Nom Nott, écrasante hoirie nourrie d'expectatives. Crûment acoquinée à l'animosité du sang bleu à l'égard des manants moldus, la famille Nott se singularisait par son agrément pour le Seigneur des Ténèbres. C'est avec sa demi-portion de frère, le père de son filleul, Théodore Nott, qu'il partageait plus de joug que d'agrafe. ;
Prénoms Camille. Un caprice estivant de sa mère pour les franchouillards. Elle mignotait le girond français qui agrémentait l'artifice de ces Dames. Stigmate d'une baguenaude éparse dans son bordereau de ses fastes. Teignous, legs d'un ancêtre. ;
Âge Préambule d'une longue canonnade de râles et de détonation au sortir du lit. Ses quarante-six ans se manifestaient déjà par des chuchotis grésillants. ;
Date de naissance 13 novembre 1957. Balbutiements à l'esquisse de la grande dédaigneuse qui répandait doucement sa gabardine de gelée blanche sur Londres. ;
Lieu de naissance Londres, olla-podrida de sapidité, _ tant par leurs mets décousus, entre gélatine pigmentée et Cheshire, que par leur Tea Time, leur conduite attentatoire, etc. ;
Signe astrologique Il agace de son aiguillon les écumeurs de grivoiserie. Le scorpion se régale de zèle et de dextérité, mais aussi malgré tout d'équivoque. ;
Nationalité So British! De sa familiarité appliquée pour Mozart au piano, son korrigan pour la gouaillerie de mauvais goût, son assuétude pour
l'afternoon tea _ comme tout auguste anglais qui se respectait ou encore sa dégaine d'hobereau, _ une
"Rose Tudor" en agrément immuable, apostrophe au badinage rutilant entre les Lancaster et les York, Nott magnifiait le berceau de son enfance. ;
Statut Civil Casanova fortifié et pourtant ô combien tiers-an de cette piétaille de petites gens qui débordait la galerie de catarrhe. Le misanthrope se conciliait dans sa tour d'ivoire, avec une accortise aussi libellule que la
"Belle de Nuit" pour ses
Henriettes. ;
Préférences sexuelles Malgré les moeurs dans lesquels il avait été fomenté, le cavaleur se régalait autant du velouté d'une galbe que d'une échine bien charpentée. Une faim-calle pour la chair et l'arôme qu'elle en dégageait ne cessait de l'importuner. Polarisé dans ses inclinations par la salicoque fragrante qui déblayait le tégument humain, le Garguantua se pourléchait les badigoinces sur une venaison de sapidité. ;
Statut du sang Limpide et pourtant blâmable par ses convenances. ;
Tradition Ordre d'Hermès, comme la majorité du bétail qu'il côtoyait. ;
Baguette Bois de cerisier, ovule mortifère qui épand des aléas à son propriétaire, _ en son coeur, une épine de monstre du fleuve blanc, seing seyant
(pas saint-seya) et musclé, _ 29,69 centimètres, aussi flexible que sa capacité à varier les sucreries. ;
Patronus à l'image de son animagus, un colossal hérisson de vingt-deux centimètres de longueur, les deux derniers centimètres dessinés par sa petite truffe moite. Bien loin de s'en flagorner, il courbait au mutisme quiconque bocarderait contre sa bienséance de ringardise. ;
Dons /// ;
Pouvoirs Comme cité à l'instant, le sucre-d'orge sur pattes s'exhibait en vaudevillesque hérisson, un bien cocasse chaperon pour un
Animagus.
Occlumens _ Garde-fou contre les inquisitifs, il s'était structuré un sceptre mental. Grillage abstrus. ;
Particularités TOC _ trouble obsessionnel compulsif; once malséante, moïse tracassin germinant doucement dans son intra-muros.
