| Lun 3 Sep - 11:48 | Hieronymus P. VasilievPlumes de PhenixNom Vasiliev; Prénoms Hiéronymus Phineas Foster ; Âge 31 ans ; Date de naissance 3 juin ; Lieu de naissance Moscou ; Signe astrologique Gémeaux ; Nationalité Russe ; Statut Civil Célibataire ; Préférences sexuelles bisexuel ; Statut du sang sang pur selon la définition russe (donc six générations sans métissage) ; Tradition Ordre d’Hermès ; Baguette27 cm, bois de tremble, plume d’occamy, la baguette de son grand-père, rigide, difficile à l’emploi mais indéfectible à l’audace du sorcier ; Patronus panthère des neiges ; Dons aucun ; Pouvoirs animagus : panthère des neiges ; Particularités est maniaque quant au rangement ; Activité Professionnelle, études, métier, autre concierge. caractère« Veuillez noter, messieurs et mesdemoiselles, que je ne suis pas votre ami, votre proche, votre grand frère, mais votre concierge, votre intendant à la rigueur. Dès lors, ce sera à moi de veiller, jeunes gens, que vous respectiez l’étiquette qu’il convient de maîtriser dans cette noble école de sorcellerie qu’est Poudlard. Bannissez donc les farces et attrapes de la boutique Weasley, vos défis stupides visant à faire enrager le concierge. Apprenez la notion de ponctualité, celle de respect et celle de précision. Ce n’est pas parce que je ne suis pas professeur que je ne puis employer la manière forte pour vous faire rentrer dans le droit chemin. Ici, à Poudlard, on a encore un peu de modération sur les punitions, ce n’était pas le cas dans mon précédent emploi. »
Hieronymus Phineas Vasiliev, dit « Foster » (en anglais : désigne un parent adoptif) en raison de la proximité sonore du mot avec le patronyme « Faust » est un mélange de rigueur et d’élans paternels pour les enfants confiés à ses bons soins : il est loin d’être un monstre et fait partie de ces « nounous sévères » mais néanmoins justes qui parviennent toujours à expliquer à un enfant les raisons de la punition exemplaire qu’il reçoit. Gouvernant pour des enfants de bonne famille, précepteur reconnu à Moscou où il a enseigné l’histoire, la littérature russe, les langues vivantes et anciennes, l’étiquette, la musique et la danse de salon tant à des enfants sorciers qu’à des enfants moldus, il a finalement émigré en région Londonnienne pour prendre un travail sur demande expresse de Severus Rogue en recherche désespérée d’un nouveau concierge après le départ à la retraite de l’incontournable et regretté Argus Rusard, le gardien infatigable des couloirs de l’école. Comment a-t-il eu connaissance de son existence, il n’en a pas la moindre idée. Quoi qu’il n’ait, lui-même, pas fréquenté Poudlard dans sa folle jeunesse, il a été attiré professionnellement par ce nouveau défi à la mesure de son talent pour l’éducation et l’instruction… Une certaine forme d’éducation et d’instruction, tout du moins.
Né dans une vieille famille russe au sang pur, mais désargentée, Hieronymus a grandi dans une tension permanente entre pauvreté – et donc nécessité pour ses deux parents de travailler pour subvenir aux besoins de la famille – et éducation traditionnelle. C’est ainsi que l’enfant, l’adolescent puis l’homme qu’est devenu notre concierge a acquis des compétences indispensables à la vie en bonne société tout en se révélant un travailleur acharné pour, lui aussi, participer à la reconstruction du prestige de sa famille : une connaissance aiguë de l’étiquette et des convenances, un savoir encyclopédique sur l’histoire du monde magique à l’échelle mondiale, et en particulier sur les lignées de sang pur, et un goût très sur pour le vêtement. Très soigneux, précis et pointilleux, Hiernoymus tient absolument à ce que tout soit parfait dans sa mise, comme dans son travail. Il ne sera pas dit qu’il ternira le nom des « Vasiliev » dont il est l’un des derniers descendants. Il est ainsi extrêmement inventif lorsqu’il s’agit de créer ou d’employer des enchantements ménagers, de punir des contrevenants, ou de débusquer des petits farceurs. Il montre ainsi un intérêt tout particulier pour la boutique de farces et attrapes des Weasley : connais ton ennemi pour mieux le débusquer. Sa surveillance attentive du courrier doublée d’un grand sens de l’observation et de la déduction permettent à cet œil de lynx de ne rien laisser passer. L’oeil de lynx n’est d’ailleurs pas seulement une expression, puisque l’homme est capable de se métamorphoser en panthère des neiges, animal ô combien gracieux et redoutable des grandes plaines sibériennes. C’est avec un air pincé qu’il a daigné se faire enregistrer en tant qu’animagus auprès du ministère de la magie britannique en commentant la débilité (à ses yeux) de la procédure.
