| Dim 16 Déc - 14:48 | Dahlia Prewett plume de phénix Nom Prewett, nom d'un héro, nom d'un père mort sans laisser de souvenirs, effacé par le temps et dont il ne reste que des photos. ; Prénoms dahlia, évocation d'une fleur, joli ornement fragile loin de la puissance du lion qu'évoque son second prénom, ariel, l'évocation d'une sirène lui faisant régulièrement grincer des dents ; Âge 25 années écoulées dans la douleur, la sueur et le sang ; Date de naissance 20 mars 1978, équinoxe de printemps faisant fleurir à nouveau la Mère Nature s'étant repus de sang de la rage d'une guerre meurtrissant l'hiver et les saisons depuis quelques temps ; Lieu de naissance domaine des Dragonneau, sa mère a refusé de se rendre à Sainte-Mangouste, trop dangereux pour le bébé, le père risquait de ne pas les retrouver vivantes ; Signe astrologique poisson, l'eau refusant de laisser le feu prendre l'enfant, neptune veille ainsi sur elle et la dote d'une puissante intuition ; Nationalité britannique, enfant de ses iles, elle y a grandie, combattus, rêvée et ne les a jamais quitté au contraire de certaines personnes de sa famille ; Statut Civil célibataire "endurcie", elle a tendance à enchainer les courtes histoires sans jamais donner son cœur battant pour un seul qu'elle se refuse d'avoir. ; Préférences sexuelles hétérosexuelle, elle ne craque que sur les hommes et c'est déjà suffisamment compliqué pour qu'elle ne rajoute pas les femmes... ; Statut du sang pure, elle s'en fiche pas mal en réalité, cela lui passe carrément au-dessus mais son sang est pur d'après les conventions et de ce qu'elle en sait. ; Tradition ordre d'hermès, baguette soudées à la main, croyance que sa magie en dépend, loyauté éternelle envers un morceau de bois qui ne peut pas mourir ou la trahir ; Baguette tremble, ventricule d'un suédois à museau court, gravé d'un dragon, prédispose aux sortilèges ; Patronus léopard, félin puissant, symbole de courage, de justice, de fierté aussi pouvant aller à l'avidité ; Dons aucun connus qu'il soit officielle ou officieux ; Pouvoirs duelliste, volonté de suivre le pas des hommes de la famille, entrainement assidus dès son entrée à Poudlard et mélange d'art magique et moldu, après tout les arts martiaux enseigne parfaitement l'esquive face aux attaques ennemis ; Particularités maudite, croyance infondée mais chevillée au cœur, son sang est maudit et risque de le tuer aussi il vaut mieux le repousser sans le laisser être heureux avec une autre ; Activité Professionnelle, études, métier, autre ancienne blairelle bravant les cieux pour mettre le souaffle dans trois arceaux d'or, défiant en duel les autres en quittant Poudlard, Dahlia est devenue une Auror méritante tout en continuant de photographier le monde qu'elle se doit de protéger. CARACTÈRE & ANECDOTESLoyauté envers ta famille et tes amis. les vrais amis seulement cette poignée peuvent obtenir ta loyauté. tu es prête à tout pour eux et ils peuvent compter sur toi pour les protéger envers et contre tout. ; Patience rien ne sert de courir, il faut partir à temps. certe citation te convient parfaitement, tu l'as adoptée depuis ta plus tendre enfance. tu n'hésites pas à attendre le temps qu'il faut pour obtenir ce que tu veux et tu sais qu'un bon plan nécessite du temps pour réussir. ; Ruse un brin de calcul, de la prévision et une habilité à t'adapter à toutes les situations. tu n'hésites pas à marcher sur les autres ou les trahir si besoin est à l'exception d'une fraction de personne. ton cerveau s'élève pour te sortir ou sortir d'autres de situations périlleuses à travers l'exploitation des failles de ce monde. ; Ambition le regard tourné vers l'horizon. tu ne connais que peu de limites et tu ne t'en imposes que peu. la limite c'est le ciel et tu ne comptes pas t'arrêter avant de faire briller à nouveau le nom de Prewett. un héritage est faire perdurer, à approfondir avec ton ambition. ; Tumulte comme l'océan, par vagues, tu grondes, t'emportes puis te calme. réaction soudaine, maitrisée souvent et rarement improvisée, tu rugis, fais connaître ton existence, te bat. ensuite, tu retombes, redevient calme et t'apaise jusqu'au prochain