Nom MALEFOY. Pédants monarques, grandiloquents sur le trône branlant. Malingre pouvoir, obésité d'orgueil et d'arrogance. Rois déchus aspirant à la couronne. ; Prénoms DRAGO. Vestige d'un ganache béjaune, évaltonné moutard largué aux confins d'un ignominieux passé ; Âge 23 POUSSIÈRES. Ribambelles d'impuretés maculant l'azur oculaire ; Date de naissance 5 JUIN 1980. A l'orée d'une inépuisable canicule, chérubin promis à moult ingratitudes ; Lieu de naissance Londres, MANOIR MALEFOY, dignité culbutant le glas d'une gésine escarpée ; Signe astrologique GÉMEAU. Ironie d'un emphatique soliste ; Nationalité ANGLAISE. Hétéroclite patriotisme ; Statut Civil MARIÉ. La flavescente au cœur de l'union. Princesse du palpitant, idylle fugace. ; Préférences sexuelles HÉTÉROSEXUEL BUTÉ. (jusqu'à preuve du contraire), ivresse des voluptueuses courbes, scotomisation du moindre pédoque appétit. Amnistie d'un passé où les mirettes reluquaient parfois les galbes masculins, dans les vapeurs des vestiaires ; Statut du sang PUR. Par-dessus les souillons, icare voltige, de fatuité et de réclamations ; Tradition ORDRE HERMES ; Baguette BOIS DE HOUX, 31 CM, EPINE DE MONSTRE DU FLEUVE BLANC (anciennement bois d'aubépine, 25cm, crin de licorne) ; Patronus CYGNE. Prouesse immaculée à l'épilogue de la guerre. Liesse vaporeuse aux souvenances des exploits maternels. Reine de coeurs, la matrice dorée règne à travers l'égard et le respect d'un héritier rescapé ; Dons probe pureté, intacte des tares et bavures ; Pouvoirs ANIMAGUS (chat blanc), ambition mortifère au besoin de se musser des ophidiens lucarnes et des babines furies. Labile armistice dans la bienheureuse pénombre ; Particularités nulle autre que sa majestueuse ascendance, outre les ratés paternels. Activité Professionnelle, études, métier, autre JOUEUR DE QUIDDITCH (Attrapeur de l'équipe anglaise les Tornades), popularité narcotique, adrénaline délétère dans les vastes cieux. Honorable réputation d'un parfait raté devenu quelqu'un.
caractère
Caractère
(+) PASSION ) Odalisque dilection pour la vie. Charon effleuré trop tôt, la moindre platitude s'est retrouvée dilapidée au rythme d'un souffle igné. Le cœur palpite. Des couleurs, des odeurs. Idylle à la vie. Tremble la chair, s'émeut l'encéphale, sous l'hélianthe monarque.
(+) LOYAUTÉ ) Dans la nécropole des songes, les phalanges s'unissent dans un bain sanglant. Épousailles de conviction envers et contre tous. Indéfectible meute. Rugissent les freux, se muent volontiers bellicistes à l'antipode d'un révoltant gouvernement. Lucarne d'un fervent bigot pour l'empyrée cardiaque. Reine et princesses adulées. La paluche s'offre assassine aux émules inopinées.
(+) PERSÉVÉRANCE L'oubliette d'une ardoise couarde et judas. Ténacité aux méphistophéliques lendemains. Pulse du coeur. D'une néophyte hardiesse, il crevasse les embûches et varappe par-dessus l'écluse quotidienne.
(-) INFLUENÇABLE Fébrile cuirasse. Rognure d'identité. Pétri d'aubades et de gouailles, l'altesse se noie dans l'écume incertaine. Vulnérabilité nippée sous imperturbable faciès dont la muse conjointe est seule témoin.
(-) NOSTALGIQUE Motte de ferreux regrets. Cavale d'une jeunesse émoussée. Maturité précoce où twistent moult mânes. Souvenance du passé. Pléthore d'insouciance, de liesse et de fredaines. Échelons torréfiés où l'enfant est contrait responsable et accompli à l'après-demain prématuré.
(-) ORGUEILLEUX Dépenaillé, soumis à l'enfléchure paysanne, la pureté devient dérisoire. Paon qui proteste, s'insurge à outrecuidance. Nobles déchus. Ruine des monarques. Originels voués à l'oubli, dans la nébuleuse politique d'un preux crétin et d'une hideuse intello.
histoire
Histoire
NAISSANCE. Des ingénues ventrailles, Apollon se dégueule, frêle mais torrentiel. Ostentation emblématique. Vaniteuses vomissures. Chérubin éboulé dans un aurifère linteau. Décrypté d'une altière génétique, mouflet voué au fastueux parangon des nobles impérieux. Ainsi psalmodie l'écusson des augustes vipères depuis l'exode - au temps jadis - d'Armand Malefoy.