Son enfance passée entre les murs de Durmestrang et dans les cercles sorciers de Russie lui a également appris bien plus en matière de magie noire et de sortilèges dangereux que toutes les années qu’il aurait pu passer à Poudlard. La magie noire ne souffre pas, sur les terres australes, du même tabou dont elle est frappée au Royaume Uni : si on s’en méfie, on a bien conscience que le meilleur de se débarrasser d’un mage noir est de le faire périr par ses armes, ce pourquoi la matière continue d’être enseignée à Durmestrang sous certaines restrictions. Les Vasiliev ont toujours été réputés pour leur position ambiguë au fil des siècles : bourreaux à la cour de Moscovie dès le XIe siècle puis conseillers à la cour de Russie, ils ont pu, historiquement, s’approprier de grands biens et glaner de nombreux savoirs dangereux. Leur lignée a connu son apogée aux XIVe et XVe siècles, pendant la grande période d’expansion de l’empire Russe. Les Tsars ont alors puisé dans cette lignée prestigieuse de savants des précepteurs pour l’un ou l’autre enfant développant des pouvoirs magiques, des conseillers, des médecins, parfois des astrologues. Pendant deux siècles, ainsi, de père en fils et de mère en fille, les Vasiliev ont joui d’une grande influence. Hieronymus a une connaissance parfaite de l’histoire de sa famille, et est donc tout à fait capable de mesurer la déchéance de sa lignée… Déchéance qu’il n’accepte qu’à grande peine, et à laquelle il a décidé de remédier, de toutes ses forces. Un nouvel âge d’or en perspective pour les Vasiliev !
A partir de la fin du XVIIIe siècle, sa famille s’enfonce dans une forme aiguë de mysticisme. L’un de ses ancêtres directs Ductus Vasiliev est ainsi le fondateur de la secte des Khlysts à laquelle, suppose-t-on a appartenu Raspoutine avant de devenir le précieux conseiller des couples royaux. La déchéance de Raspoutine puis du régime politique en Russie est un coup extrêmement dur porté à sa famille, désormais dispersée par les révolutions et le communisme. Hieronymus demeure extrêmement amer quant à cet « modernité » qui est venue balayer la position sociale avantageuse qui était celle de sa famille : malgré de nombreuses précautions, les sorciers russes n’ont pu échapper totalement aux tourments du monde moldu, et nombre d’entre eux ont été « contaminés » par les nouvelles idées politiques qu’ils ont voulu faire appliquer dans le monde de la magie.
Ce ne fut pas le cas de ses parents qui ont tenu à offrir à leur fils unique, malgré leurs emplois modestes respectifs, l’éducation la plus soignée possible. Les grands-parents paternels de notre intendant préféré ont également joué une grande place dans son éducation : grands admirateurs de Gellert Grindelwald – et grands détracteurs d’Albus Dumbledore – ils ont transmis leur passion pour cette dangereuse figure à leur petit fils Hieronymus. Le poste que Severus Rogue offre ainsi à Hieronymus la possibilité d’évoluer dans des lieux autrefois hantés par la présence de Dumbledore, cet homme connu de lui malgré les discours familiaux.
