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Black Lyons in the Highlands
 :: Salon de Thé & Bar à chats :: SAISON 1 :: RP

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Mar 3 Mar - 22:26






Black Lyons in the Highlands

2 septembre 2002
[…] Ne t’avise pas de venir passer la Pleine Lune à la maison, Judas refuse de te voir. Tu avais déjà poussé le bouchon suffisamment loin en allant te recenser, pourquoi avais-tu besoin de lui faire cet ultime pied de nez en prenant le poste à Poudlard ? Je ne te comprends pas. Bref, laisse-lui du temps, je le brosserai dans le sens du poil, ça finira par aller mieux. En revanche, tu as intérêt à rappliquer à la niche pour Noël, si tu comptes pouvoir lui reparler un jour. […]


Un mardi soir, au mois de septembre 2002, jour 23 du Cycle Lunaire.

Malachy n’avait de cesse de relire la fin de la lettre que lui avait adressée sa sœur ; ainsi donc, il allait passer sa première Pleine Lune loin des siens depuis un long moment. La dernière fois que ça lui était arrivé, ça devait être en 1997, pendant la Guerre. Il était alors avec Remus, caché quelque part en Ecosse, enchaîné à un mur. Il n’avait pas suffisamment d’argent pour se payer la Tue-Loup, parti depuis trop longtemps du bar familial et des gallions qui clinquaient avec. Remus et lui, et d’autres lycans encore, cherchaient à rameuter des hommes et des femmes au service de l’Ordre, avant que les Mangemorts ne les atteignent et ne cherchent à faire la même chose. Pas de quoi gagner de l’argent, pas d’apothicaire à proximité chez lequel acheter les ingrédients … Pas de Tue-Loup, donc. Ce temps-là semblait loin autant qu’il était proche. A trois ou quatre Lunes d’aujourd’hui, il était encore un lycanthrope non recensé, vivant une vie particulièrement moldue, si l’on ne considérait pas, cachée dans la poche intérieure de sa veste, sa baguette magique en bois de chêne blanc. Sa vie avait été tout à fait bouleversée par la Loi Granger, survenue à l’été 2002. Aujourd’hui, il travaillait comme Professeur d’Histoire de la Magie Magique et Moldue, au sein du cursus de la Prima Sapientia, à Poudlard. Il ne s’appliquait plus à fausser les cotes des paris du football Manchester, il apprenait à lire à une bande de louveteaux absolument adorables. Il leur apprenait l’Histoire et comment tenir une plume, en même temps, après avoir passé des années à soutirer de l’argent à des moldus illettrés.
L’évolution n’avait pas été bien accueillie par sa famille, qui n’était pas une grande amatrice du changement. Il ne s’était pas attendu à ce que cela implique une Pleine Lune seul, loin de sa meute, mais ça serait visiblement le cas. Malachy, quelques jours avant la Pleine Lune, avait ainsi avalé la dernière dose de Tue-Loup en sa possession, et écrit à sa sœur, qui lui avait confirmé ce qu’il craignait. Ce n’était pas le moment de revenir, la queue entre les jambes, dans la gueule du loup, particulièrement puisqu’il n’était pas question d’admettre à son alpha qu’il pouvait avoir raison.

Prenant plutôt la posture inverse, Malachy s’était décidé à prouver à son Grand-Père combien il avait tort. Electrisé par les derniers discours politiques de @H. Jean Granger, notre loup marchait donc d’un pas aguerri vers le bureau de son collègue enseignant des potions. Sonnait l’heure des réclamations. Poudlard devait pouvoir lui fournir de la Tue-Loup, il ne devrait pas payer pour cela. Il l’avait fait pour ce mois-ci, mais ne comptait pas dépenser toutes ses mornilles gagnées à trimer en les dépensant toutes pour la Potion. Il avait même considéré s’enchaîner à la Cabane Hurlante, comme d’autres l’avaient fait avant lui, mais la perspective de la douleur l’avait découragé, sans parler du danger pour la sécurité de Poudlard. Si la fourniture mensuelle d’une Tue-Loup par Poudlard n’avait pas été négociée au moment de l’entretien, parce que le risque de se voir refuser le poste était déjà bien trop grand pour en plus demander des avantages, il était désormais temps de présenter la chose à qui cela intéresserait. Qui de mieux donc qu’auprès du Professeur de Potions, dont la réserve regorgeait de matériel.

Un dimanche après-midi, au mois de septembre 2003, jour 4 du Cycle Lunaire.