ENFANCE.Prince aux précieux chaussons. Dans les méandres du désuet manoir, il lanterne, le blondin petiot. Grimé de superbe et d'insolence, ratissant la plèbe d'une œillade opulente. Dessous l'étoffe dispendieuse, mitonne l'élitisme abreuvée depuis le souffle inné. Succube des calomnies, Pinocchio sillonne, l'allure diaphane, dédaignant inappétence pour roturiers, snobant d'un fiérot soupirail les échines courbées dans bagatelles et sueur. Évanescent moucheron dans le vestige duquel persiflent manants dans leurs clopinards oripeaux.
POUDLARD. Dans la marmaille turbulente, le serpenteau fendille la plèbe d'un appétit rapace. Flânerie d'ardeur et de convoitise. Petit roi flanqué d'inféodés vassaux. Flavescent quêtant luxure. Potter en ligne de mire. Célébrité parmi ses trophées. Pourtant, Bambi s'ébroue... Opprobre saillante. Parjure. Anomalie dans sa routine de fayots. Bigleux effarouché devenu gloriole émule au fil des cuvées. De simples blasphèmes à joutes sanglantes, le fiel foisonne dans les juvéniles palpitants. Se mue, vorace, barbare. D'orgueils et de préjugés, prince labourant sentier jusqu'au culmen de sa ruine.
SANCTION. Louange au paternel désavoué. A sa grandiloquente débâcle. Besogne mis en faillite au détour des prophéties. Potter vit. Toujours. Et lui, échine voûtée, endure la médullaire d'une ire despotique. Bois le calice d'un Lord courroucé. L'ombre se noue. Sacerdoce patibulaire. La rétine trémule à l'odieuse pénitence. Mourir ou se proclamer meurtrier. L'un comme l'autre ceinture l'ophidien d'une rubescente conclusion. Aux pieds de sa médiocrité, il le considère - ce vieux fou - imperturbable, l'orbe dépitée. Plus que jamais rongé par Chronos. Ruine du titan. L'esquisse inaltérable d'un homme usé, basculant le voile. D'une tâche qu'il n'a sut accomplir, lâche, désappointé. Jeunesse dépouillée, pétrie à vif. Pantin désarticulé. Ruine pourtant éludée à ras du Styx par l'entreprise maternelle. Moucheron désaxé saisit du bout des immaculées phalanges et déchaumer de l'écume moribonde. Alors, titubant, le galopin joint le flavescent sillage, le cœur benoît et nanti d'ivresse. Les doigts écorchés entrelaçant leurs jumelles, quoique parcheminées, flétries par le temps. Heureux d'avoir survécu à ses côtés. La mère adulée.
GUERRE Dumbledore est mort. Longue vie au chaos. Aube méphitique où s'accordent les scélérats et gloussent les carnages. Impotent spectateur, il emboîte la cadence parental. Contemple l'entropie. L'empire moribond par-dessus lequel baguenaude le Seigneur des Ténèbres. Réalise seulement l'horreur, les muets cadavres. Ce n'est pas un jeu. Ne l'a jamais été... L'humanité chavire jusqu'à l'apogée amarante. Potter, Voldemort. Évanescence des augustes némésis. Où sont-ils? Disparus, laissant chaos faramineux dans le sillage de leur sempiternel combat.
POST-GUERRE. Potter rescapé. Potter ministre. L'élu, le héros est de retour. Gerbant sa grandeur, mettant à mal les instigateurs de la grande guerre tel un errant ribaud. Dans l'étreinte nuptiale de son couple, Draco ne sait quoi penser. La femme pétrit chevelure. De blond à brun, attentat d'identité, au désir de rompre avec l'abjection paternelle et son inéluctable association. Roulant baiser sur le galbe délicat, pressant charpente contre la croupe enfiévrée, il tourbillonne de nébuleuses pensées. Pilonnant sa dulcinée d'amour dévotieux, il entend pourtant gronder l'écho des nobles insurgés. Doit-il s'en soucier? Du haut des cieux, enfourchant balai, perçant les nuages, bras tendu, en quête du vif d'or. Loin de la politique, le prince déchu ne soupçonne l'impulsion révolutionnaire dont sa mère en sera la solennelle orchestre.
