| Mar 16 Avr - 20:24 | CHARLIE ADAM DAVIDSON OCCAMY OC-CALME Nom Davidson, c'est comme le Port-salut, c'est marqué dessus ; Prénoms Charlie Adam, heureusement que les parents ont pas trouvé plus lambda comme prénoms... ; Âge seize balais remarque... si j'avais autant de balais de course chez moi, j'me plaindrais pas ; Date de naissance 1e Avril j'aurais préféré un poisson... ; Lieu de naissance Tenby, un bled au Pays de Galle quoi... ; Signe astrologique Bélier, pour ce que j'y crois ; Nationalité Gallois et si, c'est une nationalité, quoi ? Comment ça le Royaume Uni ? ; Statut Civil Célibataire ; Préférences sexuelles Aucune idée, faut vraiment remplir tout ça pour s'inscrire à Poudlard ? ; Statut du sang né-moldu, ça pose un problème à quelqu'un ? ; Tradition Ordre d'Hermès ... pourquoi Hermès, d'ailleurs ? Pourquoi pas Athéna ? Elle a une chouette plutôt que des sandales à plume, c’est plus classe ; Baguette 25 centimètres, très souple, très facile d'usage, bois de peuplier et plume de phénix ; Patronus un lapin nain angora ouais, c'est fluffy, et alors ? ; Dons je sais faire la meilleure pâte à pizza de tout Poudlard, c'est pas rien En même temps, avec les elfes de maison, les sorciers, y’ s’foulent pas des masses pour apprendre la tambouille ; Pouvoirs dormir en cours sans me faire repérer, ça vaut de l'or ; Particularités je travaille mieux en dehors des cours... il faudrait autoriser les élèves à sécher si c'est pour le plus grand bien Activité Professionnelle, études, métier, autre Poudlard, 6e année, maison au choix du staff, j'aime les surprises ! CARACTÈRE & ANECDOTESJe suis pas un mec compliqué. Je fais partie de ces ados insouciants qui aiment leurs bouquins, leur animal de compagnie, leurs loisirs et leurs potes. Le genre de gars un peu souple, un peu coulant, sans histoire et sans problème. J’aime me promener dans le soir tombant, une écharpe autour du nez, un bonnet sur les cheveux, mes grosses lunettes dépassant à peine de l’armure de mailles. J’aime aller jusqu’aux serres, contourner le lac, m’attarder près du terrain de Quidditch.
Main dans les poches, un bouquin sous le bras, on me voit déambuler à la recherche de l’endroit le plus tranquille et confortable pour bouquiner ou laisser gambader Civet*, mon lapin angora nain de compagnie. Peut-on trouver animal plus adorable que celui-là ? De grandes oreilles pelucheuses, un petit museau craintif, un œil brillant quand tombe laitue et carotte. Je l’emmène presque dans tous les cours, sauf en potions et métamorphose : c’est un peu trop risqué, il pourrait tomber dans un chaudron ou être pris pour cible. Il mange dans mon assiette et dort dans mon lit. Ce lapin et moi, on est unis par les liens sacrés du grignotage. Ben quoi ? Faut bien boulotter, y’a pas que les livres dans la vie. Je passe mon temps voûté sur de vieilles pages, à essayer tous les enchantements les plus tordus qui soient, alors si en prime, j’ai même plus le droit de me baffrer de chocogrenouilles, c’est bon, quoi. Et Civet m’accompagne dans toutes mes lectures, c’est un gardien patient, et un peu trouillard. En même temps, les lapins sont des proies, des herbivores. Ils ont développé de sacrées techniques de survie, et ça passe par une hypervigilance et un putain de talent pour se planquer. Non, vraiment, Civet, c’est un super lapin de compagnie.
Outre les livres et Civet, ce que j’aime, c’est la cuisine. Attention, les enfants, je ne parle pas ici d’un bun, des tomates un steack, du frometon et paf ça fait un burger. Non, je parle d’Art Culinaire. J’ai l’air insouciant ou un peu taiseux la plupart du temps, mais il paraît que je deviens adroit et bouillonnant d’ardeur lorsque je me mets à cuisiner. Comme quoi, la passion, ça transporte ! Par chance, je sais où se trouvent les cuisines de Poudlard. De fraternisation avec les elfes de maison en recettes chapardées, j’ai pu m’y faire une petite place. Parce que lorsque je quitterai cette école, j’ouvrirai un restaurent gastronomique dans le Londres Sorcier ! Et là… aha ! On verra bien qui rira le dernier entre tous ces gens qui veulent devenir des gens importants, types aurors, médicomages, et le pauvre con qui voulait être juste « cuisinier » mais chez qui tous ces types important viendront s’enivrer de douces victuailles !