Un an plus tard, il fallait recommencer. Plus le même enseignant des potions, même question. Malachy toqua trois coups à la porte, avant qu’on lui permette de rentrer. La pleine Lune était tout juste passée, il était resté seul pendant celle-ci, comme tous les cycles depuis un an, et ça avait été rude. De profondes cernes barraient son regard, et son visage émacié trahissait la fatigue d’un enseignant qui n’avait pas voulu abandonner ses élèves neufs jours après la rentrée. La Pleine Lune était survenue un mercredi, il avait passé le jeudi au lit, mais avait tenu à travailler le vendredi. Après tout, il aurait tout le temps de se reposer pendant le week-end.
C’était la première fois qu’il s’approchait d’aussi près de son collègue, à vrai dire. Regulus Arcturus Black, premier héros – sans le vouloir – de la quête aux Horcruxes, en chair et en os. Il rentra dans la pièce, un peu impressionné. Le sang-pur débarquait à peine à Poudlard, ses enfants scolarisés entre les mêmes murs. @Severus Rogue avait sans doute fait un coup de maître, en acceptant sa candidature. Il avait le don de choisir ses enseignants, il fallait l’avouer. Bien qu’ils se soient croisés peu de fois, Malachy partageant surtout son temps avec ses collègues de la Prima Sapientia, ainsi qu’avec son homologue chez les grands, @Yolanda Yeabow, il y avait pourtant, chez Regulus Black, une certaine impression de familiarité, que ce dernier ne ressentait certainement pas à l’égard de Malachy. Elle était sans doute due au fait que Malachy était souvent allé au Square Grimmaud pendant ses heures d’ordonné du Phoenix, notamment en 1998. Il y avait régulièrement entendu la voix de Mrs Black, sa mère, expier ses insultes de sa voix d’outre-tombe, elle l’avait d’ailleurs personnellement insulté un nombre incalculable de fois. Il avait vu la porte de sa chambre éternellement fermée, il avait touché son nom sur la Tapisserie des Black, avant qu’on ne sache qu’il était toujours en vie. Il avait entendu Remus parler de son frère avec une tendresse absolue, et s’était plaint lui aussi de Kreattur, Elfe aujourd’hui libéré par celui qui en avait été l’Héritier, @Harry J. Potter.

« Bonjour, collègue entama-t-il. Je ne te dérange pas, j’espère ? C’était dimanche, après tout, peut-être avait-il autre chose à faire que d’accueillir un loup dans sa maison de briques. Tu t’installes bien ? Je crois me souvenir que quitter le confort de la maison pour les murs froids de Poudlard n’est pas évident … plantant son regard fatigué dans celui de son collègue, il termina son propos : je viens pour te demander un service, bien sûr. »

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Spoiler:

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Lun 25 Mai - 13:38

Black Lyons in the Higlands

Vous reprendrez de la Tue-Loup cher collègue ?

U n dimanche après-midi, au mois de septembre 2004, Jour 4 du Cycle Lunaire


C’est l’un des premiers dimanches que Regulus Black passe à Poudlard comme professeur. L’enseignement n’a jamais été une vocation, ce choix de carrière ayant été décidé à cause de la présence de ses deux enfants à l’école de sorcellerie, et de l’atmosphère orageux de la politique actuelle. Les tensions sont nombreuses et palpables, et suivre la marmaille dans le château est le seul moyen qu’il ai trouvé pour être certain de pouvoir garder un œil dessus, et pouvoir les protéger en cas de danger. Évidemment, ses rejetons en prirent ombrage, et lui font la guerre depuis.

A son bureau, le tout récemment nommé professeur de potions rédige une lettre pour son épouse, Milena, pour lui décrire son quotidien d’instructeur, ses difficultés rencontrés avec ses enfants, la rassurer sur le fait que tout va bien. Pas question de parler de ses doutes, de ses observations les plus sombres, cela inquiéterait sa moitié. Déjà que son beau-père parlait de retirer les enfants de Poudlard…
Profond soupire. La plume gratte la surface du parchemin avec une certaine irritation. Foutue existence. Être un Black n’est pas une sinécure. Surtout quand votre frère ainé s’est appliqué à tout foutre en l’air avec ses idées tordues. Que Sirius Black ai souhaité prémunir son filleul de toute misère en lui permettant d’hériter d’une partie de la fortune de la famille, Regulus le conçoit. Par contre, qu’il ai permis à Potter d’hériter de la totalité de la fortune, du titre de Lord et de la demeure ancestrale des Black… Regulus l’a en travers de la gorge. Et il digère l’idée d’autant plus mal qu’il a encore en mémoire l’article sur la « libération » de Kreattur. Pauvre elfe. Sur la photographie, il n’avait pas l’air de bien comprendre pourquoi on lui faisait une chose pareille. Où était l’elfe maintenant, et que faisait-il ? Regulus n’ose pas aller le voir, se sentant honteux de l’avoir abandonné à son sort même si l’elfe lui aurait certifié qu’il a bien fait de préserver sa vie en se cachant.