Activité Professionnelle, études, métier, autre Professeur d'arts obscurs flageoler les grosses têtes était une vraie complaisance.
caractèreCaractère ARISTO MAQUISARD _ Bien que guérillero à l’égard des mœurs de sa famille, il déshabillait pourtant de ses dissidences une dégaine de nobliau. Amalgame d’éloquence et de satire faisandée, de maestria et de pantalonnade, d’ouverture d’esprit et de rudesse à l’égard des Sang-de…moldus, il articulait un fantasque lascar. Le serpentard gondolait en lui jusqu’à l’appendice. SOLITAIRE _ Guère insolite, le félon ne s’était jamais infatué de la plèbe. Sa singulière entité lui suffisait. Situation paradoxale qu’était sa notoriété qui s’intensifiait de concert avec son degré d’inimitié. A priori, le masochisme était considéré parmi les serpentards. ASSIDU LOUSTIC _ Margoulin mais appliqué, le pendard prospérait dans les fumisteries à l’égard de ses condisciples. Son acoquinement avec Rosier n’avait en rien nuancé sa diablerie. Leur application dans les cours les acquittait d’apostille mais pas d’heures de colle. ANARCHIQUE _ Scrupuleux pour certaines choses, bordélique pour d’autres, il s’avérait indiscipliné pour le rangement. Cette nécessité de d’émiettement de ses affaires personnelles était une obsession ; le stigmate d’un café renversé sur ses cours, la discorde dans sa garde-robe, une feuille froissée dans chaque bouquin, une chaussette du couple à l’envers, etc. Préforme de maniphobie. COMBINARD INDISCRET _ Inclination à éplucher et dompter la moindre singularité musardant dans son sillage. Investigateur de la grande filature. Boucanier silencieux. Auditeur de l’ombre. SOIFFARD _ défenseur du « boit-sans-soif », sa déclive pour la bistouille le rendait plus familier, pour ne pas dire sauvage. Il se régalait d’un doigt d’ogre de l’Ogden’s Old Firewhisky, ou encore du même alésage, les ivresses moldues que lui avait fait apprécier Rosier dont le « Bowmore », whisky écossais distingué. Il en viendrait presque à considérer ces moldus.
histoireHistoire
I. ALCÔVE OPPROBRE
Ponte du petit broutard noir dans le berceau Nott, bramant sa subsistance immature dans les bras de sa génitrice _ Camille. Devancier de deux berges son benjamin, il fomentait dans le greffe de sa famille des tintouins de toutes les nuances. Blaste de diarrhée, le chiard Nott illustrait son évidence dans des incartades licencieuses. Aussi bien échu du poinçon pince-sans-rire de sa mère que du stigmate fignoleur de son père, il articulait un parfait tintement outrecuidant pour les haliotides étranglées. Allaité dans des usages drastiques où les bourbeux n’avaient pas leur agora, Camille se sentait déshydraté de rareté. Son dividende pour les Sang-de-bourbe mortifiait ses géniteurs dans un courroux despote. S’en suivaient des longs carcans ponctués d’endoloris, un vrai boléro de névrose lancinante. Le gnard faquin désenchantait à brûle-pourpoint après ce genre d’esclandre amère qui se digérait en vendetta méticuleusement corroyé dans le réseau électrique de son korrigan. Le puritanisme avec lequel il avait été modelé dans l’enclos familial l’avait astreint à s’édifier un alcazar mental contre les estocades formelles et musclées du Tarasque, qui se mussait sous les hachures ascétiques de sa daronne. « Gurgi, apporte-moi la potion Poussos. Elle n’a pas loupé mon tibia cette fois » bourdonnait-il entre des lèvres lézardées de sève vermeille, stigmate de l’algarade maternelle, à l’attention de l’elfe de maison.