Hieronymus est donc un pur produit de la noblesse de sang pur russe : raffiné, doué, vif d’esprit, et fasciné par une forme de pouvoir et d’influence social. S’il n’est pas spécialement bienveillant (sauf avec les enfants confiés à sa garde), il n’est pas spécialement malveillant non plus : ce qui compte le plus à ses yeux est le prestige de son nom et de sa famille. Il a pour ambition de trouver à marier une sorcière de sang pur histoire de perpétuer la noblesse de son nom. Il ne peut s’empêcher d’avoir une indulgence coupable pour les nés moldus (après tout, ce n’est pas de leur faute s’ils sont des êtres inférieurs) avec lesquels il peut se montrer un peu paternaliste, et a, paradoxalement, plus d’affection pour les créatures magiques (pur produit magique, ça pousse à la bienveillance) que pour les moldus qu’il considère comme une masse « endormie » de moutons bêlant aveuglements. Son admiration pour Gellert Grindelwald n’est pas aussi aveugle et fanatique que celle que lui vouaient ses grands-parents. Ces derniers ont compté parmi les fidèles du mage noir, et l’ont érigé au rang de modèle familial. Hieronymus est plus nuancé : s’il admire la quête de pouvoir et les idéaux de pureté de sang et de magie de Grindelwald, il n’est en revanche pas tout à fait convaincu par les méthodes, notamment le massacre de moldus et d’opposants. A ses yeux, offrir la séduction de la paix et du confort est bien plus efficace pour endormir les conscience et prendre possession des âmes.
Lorsqu’il étudiait à Durmestrang, Hieronymus s’est révélé un excellent combattant : doué de bons réflexes, il faisait partie de l’une des équipes de Quidditch de l’école. Travailleur acharné (son lieu de prédilection à Poudlard demeure la Bibliothèque) et esprit ouvert et curieux, il a compensé son intelligence dans la moyenne par des heures et des heures de lectures et d’entraînements. Cette discipline et cette rigueur à laquelle il s’est lui-même astreint en a fait un homme pointilleux, taciturne, précis, qui a un goût prononcé pour l’ordre. Maniaque, il ne supporte pas les mômes qui braillent et dérangent tout. Au contraire de Rusard qui râlait beaucoup et avait systématiquement des récriminations, Hieronymus agit. Il n’est pas rare de voir surgir une panthère des neiges se métamorphosant soudainement devant un groupe d’élèves pour dispenser colles et remarques acerbes. Le concierge n’a qu’un seul ennemi mortel : Peeves et ses farces stupides. Perpétuant ainsi une longue tradition Poudlardienne, l’intendant fraîchement nommé et l’esprit frappeur n’ont de cesse de se chercher… Et Hieronymus n’a surtout de cesse de chercher du côté de la nécromancie et de la magie noire des enchantements susceptibles de lui permettre le bannissement pur et simple de l’esprit : pourquoi le souffrir lorsqu’on peut préparer son exorcisme en bonne et due forme ? histoire}} Kamelot – WanderHieronymus est né par une fraîche matinée d’été dans une petite maisonnée de Moscou, entouré de ses parents et de ses grands-parents paternels. Pour toute la maisonnée, c’était un événement extraordinaire. Sa mère, libraire et son père, militaire dans le monde moldu ne sont pas seulement un couple normal et rangé de la mère patrie, ils sont également des sorciers de sang pur appartenant à l’une des plus anciennes familles magiques de l’Europe de l’Est. La librairie maternelle propose également, à qui sait voir le rayonnage, toute une sélection d’ouvrages destinés à un public magique et notamment aux jeunes étudiants de l’institut Durmstrang tandis que la position privilégiée dans l’armée russe de son père est en réalité une couverture bien commode pour l’employé de l’équivalent russe du ministère de la magie qu’il est. Les grands parents paternels de Hieronymus habitent dans le même petit appartement que la famille et aident parfois la mère