INSURRECTION. Murmures létaux. Intoxication concassant le blondin cortex. Dans l'ombre de la reine, soupire l'odalisque félon. Étau mortifère dans laquelle se perd le tourtereau. Ébauche d'une esquisse paternelle. Occulte fourberie. Lentement, l'héritier mis en déroute. Sublimé, désappointé par les palabres de l'insidieux Nott. Dans l'influence de moult personnalités, il hésite, titube dans le sillage maternelle. S'en fait fieffé dévot. Culte de la génitrice. Si l'affection a toujours été creuse pour le père, le cœur chevrote d'encensement pour la sacrifiée. Hydre dessous le velours, marâtre s'inclinant aux moindres bassesses pour épauler le délicat bourgeon. Une éternité d'oblations ne suffirait à glorifier la Sainte Mère. Alors, désireux de chambarder la balance, le morveux se pâme comme l'épée de belle Damoclès. D'un jour à l'autre, à la tête d'un inopiné mouvement. Mère et fils, les immaculés aspics, mènent la danse. La première, ferme et ambitieuse. Le second, velléitaire, enlacé dans la sournoiserie de Camille Nott et des idéaux maternels. Esprit irrésolu, flanchant au rythme d'une nouvelle révolution. Enhardi par l'appétit de redorer le blason et remboîter la plèbe d'une boyarde foulée. Quatre années d'affront et de déconvenue gerbées à l'écho du patronyme. Malefoy? Dégonflées, mollasses ophidiens. Biroute flasque des grands judas. A qui la faute? Lucius se murmure avec aigreur. Reniant encore et toujours le daron bien diffère. Intrépide dans l'obscurité, il entend ses sanglants échos d'une oreille distraite. Ne souhaite rétablir le contact. Déchet de l'humanité négligé dans le vestige nébuleux d'un avenir labile. Au désir de mener la danse jusqu'à sa conclusion. Et contrairement au fossile déclassé, lui saurait joindre triomphe du bout des doigts.
FT. bill skarsgard; Pseudonyme passe puimiroir ; Âge 27y ; Comment as-tu trouvé le forum ? quelle question ; Un petit mot à ajouter ? ; Ta fréquence de connexion quotidienne
Bienvenue sur le forum (si, j'y tiens : souhaiter la bienvenue à ses membres, même de la première seconde du forum, c'est essentiel ~)
Nous passerons lire ta fiche une fois le forum ouvert, mais dès à présent je puis dire que c'est un réel plaisir de savoir Drago incarné par ta plume Hâte de te lire par avance !
Si d'aventure tu rencontres la moindre difficulté sur le code de la fiche, n'hésite pas à me le signaler ^^ j'ai peut-être eu un raté ou deux en la codant à des heures indues ! Merci à Drago de se dévouer pour le Crash-test ~
L'Enchanteresse
L'ENCHANTERESSE
hiboux : 507
pictures :
Becoming a dark lady | Death eater wife | Ruling her world
Mon fils Je bouillonne de donner la réplique à si prometteur Malefoy ! (Mais un Malefoy est toujours prometteur, de même qu'un Black, c'est le sang qui veut ça, n'importe qui vous le dira).
Si tu as besoin de précisions sur ce que j'ai en tête pour Narcissa, n'hésite pas à passer par MP ou par discord, je me tiens à ta disposition (je serai sans doute moins au taquet que vous sur les fiches, mon supérieur ne veut pas me laisser poser un congé pour cause de RP, c'est fou )
Bonne chance pour la fiche que nous passerons lire (ou relire) attentivement à l'ouverture du forum. (Et Maman Narcissa valide ce Patronus )
Bon je sais qu'on avait dit qu'on validait que dalle tant que le forum n'était pas ouvert, mais je passe tout de même, puisque j'ai ma propre fiche à écrire.
Je pense que ce qui noie d'évidence, c'est de souligner à quel point j'ai pris plaisir à te lire, et à quel point je frémis d'anticipation à l'idée de te donner la réplique. Tu écris divinement bien, et ta fiche prouve aussi que tu as su modeler un Drago au caractère absolument passionnant. Tu as su faire jaillir l'intérêt du personnage dans ce contexte, et je suis plus que ravie que tu incarnes ce qui promet d'être un magnifique Drago Malefoy !
Il y a juste quelques petits points sur lesquels je veux bien quelques précisions. Si tu peux ajouter une ligne ou deux, ce sera parfait ! C'est surtout sur l'après chute de Voldemort, tout le reste est parfait, saisissant en peu de mots. Je suis vraiment impressionnée et émerveillée de ma lecture. Donc, les points où j'accepte quelques précisions : - son lien à sa mère (tu parles beaucoup du père, mais je me demande comment il considère Narcissa au cours de son enfance. Elle aura été sans doute assez effacée dans les affaires de famille mais tout de même présente pour son fils, donc je suis curieuse). - ses ambitions propres dans l'insurrection ; pourquoi y prend-il part ? - son lien à son père devenu bras à tout faire de l'Insurrection : a-t-il encore des contacts avec lui ?
