant ! :smi46:

Si tu as besoin de quoi que ce soit, tout le staff se tient à ta disposition ! N'hésite pas à nous solliciter !

Hâte de te lire ! :smi40:

Farah Zahab

Farah Zahab
MEMBRE
hiboux : 20
Dim 22 Nov - 14:59
Merci tout le monde pour votre accueil ici, en cb, par MP, partout :smi82:

@Uriel J. Lewis : j'espère que je serai à la hauteur de la super famille Zahab :smi10: (dont tu fais partie, si j'ai bien compris, tout à fait officieusement :smi10: C'est du propre d'aller draguer des jeunots qui sont à peine plus vieux que ses enfants, je le félicite pas mon papa @Djouqed ! Il faudra tellement qu'on se rencontre en rp, Farah elle te demandera ce que t'as fumé pour aller te mettre dans les griffes des euthanatoi, comme ça, volontairement :smi8:)

@Safia Zahab ma petite soeur :natmar2: La famille s'agrandit ! Si hâte de lire ta fiche (je l'ai pas encore fait, j'avoue) et de rp avec toi !

@Moira A. Oaks merci :smi40: Je te préviens, Josiah, Nasiya, Ernest et Severus m'ont sur-vendu ton perso hier sur la cb, donc je viendrai sûrement te proposer liens et rp :hilare:

Moira A. Oaks

Moira A. Oaks
ADMINISTRATRICE & MJ
hiboux : 1257
pictures : Idéaux et traditions ne font pas toujours bon ménage B717b481cf18bbbfe428ae91148e4b8e
Dim 22 Nov - 15:21
Mais comment ? Mais que quoi de... qu'est-ce ? Me jetterait-on des fleurs en mon absence ? :smi10:
Ravie d'avoir un lien prochain avec toi, ma chère ! :smi40:

Cecil A. Selwyn

Cecil A. Selwyn
MONSIEUR LE DIRECTEUR
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Dim 22 Nov - 15:44
On a juste souligné que peut-être, entre juristes, tout ça :smi10: (et je crois que Nigel essayait surtout de recruter pour la coalition xD)

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