du jeune garçon à la librairie. Ils se concentrent toutefois surtout sur l’éducation de l’enfant tandis que les parents travaillent en attendant que ce dernier soit accepté à Durmstrang, ce qui ne manquera pas d’arriver, selon l’avis général. Quel désespoir cela aurait été si Hieronymus s’était révélé être un cracmol ! Dès sa plus jeune enfance, Hieronymus est bercé par les récits de famille, l’apprentissage des codes sociaux de la noblesse magique et par l’inquiétante et fascinante ombre de Gellert Grindelwald dont ses grands parents ne se cachent pas d’avoir été des partisans. Cela participe largement à la réputation mitigée des Vasiliev : si tout le monde considère la mère d’Hieronymus comme un modèle de gentillesse et de droiture, on se montre bien plus circonspect vis à vis de son père et franchement hostile aux grands parents. Par chance, l’enfant révèle assez vite quelques aptitudes magiques : lévitation d’objet incontrôlée, affinité étonnante avec les félins qu’il apprécie, du reste, beaucoup (il apprécie donc d’autant plus Minerva McGonagall qu’il juge « adorablement mignonne » sous sa forme féline… Dieu merci, la Directrice de Prima Sapientia et sous-directrice de Poudlard n’est pas légilimens faute de quoi notre pauvre Intendant serait sans doute déjà mort), objets changeant de couleurs ou de forme à son contact. Toutes ces petites manifestations restent discrètes : Hieronymus contrôle-t-il précocement son pouvoir ou est-il un sorcier médiocre ? La réponse est la seconde assertion : l’enfant n’a pas, dans sa prime jeunesse, un noyau magique particulièrement développé. Il est dans la moyenne des jeunes sorciers. Son père, cependant, a hérité de la grande puissance magique de sa lignée, et il lui semble donc que son fils est « faible » alors qu’il est simplement dans la norme. Agacé à l’idée d’avoir un héritier qui ne soit pas à sa mesure, son père lui apprend très tôt la magie tout en pétrissant son esprit de la grandeur et de la noblesse de sa lignée. L’enfant apprend beaucoup mais a l’impression de n’être jamais assez bon pour son père, ce qui s’avère extrêmement destructeur pour sa confiance en lui. C’est ainsi au cours de cette période que le petit Hieronymus acquière un goût de l’étude (quelque peu forcé par les impératifs sociaux), sa fascination pour Gellert Grindelwald (qui est le « grand » sorcier qu’il ne sera probablement jamais sinon à force d’un travail acharné), et surtout sa fascination pour les arts obscurs (histoire de clouer le bec une bonne fois pour toutes à son militaire de père!). Profitant de la librairie maternelle, le petit se met à étudier avec un peu d’avance les manuels scolaires puis des ouvrages de plus en plus exigeants. Il jette sur ces enchantements son regard d’enfant, ne comprenant parfois pas leur portée ou leur intérêt, mais il note tout avec application, de sa plus belle écriture et mémorise formules magiques et recettes de potions, aidé en cela par les interrogations (ou interrogatoires) quotidiens de son père sur ce qu’il a « appris au cours de sa journée ». }} Kamelot – AbandonedLorsqu’Hieronymus arrive à Durmstrang, il découvre enfin, et avec quelques onze années de retard ce qu’est d’être « un enfant ». Il se fait ses premiers amis de son âge, un peu maladroitement, et étonne son entourage par ses grandes connaissances théoriques et sa patience infinie face à ses échecs. L’enfant est déterminé à réussir quelqu’en soit le prix. Il se hisse très vite dans les premiers de sa promotion, quoi qu’il ne soit pas le sorcier ayant le plus de prédisposition. C’est ainsi qu’il apprend que le travail paye et que tout serait infiniment plus juste s’il vivait dans une méritocratie. Manque de bol, ça n’est pas le cas. Son nom de famille et son statut de sang lui ouvre au moins au tant de porte qu’il ne lui en ferme. Pour ne pas