A part ces questions, tout est parfait à mes yeux, et je me réjouis très sincèrement de te donner la réplique !
Quel Drago prometteur ! La fiche est rudement plaisante à lire, et saisissante : je rejoins Narcissa, c'est assez fou ce que t'arrives à balancer en si peu de mots, et ton écriture est très expressive.
Bienvenue ici avec ce personnage que tu t'es approprié de belle façon, et au plaisir de croiser Monsieur Malefoy
Les points demandés ont été apportés. Par facilité pour toi, je te cite l'histoire en soulignant les nouveautés apportées J'ai, de plus, modifié son équipe quidditch d'affiliation, à la demande de Severus.
Drago Malefoy a écrit:
NAISSANCE. Des ingénues ventrailles, Apollon se dégueule, frêle mais torrentiel. Ostentation emblématique. Vaniteuses vomissures. Chérubin éboulé dans un aurifère linteau. Décrypté d'une altière génétique, mouflet voué au fastueux parangon des nobles impérieux. Ainsi psalmodie l'écusson des augustes vipères depuis l'exode - au temps jadis - d'Armand Malefoy.
ENFANCE.Prince aux précieux chaussons. Dans les méandres du désuet manoir, il lanterne, le blondin petiot. Grimé de superbe et d'insolence, ratissant la plèbe d'une œillade opulente. Dessous l'étoffe dispendieuse, mitonne l'élitisme abreuvée depuis le souffle inné. Succube des calomnies, Pinocchio sillonne, l'allure diaphane, dédaignant inappétence pour roturiers, snobant d'un fiérot soupirail les échines courbées dans bagatelles et sueur. Évanescent moucheron dans le vestige duquel persiflent manants dans leurs clopinards oripeaux.
POUDLARD. Dans la marmaille turbulente, le serpenteau fendille la plèbe d'un appétit rapace. Flânerie d'ardeur et de convoitise. Petit roi flanqué d'inféodés vassaux. Flavescent quêtant luxure. Potter en ligne de mire. Célébrité parmi ses trophées. Pourtant, Bambi s'ébroue... Opprobre saillante. Parjure. Anomalie dans sa routine de fayots. Bigleux effarouché devenu gloriole émule au fil des cuvées. De simples blasphèmes à joutes sanglantes, le fiel foisonne dans les juvéniles palpitants. Se mue, vorace, barbare. D'orgueils et de préjugés, prince labourant sentier jusqu'au culmen de sa ruine.
SANCTION. Louange au paternel désavoué. A sa grandiloquente débâcle. Besogne mis en faillite au détour des prophéties. Potter vit. Toujours. Et lui, échine voûtée, endure la médullaire d'une ire despotique. Bois le calice d'un Lord courroucé. L'ombre se noue. Sacerdoce patibulaire. La rétine trémule à l'odieuse pénitence. Mourir ou se proclamer meurtrier. L'un comme l'autre ceinture l'ophidien d'une rubescente conclusion. Aux pieds de sa médiocrité, il le considère - ce vieux fou - imperturbable, l'orbe dépitée. Plus que jamais rongé par Chronos. Ruine du titan. L'esquisse inaltérable d'un homme usé, basculant le voile. D'une tâche qu'il n'a sut accomplir, lâche, désappointé. Jeunesse dépouillée, pétrie à vif. Pantin désarticulé. Ruine pourtant éludée à ras du Styx par l'entreprise maternelle. Moucheron désaxé saisit du bout des immaculées phalanges et déchaumer de l'écume moribonde. Alors, titubant, le galopin joint le flavescent sillage, le cœur benoît et nanti d'ivresse. Les doigts écorchés entrelaçant leurs jumelles, quoique parcheminées, flétries par le temps. Heureux d'avoir survécu à ses côtés. La mère adulée.
GUERRE Dumbledore est mort. Longue vie au chaos. Aube méphitique où s'accordent les scélérats et gloussent les carnages. Impotent spectateur, il emboîte la cadence parental. Contemple l'entropie. L'empire moribond par-dessus lequel baguenaude le Seigneur des Ténèbres. Réalise seulement l'horreur, les muets cadavres. Ce n'est pas un jeu. Ne l'a jamais été... L'humanité chavire jusqu'à l'apogée amarante. Potter, Voldemort. Évanescence des augustes némésis. Où sont-ils? Disparus, laissant chaos faramineux dans le sillage de leur sempiternel combat.