soubresaut. ; Travail ardeur de faire les choses correctement pour réussir. te noyer dans la masse aussi, t'oublier un peu, oublier la peine qui meurtri ton coeur et juste ne pense qu'à ce que tu dois faire. loin d'être une passion, tu comprends la valeur du travail et son apport. ; Hyperactivité impossible de tenir en place, un besoin vital de bouger. t'occuper les mains, le cerveau, courir dehors pour évacuer ton trop plein d'énergie. tu ne peux pas rester place, derrière un bureau trop longtemps et tu as besoin de sortir, changer d'air et te défouler. ; Méfiance prudence que tu assènes quand on te le reproche. la confiance se mérite aussi et tu ne peux pas l'accorder à n'importe qui. tu observes, écoutes, te montre froide avant d'accepter de laisser entrer quelqu'un dans ton entourage. ce comportement s'accroit considérablement quand il s'agit d'une donzelle tournant autour du mauvais garçon... ---------------------------------------------------------------------------------- Animaux petite-nièce d'un grand magizoologiste, tu as passé ton enfance entouré de bestioles en tous genres et tu as appris en t'en occuper correctement. tu aimes bien les animaux en raison de cet enfance et tu as la sale tendance en tant qu'auror a empêcher tes collègues de tuer tout ce qui bouge de potentiellement dangereux ce qui leur arrache au mieux de soupir au pire leur fait péter les plombs. Héritage gamine de deux grandes familles, tu ne manques pas de grand-chose niveau finance et tu ne manques pas non plus de réseau pour faire entendre ta voix. tu te mets une pression importante au sujet de cet héritage dont tu veux te montrer digne alors même que rien ne te sois exigé à ce sujet. Photographie petite, tu as développé une passion pour les photographies dans la maison familiale et tu commencé à Poudlard a tout photographier aussi. tu as une belle collection de photographie, bien classée et que tu ne comptes pas dévoiler au grand jour. un classeur spécial semble bien usé par le temps, surement parce que tu as tendance à te perdre dans les photographies à l'intérieur. Duel marquée par les récits de duel de ton grand-père, tu as développé une volonté de devenir duelliste dès que tu aurais une baguette magique. tu as fais en sorte d'intégrer le club de duel le plus rapidement possible et tu t'es donnée à fond dans ce domaine. alors malgré ton jeune âge, tu as développé de solides compétences dans ce domaine depuis tes onze ans, même si au niveau de la théorie, tu as commencé les livres dès que tu as su lire. Guerre beaucoup de jeunes de ton âge ont été marqué par une guerre, la génération d'avant par deux mais toi, tu as en héritage quatre guerre. celle des moldus où ton grand-père a participé, celle contre Grindelwald, puis les deux contre Voldemort. alors, tu as participé qu'à une mais les récits et les pertes, ton père, Cedric, Fred et d'autres. tu as un héritage de guerre qui t'a marqué profondément et t'as conduit à voir intérioriser des choses pas toujours réelle. Malédiction si tu tombe amoureuse, tu tuera la personne que tu aimes, enfin si tu t'engages trop loin avec elle. c'est une certitude ancrée en toi, en raison des récits de la famille, de l'absence de ton père, de la photographie de cette femme sur la photographie. tu n'en parles jamais, tu le dis à personne et même si c'est faux, c'est impossible de te raisonner à ce sujet. Famille tu connais parfaitement la famille de ta mère, ils ont longtemps été ta seule famille, ton seul horizon. puis, tu es rentrée à Poudlard et tu as appris à connaître la famille de ton père, lien compliqué à tisser, tu avais les histoires de ta mère, les rumeurs sur eux mais rien d'autres. pourtant, tu y tiens à ces liens du sang et tu ferais n'importe quoi pour eux. CURRICULUM VITAE~ The Family's Curse ~ D’aussi loin que remonte tes souvenirs, tu as toujours été attiré par les photographies au-dessus de la cheminée que le feu ronfle ou non dans l’âtre. Il y a bien sûr la photographie de cet homme te portant bébé dans ses bras, son double sa baguette à la main à son bras passer au-dessus des épaules de ton père et t’observe gazouiller avec un sourire attendri. La