Il n’y arrive pas. La lettre qui se veut rassurant est en fait assez agressive. Il agrippe le parchemin et le froisse entre ses mains. C’est mauvais, il ne peut envoyer un pareil torchon à son épouse. La missive finit en boulette et atterrit dans la corbeille à papier. Regulus se focalise sur un exercice de respiration.



C’est un homme aux traits tirés, le teint blême et aux yeux à l’éclat terne qui pénètre dans le bureau du professeur de potions après s’être annoncé. Il a l’air malade, prêt à s’écrouler par terre à bout de force. Instinctivement, Regulus se lève de sa chaise en supposant que l’homme a besoin d’assistance, mais l’individu le nomme « collègue ».
Ah. Oui. @Severus Rogue lui avait déjà parlé de ce lupin employé qui aurait certainement besoin de son aide pour se fournir en potion Tue-Loup. Effectivement, la nécessité de pareil traitement pour cet être fatigué est visible.
- Bonjour.
Regulus se sent légèrement méfiant. Toute une vie à être éduqué sur le fait que les loups-garous sont des êtres inférieurs, sauvages et dangereux, le pousse à se montrer sur le qui-vive, pour ne pas dire agressif. Toutefois, notre protagoniste reprend contenance et chasse ses a-priori.
- J’ai connu pire. Il existe des eaux infiniment plus glaciales que ces murs, qui vous transpercent le corps et vous gèlent les os et l’âme. C’est plus l’absence de ma femme à mes côtés qui m’attriste le plus. Mais vous n’êtes pas là pour écouter mes jérémiades.
Regulus se rassoit, invitant son collègue de Prima Sapienta à prendre place sur le siège en face de son bureau. Évidemment que ce loup le dérange dans sa journée de repos. D’un autre côté, il éprouve le besoin de faire une pause dans sa tentative d’écrire cette satanée lettre.
- Je crois connaître la nature de votre requête. Monsieur le directeur m’a déjà touché quelques mots sur votre état et m’a demandé de vous fournir assistance.
Il ne connaît pas l’homme qui s’installe face à lui. Même son nom, il peine à le retenir. Dans sa tête, il l’a toujours surnommé le « Lion », mais en fait, il serait plus correct de l’appeler « Lycaon ». Il espère toutefois que contrairement à cet ancêtre mythique, celui qui discute avec lui se montre moins cruel et stupide.
- J’ai de la Tue-Loup dans mes armoires, sous clé. Le professeur Rogue m’a demandé d’en garder une certaine quantité d’avance pour vous. Dites-moi, souhaitez-vous boire quelque chose ?
C’est la première fois qu’il reçoit un loup-garou, et quoiqu’il pense de ces gens-là, il ne tient pas à déroger aux règles de bienséances qui lui ont été inculqués. Il n’y a que ce vaurien de Sirius pour les oublier. De façon très volontaire, pensez-vous.

812 mots

DEV NERD GIRL

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Jeu 9 Juil - 10:34




Black Lyons in the Highlands

Un dimanche après-midi, au mois de septembre 2003, jour 4 du Cycle Lunaire.