II. RABOUILLÈRE DES SERPENTS BOUTE-EN-TRAIN
« Serpentard ! » Un infinitésimal angiospasme délayait la commissure droite de ses lèvres, la prémisse d’une occurrence grotesque venait de trottiner dans son esprit de loustic. Et si le choixpeau magique l’avait éconduit chez les blaireaux ? Cette ébauche évanescente le fit gondoler intérieurement. Mère l’aurait sûrement clabaudé entre deux Endoloris. Un roucoulement ouaté débordait sa lisière labiale. L’inéluctable dans l’accoutumé. Cariatide de bienséance, les bourgeons indigo nourris d’une froide appétence et sa bouche, grande gueule diraient d’autres, vrai crachoir d’insolence. L’héritier Nott se disjoignait déjà du bétail éphèbe qui s’était disposé à la table des ophidiens. Dragon solitaire qui estimait plutôt à mener son expertise fureteuse dans sa thébaïde mentale, plutôt que de s’entrelacer dans des accointances chimériques avec ses semblables. Facétie. Cerbère des ladres blaireaux, lions et aigles, il alléchait les coquins serpents dans les gifles verbales, fondues d’ergotage et de catachrèse. Quelques mercuriales s’évadaient de leurs lèvres lorsqu’un serpent, un orvet aux yeux de Nott, accusait son aplatissement. Pas de copinage. Nott chatouillait quiconque emmouscaillait sa hâte. Roi des artifices, il se repaissait de ses désinvoltures dans une égalité d’humeur qui faisait chanter pouilles à ses congénères. Nott fermait toujours la boucle du colloque orageux. Souvent acquitté par la plupart de ses professeurs pour ses égards consciencieux en cours, il récoltait malgré tout quelques grasses heures de colle. . ; _ Soie de confort dans la bibliothèque feutrée de l’école. Seul rosier était légitimé à contrarier le phylactère de bien-être dans lequel il se complaisait, loin des ouailles. « Que pensais-tu faire exactement, balourd ? » Chuchotait-il d’un timbre orageux, la gorge décapant l’écume lysergide de sa salive. Il fallut de peu pour que Rosier vienne forniquer sa joue de sa margoulette, prépotence de chatterie dont il se passerait bien. Concubinage diluvien, bésaigre, les deux serpents caressaient une camaraderie rocambolesque qui empiétait les idonéités. D’un point de vue moldu, il était sa Vénus de Milo, un enchantement prenant, ou serait-ce une diablerie de maléfice ? Entre Stupéfix et Riddikulus, les deux marauds dessinaient un duettino sciant. L’école ne lui avait jamais parue aussi désopilante qu’en présence de son petit muchkin, parallèle à leur mignarde attitude. Odyssée de méchefs aussi déraisonnables les uns que les autres, le couple de forbans agrainaient autant les agios que les griefs.
III. PARMI LES PETITES ESCARRES
Le mangemort enjôlait de ses cabans caïeux le seing profane qui lichaillait son avant-bras, un crâne éructant un serpent de son gosier. « Quelle chaude-pisse ! » invectivait-il entre ses lèvres gourmées. Qu’est-ce qu’il ne ferait pas pour l’autre enquiquineur. Reliquat d’un babillage conflictuel, escarmouche criarde, Nott et Rosier s’étaient sèchement chapitrés. L’insanité qui avait soustrait son ami à lui soumettre la sotte perspective de s’amalgamer dans la mauvaise graine des béni-oui-oui de tête de fœtus, soit Voldemort, l’avait complètement refroidi. Avant-goût d’un véritable litige entre les deux protagonistes. « Ok mais t’as intérêt à me fournir en dragibus jusqu’à la fin de ma vie, même quand tu seras claqué avant moi ! » Il avait finalement endossé le sale artifice pour jouer la grande mascarade. Officiellement, l’héritier Nott honorait simplement le nom de sa famille en s’alignant parmi ses patriciens. Officieusement, il filochait cette mauvaise gangrène pour le compte de son petit corniaud.Adoucissement devant le naturel présent de Snape dans son fard sépulcral. Son essence grisâtre rendait son hostie pour Archibald plus capiteuse. Ses investigations pour le compte de Rosier avaient bonifié ce dernier dans une charge ponctuée de compétences et d’obligations. Accortise féconde. Amitié mignarde. Il était décidemment trop bon pour son mâtiné camarade, ce cornichon.