En gros ? Je suis un gars gentil, même si ça ne m’empêche pas d’être un peu obtus quand je m’y mets. Je ne cherche jamais les noises le premier, et je fuis les confrontations quand je le peux. Régler les choses à l’amiable, c’est carrément mieux. Mais parfois, il n’y a pas le choix, il faut tenir bon et se montrercourageux pour ceux qu’on aime : ma famille, mes rares amis et mon lapin, surtout !
*L’autrice de cette fiche tient à préciser que le nom du lapin a été choisi par Asao et qu’elle décline tout élan carnassier vis à vis de ce pauvre animal qui n’a rien demandé. CURRICULUM VITAEAh, mon histoire ? Vous êtes décidément bien curieux. Je suis né, dans une petite ville du Pays de Galle, un premier avril, il y avait déjà forcément du running gag dans l’air. Ah ça, il est beau, l’enfant du pays : un petit poupon blondinet irrésistiblement attiré par tout ce qui est orange et comestible (des carottes aux abricots en passant par les agrumes). Le poupon vorace devient un gamin curieux. Un gamin qui pige pas bien, quand même, comment il arrive à faire léviter des cailloux et pourquoi il se retrouve en haut des arbres en éternuant. Ce sont des ratés qui arrivent…
Mes parents sont des moldus, plutôt cartésiens. Ma mère est laborantine, mon père professeur de mathématiques. Rien qui ne puisse prédestiner ce couple à voir son fils unique développer des petits talents cachés et disons… magiques. Ils partaient du principe que j’étais un petit bout turbulent débordant d’imagination et capable de leur raconter tout un tas d’histoire pour les impressionner. Comment auraient-ils pu croire avec raison que leur enfant pratiquait la magie ? Moi, j’ai bien compris, à ce moment-là, que ça valait pas le coup d’insister. J’ai fait ma p’tite vie dans mon coin, en grignotant des friandises, en dévorant des bouquins. Combien de fois n’ai-je pas lu A la croisée des mondes ou le Seigneur des Anneaux à la recherche d’un truc qui pourrait expliquer mes pouvoirs magiques ? L’explication était pourtant simple pour le gamin que j’étais : je devais être un semi-elfe. Tolkien était formel : la magie, c’étaient les elfes.Et en plus, comme j’étais blond, forcément, ça devaient être des elfes de la Lorien ou de la Forêt Noire. C’est quand même la classe non ? Thranduil, Légolas, c’étaient mes héros.
Je me suis mis à chercher dans l’arbre généalogique une trace de sang elfique, demandant à mes parents et grand parents de me montrer les albums photo de famille. Autant dire que le résultat ne fut pas des plus concluants. Par chance, j’ai fini par avoir onze ans. Et qui dit onze ans, dit lettre de Poudlard. En fait de lettre, y’a eu qu’un grand bonhomme noir qui s’est pointé chez mes parents après les avoir appelés par téléphone. Longue discussion, soupirs incrédules. Le grand Severus Rogue venait de prendre ses fonctions de directeur de l’établissement et était venu annoncer à mes parents qu’en raison de travaux, je pourrais pas être admis à Poudlard pour le moment, mais qu’il me fallait quand même une éducation magique pour éviter de représenter un danger pour moi-même et les autres. Il leur a laissé la brochure d’Ilvermorny, arguant que ça serait mieux que rien, et s’est tiré. A l’époque, j’ai été terrorisé à l’idée d’aller passer une année aussi loin. Et d’abord, quel genre de travaux pouvait nécessiter une année, comme ça, de fermeture ? Je ne le savais pas, mais Poudlard se remettait lentement d’une grande bataille.
Mon année aux Etats-Unis a été flippante malgré l’enthousiasme de mes parents. Je n’aime décidément pas beaucoup l’Amérique, et je ne parle pas seulement des tensions qu’il y avait entre les USA et l’Irak. Même les élèves sorciers en parlaient, de la guerre, comparant la situation des moldus américains à celle de l’Angleterre Sorcière. Je ne comprenais pas bien le parallèle entre une situation géopolitique tendue et un mage noir poppé d’on ne savait où. Faut dire que l’histoire m’avait jamais passionné… jusqu’à ce que je rentre à Poudlard en septembre 1999. On a été nombreux à être répartis cette année là, et je me suis retrouvé dans une maison qui aurait pu être autre. Ça m’est toujours un peu passé au dessus du crâne ces histoires de maison. Ce qui ne me passait plus du tout au dessus du crâne, en revanche, c’étaient deux choses essentielles : les stigmates de la guerre, déjà, encore visibles jusque dans le parc de Poudlard où sommeille Albus Dumbledore. Et puis mon lapin. C’est cette année là que mes parents m’ont offert Civet, une jeune boule de fourrure affectueuse que je ne devais plus quitter. Lapin sur l’épaule, dans le col ou dans la poche, je prenais le chemin des cuisines, de la bibliothèque, du parc et je m’y perdais en lectures, grignotages, discussions, renseignements. J’ai commencé à prendre conscience de nombreuses dissonances dans le monde de la magie : ces histoires de sang pur, le statut des créatures magiques, la guerre qui faisait encore rage, les attentats.