ternir l’éclat de son patronyme, le petit Hieronymus devient l’héritier Vasiliev, se comportant comme on l’attend de lui : distant, précis, pointilleux, rigide, travailleur et bien trop adulte pour son jeune âge. Il jette à la face du monde ce masque pour que les curieux s’en repaissent. Ses amis les plus proches savent toutefois qu’il n’est pas uniquement cela. C’est aussi, dans de trop rares moment d’intimité, le petit qui nourrit et câline les chats aux abords de l’école, fait des batailles de boule de neige, s’émerveille lorsqu’il vole sur un balai, tient un journal intime (ensorcelé) et lit des romans moldus pour le plaisir. (Il conseille d’ailleurs à qui le lui demande Vie et Destin de Vassili Grossman, mais personne ne le lui demande). En grandissant, le petit garçon aux joues pleines devient un jeune homme athlétique et érudit. Le combo parfait pour s’attirer des coups d’oeil envieux et commencer à faire parler de mariage dans les cercles familiaux. Il y a cependant un os : la famille est désargentée, même si son sang est pur, ce qui éloigne d’eux un certain nombre de « bons partis », et ladite famille ne veut pas faire un mariage au dessous de son rang (c’est à dire avec une sang mêlé, ou pire, une née moldue). Le chapitre est donc laissé temporairement en suspens, même si les parents d’Hieronymus le forcent à arpenter un certain nombre de galas et de cercles restreints des bonnes familles au sang pur. Ils demandent pour lui la main de trois jeunes femmes, mais aucune alliance n’est conclue. Si ses parents s’en affligent, la nouvelle ne fait ni chaud ni froid au sorcier : Hieronymus estime qu’il a bien le temps de trouver une épouse et commence à former l’idée d’aller la chercher dans les familles de sang pur hors des frontières russes. Ainsi, peut-être ne connaîtra-t-on pas la situation délicate de sa famille – ou s’en foutra-t-on. Comme il serait bon de se trouver une riche héritière pas trop contraignante à qui donner son nom et ses enfants à défaut de lui donner de l’amour… Pour l’amour, Hieronymus a les chats ! Durant ses années d’adolescence, le caractère du futur Intendant de Poudlard s’affirme de même que ses plans pour sauver sa famille de la ruine : il se met à apprendre diverses langues européennes, perfectionne sa connaissance de l’étiquette et des arts de salon (danse, conversation, jeux de société divers). Il ajoute à cela une maîtrise de plus en plus fine de certains aspects de la magie : la métamorphose le passionne particulièrement, à tel point qu’il convainc son enseignant à Durmstrang de l’épauler pour devenir animagus, ce à quoi il parviendra après cinq années d’entraînement. Ses connaissances de plus en plus encyclopédiques dans les autres domaines lui valent souvent des remarques admiratives de ses paires. Sa réputation de jeune homme prometteur s’assoit progressivement. }} Kamelot – Temple of GoldSon diplôme en poche à l’âge de dix huit ans, Hieronymus peut enfin voler de ses propres ailes. Ses premiers emplois sont à la fois alimentaires et tournés vers son insertion dans les bons cercles pour rétablir l’honneur et surtout la fortune de sa famille. Il fait le seul métier servile qu’un homme de bonne famille pourrait faire sans ternir son nom : précepteur. Sa réputation et son nom lui ouvrent bien des portes, et pendant un temps, tout est plus beau. Doué dans les relations sociales, charmant et toujours soigneusement vêtu, Hieronymus charme les coeurs des enfants et parfois de leurs mères, ces jeunes sorcières qui se mordent soudainement les doigts des refus qu’elles ont opposé à l’adolescent Vasiliev lorsqu’il leur avait demandé leur main. Hieronymus travaille aussi bien avec des enfants nés dans des familles sorcières qu’avec des enfants nés dans des familles moldues. Il a ainsi été recommandé à certaines familles spécialement par Durmstrang