IV. VENUS ANADYOMENE
Dragonne crachant son courroux, diablesse à la crinière lie-de-vin, la bouche écorchant des brûlures plutôt que des bécots languides. « La Harpie », hétéronyme amiteux venant d’Archibald, autrement appelée Victoria, avait tapé dans le cylindre du sycophante. Sa générosité physique l’inculpait sans nul doute dans cet allèchement mutuel. Son alter arsouille lui bourdonnait en continu les oreilles de son agio pour la « gorgone », _ « suceuse de bonheur » lui faisait-il chorus dans une ritournelle insoumise. Lui-même ne démêlait pas l’équation mathématique qui l’avait accablé à elle. Il pouvait juste lui accorder lui avoir donné une croquignolette babouine qu’ils avaient appelée « Remy », _ Archibald en avait été l’inquisiteur. Sa réalité lui avait fait deviner ce qu’était réellement l’amour. Sentiment fieffé. Père béat. Alcôve de concupiscence. Nul coup de théâtre mais un allègement césarien quand sa gorgone avait définitivement pris congé. Un automne après le bourgeon de son eldorado, Victoria avait cavalé dans le lointain horizon, sur le belvédère d’un autre jars bouché. Le naufrage du Léviathan dans les nébuleuses de l’incognito silencieux avait assoupi les eaux spumescentes qui ébranlaient jusqu’alors le manoir familial. Guère tracassé sur la pédagogie qu’il allait devoir dégarnir à l’égard de sa roussette momignarde, chaperonné par Archibald en « nouvelle maman » et Maxym, la bourgeoise de son pair et la marraine de Remy. Les deux mouflettes _ Remy et Ambroise, ourdies ainsi par les égards hypocoristiques des trois mousquetaires, louvoyaient une vie de famille particulièrement buissonnière.
V. IVRE LYPEMANIE
Lacération miroir. Une pérenne nuit de sable noir s’était écrasée sur leur atma. La dernière oriflamme, qui pâmait leur ciboulot, s’était émoussée dans la camarde. Crève-cœur qui contractait en otage les défunts père et parrain dans une geôle de calvaire. L’échancrure déballait à vif l’acmé de leur perdition. L’apsara et la petite poupée, et donc sa tendre filleule, de son ami avaient été les martyrs d’écorcheurs chafouins. Maxyme et Ambroise n’étaient plus que des reliques de tendresse dans leur réminiscence.
« Vas-y ma chérie » chuchota-t-il à Rémy, les prunelles affolées devant la souffrance perceptible de son parrain. La gorgé décapée dans une déglutition amère, il imitait sa pouparde et se fondait dans l’échine de son ego, son frère de cœur. La petite main de Remy étreignait celle d’Archibald dans une poigne qui se voulait lénifiante et cajoleuse, malgré les gémissements défaits qui dodelinaient sur ses bajoues, ponctuée par la sienne qui comprimait son épaule dans une étreinte qui témoignait son pilastre. (…) _ « Tu ne peux décemment pas vivre seul archi ! Tu pourrais te couper avec un coton-tige ! On s’installe chez toi. Pas de négociation possible » avait-il lâché en dépêchant ses attirails et celle de Remy dans les pénates de Rosier. L’esquisse d’une fraîche ardeur sous un gré chaperon. Le désir de chasser doucement les papillons noirs de son horizon et d’ouater sa lypémanie lui avaient ainsi chamboulé « éphémèrement sur le long terme » son domicile.
VI. VOLTE-FACE
« J’ai un cours qui te correspondrait à merveille »
Nott démasquait sans mal le persiflage de Snape. L’inflexion de rogomme qui balançait ses cordes vocales n’augurait rien de bon. Soupir épanché lorsque son ancien condisciple de « tête de fœtus, avadakedavriseur de petits juifs sorciers » lui présentait le cours d’Arts Obscurs et non de divination. C’était le cours ad hoc pour un mangemort retraité.
(…) La disgrâce de Voldemort s’était précédée par la dérobade de Nott dans l’équivoque de l’anonymat. Le félon s’était asservi du joug du ‘pandémoniaque Seigneur des orvets’, s’esbignant loin des représailles à venir. De connivence avec Rosier qui siégeait au département des mystères, il était javellisé des flétrissures qu’on aurait pu lui reprocher. Son homonyme judas avait été, et ce depuis le berceau de la grande fanfaronnade, abrogé de la liste des interlopes fidèles de Voldemort. Il pouvait bien lui devoir ça. Après un chaste printemps dans l’anonymat, le temps que l’entropie qui succédait la fracture du Lord innomé fléchisse, le diableteau s’était exhorté aux portes de Poudlard avec un avant-goût de vestige. Reliques d’une atmosphère sémillante.
FT. Benedict Cumberbatch;
Pseudonyme MEXICALI ROSE / Chloé ;
Âge 27 ans ;
Comment as-tu trouvé le forum ? par archinounet/drago ;
Un petit mot à ajouter ? ce fofo gère déjà la fougère! ;
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