C’est aussi au cours de ma deuxième année que j’ai vécu, en direct in live le retour du grand héros Potter. Effondré au milieu de la grande salle, il a foutu une sacré stupeur dans les lieux ! En même temps, quelle idée de disparaître comme ça pour re-popper un an plus tard ? Même si je n’avais jamais vu Harry Potter avant, son nom était sur toutes les lèvres depuis le début de ma scolarité… Difficile de le louper, il avait même eu droit, à ce qu’on disait, à des funérailles symboliques. C’est tout de même pas de pot de survivre à son propre enterrement !
Mes années suivantes m’ont permises d’apprendre à toujours mieux connaître le monde de la magie. Étonnamment, depuis le retour d’Harry Potter, tout semble s’accélérer. C’est comme si toute la société magique s’était remise en marche. Procès, actualité brûlante, assassinat du ministre, nouveau ministre… Wait ? Vous voulez dire qu’on est gouvernés par un gamin de vingt ans à tout péter ? Mais qui s’est dit que ça serait une bonne idée ? Même moi, à l’époque, j’avais bien vu que l’on n’allait pas échapper aux catastrophes. Je me suis tenu aux aguets. Peut-être est-ce parce que je suis né moldu, ou parce qu’avec mon air de ne pas y toucher, je suis un peu plus mature que mon âge, mais j’ai voulu comprendre. Gamin, beaucoup de choses m’échappaient : comment comprendre les réelles implications d’Harry Potter pour le monde magique si l’on ne sait rien des deux mages noirs qui se sont succédés, Voldemort et Grindelwald ? Mon apprentissage s’est fait petit à petit, et j’ai pris du plomb dans la cervelle jusqu’à rejoindre, en 5e année, le club de journalisme. Après tout, autant être sur les ondes et se tenir à la pointe de l’actualité. J’ai lu beaucoup, fouiné beaucoup. Quel meilleur moyen d’apprendre que de sortir des sentiers tracés par d’autres ?
Et puis il y a la cuisine. Ah, l’art culinaire ! J’ai appris le sens de la bonne bouffe en arrivant à Poudlard. Les elfes de maison font miracles. De fil en aiguille, j’ai commencé à fraterniser avec eux, leur soutirer des recettes. On apprend énormément en étudiant les coutumes culinaires, et je me suis peu à peu décidé pour cette carrière. La nourriture a toujours été un apaisement pour les esprits et les coeurs, il suffit de voir l’effet d’un bon banquet à Poudlard. J’ai commencé à m’entraîner dès ma quatrième année et à capitaliser toutes les connaissances utiles qui pouvaient être mises au service de ma grande oeuvre. Un château de Poudlard en pâte à chou avec de la crème plus crémeuse que toutes les crèmes moldues du monde sur une base de sept couches de gâteau au chocolat révélant toute la saveur du cacao ! La métamorphose ? Pratique, même si on ne peut convoquer de bouffe. Les potions et la botanique ? Indispensable. L’histoire du monde sorcier ? Pas du tout utile, mais passionnant. Les sciences moldues ? Après tout, cuisiner, c’est comme faire de la chimie. Y’a que la défense contre les forces du mal qui ne me sert à rien… mais vu les dernières années, je pense que jouer la sécurité n’est pas une si mauvaise idée, non ?
Et un jour, Charlie Davidson mettre à genoux tous les gourmets du monde magique !
FT. Lucky Blue Smiths ; Pseudonyme Christy ; Âge 29 ans, toujours ; Comment as-tu trouvé le forum ? c’est un retour ; Un petit mot à ajouter ? merci de me ré-accueillir ; Ta fréquence de connexion surtout le soir, lorsque mon fils dort. Dossier scolaire POUDLARD
GRYFFONDOR SERDAIGLE | 6E ANNÉE | CLUB ÉCHECS CLUB JOURNALISME |
BUSES & ASPICSCours suivis : Sciences moldues, Histoire de la magie, Potions, Botanique, Métamorphose, Sortilèges
Résultats aux BUSE : si déjà passées (pour les élèves de 6e et 7e année) - Sortilèges – E - Métamorphose – O - Potions – O - Botanique – E - Défense contre les Forces du Mal – A - Sciences Moldues – O - Histoire de la magie – O - Astronomie – A - Divination – T - Etude des Runes et des Oghams – E
|
|