POST-GUERRE. Potter rescapé. Potter ministre. L'élu, le héros est de retour. Gerbant sa grandeur, mettant à mal les instigateurs de la grande guerre tel un errant ribaud. Dans l'étreinte nuptiale de son couple, Draco ne sait quoi penser. La femme pétrit chevelure. De blond à brun, attentat d'identité, au désir de rompre avec l'abjection paternelle et son inéluctable association. Roulant baiser sur le galbe délicat, pressant charpente contre la croupe enfiévrée, il tourbillonne de nébuleuses pensées. Pilonnant sa dulcinée d'amour dévotieux, il entend pourtant gronder l'écho des nobles insurgés. Doit-il s'en soucier? Du haut des cieux, enfourchant balai, perçant les nuages, bras tendu, en quête du vif d'or. Loin de la politique, le prince déchu ne soupçonne l'impulsion révolutionnaire dont sa mère en sera la solennelle orchestre.
INSURRECTION. Murmures létaux. Intoxication concassant le blondin cortex. Dans l'ombre de la reine, soupire l'odalisque félon. Étau mortifère dans laquelle se perd le tourtereau. Ébauche d'une esquisse paternelle. Occulte fourberie. Lentement, l'héritier mis en déroute. Sublimé, désappointé par les palabres de l'insidieux Nott. Dans l'influence de moult personnalités, il hésite, titube dans le sillage maternelle. S'en fait fieffé dévot. Culte de la génitrice. Si l'affection a toujours été creuse pour le père, le cœur chevrote d'encensement pour la sacrifiée. Hydre dessous le velours, marâtre s'inclinant aux moindres bassesses pour épauler le délicat bourgeon. Une éternité d'oblations ne suffirait à glorifier la Sainte Mère. Alors, désireux de chambarder la balance, le morveux se pâme comme l'épée de belle Damoclès. D'un jour à l'autre, à la tête d'un inopiné mouvement. Mère et fils, les immaculés aspics, mènent la danse. La première, ferme et ambitieuse. Le second, velléitaire, enlacé dans la sournoiserie de Camille Nott et des idéaux maternels. Esprit irrésolu, flanchant au rythme d'une nouvelle révolution. Enhardi par l'appétit de redorer le blason et remboîter la plèbe d'une boyarde foulée. Quatre années d'affront et de déconvenue gerbées à l'écho du patronyme. Malefoy? Dégonflées, mollasses ophidiens. Biroute flasque des grands judas. A qui la faute? Lucius se murmure avec aigreur. Reniant encore et toujours le daron bien diffère. Intrépide dans l'obscurité, il entend ses sanglants échos d'une oreille distraite. Ne souhaite rétablir le contact. Déchet de l'humanité négligé dans le vestige nébuleux d'un avenir labile. Au désir de mener la danse jusqu'à sa conclusion. Et contrairement au fossile déclassé, lui saurait joindre triomphe du bout des doigts.
Il me tarde, chère mère, de vous donner la réplique @"Amélia Windsor" moh, tu es adorable, merci
Bravo, ta fiche est validéechez les Plume de Phénix
Félicitations ! Ta fiche a satisfait le staff exigeant et pointilleux que nous sommes ! Tu es désormais ajouté à ton groupe et libre d'aller et venir sur tout le forum !
Merci à toi, petit Panda vénéré de ces menus changement. Cette fiche est la perfection parfaite, et nous nous pâmons devant si belle plume ! Pour te récompenser de ton admirable travail nous t'offrons un Nimbus 2001 flambant neuf que tu trouveras lové dans ton inventaire <3 Bravo encore pour cette validation qui fait de toi le membre le plus efficace de ce staff en matière de fiche de présentation en plus d'être le "petit serpent d'amour" (sic.) de Maman Narcissa !
A présent, tu peux régler encore quelques menus détails administratifs. Songe à bien remplir ton profil, c'est important ! N'hésite pas à jeter un oeil au Bottin des avatars pour vérifier que ta bouille est recensée, au Registre des métiers (si tu es dans la vie active) ou au Registre de Poudlard (si tu es étudiant) pour être certain que tes métiers, maisons de Poudlard, clubs et autres distinctions ont été bien enregistrées. Si ton personnage a une particularité, vérifie qu'elle a bien été enregistrée ici. Il manque une information quelque part ?Hurle-le nous ici !
Ensuite, tu pourras librement ouvrir ta fiche de liens pour que chacun puisse te demander un rp ou un lien, et bien entendu... jouer et t'amuser !