ou le ministère de la magie russe qui ont su repérer un potentiel magique chez les enfants de hautes lignées moldues. Dans ces missions-là, il fait autant l’éducation des enfants que de leur parents au monde magique. Ses compétences d’enseignement doublées à sa grande rigueur le font appeler parfois, par la magie du bouche à oreille, auprès d’enfants parfaitement moldus mais qui causent des troubles de discipline à leur parent. Maugréant ce « foutu monde moderne où tout se perd », le sorcier s’improvise alors super-nanny pour faire revenir dans le droit chemin les têtes blondes et brunes dont il a la charge. Le bon chemin selon lui naturellement : rigueur, propreté, probité, fierté du nom et de la lignée. Autant de valeurs qui pourraient être jugées dépassées et décadentes par de nombreux sorciers et moldus plus progressistes. Hieronymus sait adapter son discours aux circonstances, il n’a ainsi aucun problème à vanter le régime politique en place si cela peut l’aider à se hisser dans les hautes sphères plus aisément. Reconnu dans Moscou et ses environs comme le « célèbre fils Vasiliev », quoi que cela veuille dire, il devient également un parti couru. Manque de chance pour lui, son succès est plus notable dans les cercles sorciers de sang mêlé ou de nés moldus qui profiteraient bien de son nom pour s’élever que dans celui des sangs-purs qu’il vise. Un coup dur pour ce jeune trentenaire qui voit ses efforts réduits à néant sur les terres Russes. La lettre qu’il reçoit de Severus Rogue à la fin de l’été 2003 est donc une aubaine pour lui. Hieronymus Vasiliev y voit une porte de sortie à bien des égards : Poudlard est une école de sorcellerie réputée, ce qui accroît son renom d’y travailler, de même que celui de sa lignée. En outre, les sorciers au sang pur de Grande Bretagne sont peut-être moins regardants sur la fortune familiale et connaissent sans doute moins la réputation quelque peu sulfureuse de ses grands-parents. Ce peut donc être l’occasion pour lui de se faire une nouvelle place et un nouveau réseau de relations pouvant le mener à l’union tant désirée avec une jeune sorcière de sang pur à même d’assurer la survie de son nom. Et qui sait, s’il peut trouver l’amour en prime… Mais il faudrait voir à ne pas virer dans un sentimentalisme exacerbé par son âge vénérable ! En poste depuis Septembre 2003, Hieronymus a eu l’occasion de se prendre de plein fouet les premières ardeurs d’une dissension civile. Il suit avec beaucoup d’intérêt le conflit littéraire opposant Potter et Narcissa Malefoy… son choix à lui est vite-fait : entre un gamin progressiste et une aristocrate au sang pur et à la noblesse avérée, son coeur n’hésite pas une seule seconde… Quel dommage que Madame Malefoy soit déjà mariée et mère d’un jeune Drago… Hieronymus espère toutefois, dans le sillage de l’Insurrection, trouver chaussure à son pied. Dès lors, il a pris contact avec l’Insurrection et se fait fort de leur distiller les fraîches nouvelles de Poudlard. Ce qui ne l’empêche certes pas de veiller sur ses (trop nombreux) petits élèves en recadrant ceux nécessitant un peu de discipline ! FT. Joe Anderson ; Pseudonyme Raphaël, Asao ; Âge 28 ans depuis peu… ça va pas de mettre des coups de vieux aux gens comme ça? ; Comment as-tu trouvé le forum ? j’me suis fait kidnapper, tout est entièrement la faute de Sev’ et Cissy ; Un petit mot à ajouter ? je suis content de partir à l’aventure avec vous ! Merci de m'avoir permis de changer de personnage J'la sentais pas, finalement, la Amelia, malgré les heures de recherches sur la famille royale anglaise ; Ta fréquence de connexion surtout le weekend, mais autant que possible (mon emploi du temps est comme ma coupe de cheveux : à géométrie variable, dixit Cissy. J’ai kiffé l’expression, j’ai repris). |
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