Il y avait une nobilité qui éclatait de l’allure de Regulus Black, et qui contrecarrait celle du loup fatigué qu’était Malachy. Celui-ci s’efforçait alors de se tenir plus droit, comme un enfant qui pénètre dans une pièce remplie d’adultes impressionnants. Il avait peu l’occasion de fréquenter la haute aristocratie magique, et avait eu l’impression, à peine l’office pénétré, d’en rencontrer là un beau spécimen. Sorcier jusqu’au bout de la baguette, et plus Black que nature. Regulus lui répondait qu’il avait connu des eaux plus glaciales que les murs de Poudlard, et Malachy ne comprenait pas ce qu’il voulait dire. Était-il trop fatigué ? Aurait-il dû saisir pourquoi son collègue lui évoquait cela, comme un souvenir ? Il fallait l’avoir vécu, il fallait être tombé dans des rapides et avoir manqué de se noyer dans l’eau froide pour y faire ainsi référence. Il lui manquait sans doute un pan de l’histoire de l’héritier du nom Black pour le comprendre. En revanche, qu’un être aimé puisse lui manquer, ça … C’eut été quelqu’un d’autre, peut-être se serait-il permis de lui répondre sur ce terrain-là. Peut-être lui aurait-il dit qu’un an plus tard, les siens lui manquaient toujours autant, et qu’il n’osait imaginer la difficulté de devoir se tenir écarté ainsi d’une épouse. La réalité, c’est qu’on ne peut s’échapper souvent du Château le mieux gardé d’Ecosse, on s’y retrouve ainsi vite cloîtré. Certains y trouvaient leur bonheur, Malachy n’était pas certain de compter parmi ceux-là. Dès qu’il en avait l’occasion, il filait, organisant des dîners chez les uns et chez les autres, à force de pouvoir inviter toute sa bande à Poudlard pour leur cuisiner quelque plat chaud. Mais Black ne lui laissait point le loisir de lui répondre, plutôt que ça, il lui indiquait une chaise. Parfait. Mieux encore qu’une discussion sur les épouses : une chaise, pour soutenir son corps épuisé. Malachy s’y laissa tomber sans grâce, ses jambes le soutenant avec difficulté. Sans doute aurait-il pu faire un effort, face à la nobilité Black, justement. Il n’en avait pas la santé. C’était épuisant, de tenir son dos droit.
Black leur épargna du temps à tous les deux, en devinant la requête de Malachy avant que celui-ci n’ait eu le temps de l’énoncer. Parfait. Il serait vite sorti. Le loup hocha ainsi la tête vers l’avant quand le potionniste évoquait Severus Rogue, ne souhaitant pas en dire beaucoup plus. Black lui apprit ainsi qu’il gardait de la Tue-Loup sous clef, ce qui était sûrement rassurant, et lui proposa quelque chose à boire. Ses babines asséchées par la fatigue ne lui permirent pas re refuser la proposition : « Si tu as fait du thé pour ta correspondance, je t’en prendrais bien une tasse. Sinon, ne t’embête pas, Black ». Il y avait une plus grande familiarité dans son ton que dans celui du Sang-Pur, mais il ne pouvait point faire autrement. Il n’avait pas appris à parler autrement, et pareil guindage ne pouvait qu’être enseigné, ça ne pouvait pas être inné, même quand on n’était pas aussi fatigué que l’était Malachy.
« Comment veux-tu fonctionner ? L’année dernière, je venais chercher la fiole une semaine avant, au moment du cycle où je devais la prendre, en fait. » Il y avait, dans cette méthode-là, une allure de surveillance absolument insupportable. Combien de fois n’avait-il pas senti le regard soulagé de son collègue se poser sur lui quand, enfin, il venait récupérer sa dose. Comme s’il ne savait pas qu’il fallait boire la potion de Belby précisément sept jours avant la Lune, sans quoi celle-ci ne fonctionnait pas. Comme si c’était agréable de perdre sa lucidité une nuit entière, de devenir un monstre et ainsi de se risquer à bouffer des enfants ? Malachy écarta sa veste de son torse pour tirer, depuis sa poche intérieure, une plaquette de chocolat noir de chez Honeydukes déjà entamée. Ça l’adoucirait, sans doute. Il s’en coupa un carré, avant de tendre la plaquette au Potionniste : « Tu en veux ? » Vieille habitude héritée de Remus Lupin, qui avait tendance à lui en proposer dès que son esprit s’échaudait un peu. En somme, il s’en fichait, du moment auquel on lui proposerait sa Tue-Loup, tant qu’il l’avait à disposition, et surtout, tant qu’on lui épargnait tout regard moralisateur. Ça n’était pas une mince requête, dans la société particulièrement moralisatrice qu’était le monde magique anglais.

« Je dois dire que c’est étrange, de me retrouver face à toi, Black. J’ai passé plus d’une Pleine Lune au Square Grimmaurd, en 1998. Dumbledore était mort, alors Remus était devenu Gardien du Secret. On y venait, avec quelques autres loups de l’Ordre, pour passer les heures lunaires hors des pattes de nos camarades. » Il fallait passer les sortilèges anti-Rogue installés par Alastor Maugrey, et faire taire Walburga Black et son affreux portrait pour pouvoir s’y installer. Kreattur détestait qu’ils soient là et leur faisait savoir sans mal. Ils passaient alors la Lune dans le grenier, au milieu de la paille poussiéreuse et de plumes d’hippogriffe. C’était arrivé, plus d’une fois, qu’ils restent dormir une ou deux nuits de plus, drainés par la Lune et par l’anxiété générale de la guerre. A ce moment-là, l’humeur de Remus était terrible. Il craignait que son fils ne naisse Loup, et aucun lycanthrope, même ceux nés ainsi, n’avaient su véritablement le rassurer à ce sujet. Malachy avait appris, peu après la guerre, que Teddy Lupin était finalement né sans ce gène, mais avec les cheveux bleus. S’il avait pu être heureux à ce moment-là, sûrement l’aurait-il été, de savoir que l’orphelin de l’un de ses plus chers amis ne vivrait pas une vie maudite, et qu’à défaut de pouvoir connaître son père ou sa mère, il garderait d’eux des cheveux colorés et le sentiment d’avoir été aimé avant même d’être né.

La mélancolie gagnait souvent Malachy aux lendemains de Pleine Lune, surtout quand il se laissait aller au souvenir de la guerre. Il espérait toutefois ne pas avoir mis les deux pattes dans le pot de miel en évoquant à son collègue sa maison d’enfance qu’il n’était pas autorisé à investir parce qu’elle avait été héritée par Harry Potter.

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