photo en noir et blanc ne montre pas le sang, la sueur et encore moins la boue sur les vêtements de deux frères Prewett, elle ne montre que le bonheur de deux hommes autour du bébé que tu étais. D’autres photographies de ton père reposent sur la cheminée, l’une d’elle le montre plus jeune à Poudlard portant l’uniforme des Gryffondor accompagné de ta mère aux couleurs de Poufsouffle. Ta préférée reste celle où les deux frères sont dans une cuisine étriquée aux côtés de leur sœur et de ton oncle, deux garçons âgés de six et quatre ans courent autour de la table où reposent un couffin. Cette photographie de famille a été prise avant ta naissance, tu connais les prénoms des trois garçons sur la photographie ainsi que les prénoms de tes cousins et de ta cousine née après sa prise. Ta tante Molly a envoyé une photo plus récente de tous les Weasley pour accompagner une nouvelle lettre afin de pouvoir t’avoir pour les fêtes de Noël, ta mère comme d’habitude a répondu poliment qu’elle ne préférait pas, pour ta sécurité. La guerre a beau être finie, la mort de ton père a marqué ta mère et elle craint qu’il ne t’arrive quelque chose en raison de ton patronyme. Tu es la seule chose qui lui reste de ton père avec ses photographies et c’est déjà plus que ce que ton grand-père a pu avoir à son époque, lors de la guerre contre un autre mage noir. C’est justement la femme que ton grand-père a perdue qui t’intéresse et que tu cherches parmi les photographies.
Têtue, tu approches une chaise de l’âtre éteinte et grimpe dessus pour fouiller et trouver la femme au sourire triste tout au fond, caché par les multiples photographies devant. Tu te penches pour l’attraper et la chaise suit le mouvement rendant ton équilibre précaire sans que tu t’en rendes comptes. Au moment où tu te saisis de la photographie, la chaise finie par tomber te laissant suspendu dans le vide alors qu’un rire résonne derrière toi. « Eh bien, mon petit Lilas, que cherches-tu à faire ? » « Grand-pa’ Thézé ! Je voulais juste… » Ton grand-père te ramène doucement au sol d’un geste de sa baguette et vient se saisir du cadre que tu as réussi à prendre. Tu l’observes une moue implorante sur le visage alors qu’il remet de l’ordre dans les photographies sans reposer celle que tu veux observer plus attentivement. Assis sur le canapé, tu observes les doigts agiles de ton grand-père fait glisser la photographie en dehors de son cadre pour te montrer le dos. Le nom de la femme est inscrit au dos avec une date, ton grand-père retourne la photo et se perds dans ses souvenirs. Tu dois le solliciter, lui grimper dessus pour retrouver son attention et enfin obtenir le récit de la vie de cette dame. Tu l’écoutes avec attention et fini par te blottir contre lui pour lui faire un câlin afin de le consoler de la perte de cette femme. Dans ton esprit, une idée commence à se former avec ce récit, celui d’une malédiction familiale où chaque membre de ta famille finit par perdre la personne qu’il aime. Après tout, cette femme fût aussi l’amour de ton grand-oncle et ton père est mort, les coïncidences n’existent pas d’après ta famille donc cela ne peut être l’œuvre que d’une malédiction. Une malédiction qui te touchera à ton tour aussi alors tu te promets de ne jamais tomber amoureuse.
~ Hogwarts is my home ~ Les beaux jours arrivent et avec ces jours, tu passes tes journées dans le grand parc familial pour t’amuser avec les autres enfants de la famille Dragonneau. Ta mère a décidé de t’élever chez tes grands-parents maternels pour te protéger et te permettre d’avoir d’autres figures parentales qu’elle. Or, pour les fêtes de fin d’années et pour les vacances d’été, ton grand-oncle Norbert et son immense famille vient au manoir Dragonneau pour passer du temps en famille. Généralement, tu ne peux pas t’empêcher avec les plus jeunes de la famille de courir dans le parc et profiter des animaux que le vénérable magizoologiste amène avec lui. Les créatures qui t’amusent le plus sont les niffleurs, créatures espiègles, voleuse mais tellement mignonne et amusante que tu adores être avec elles. La contrainte de passer sous le regard de l’oncle Norbert pour s’assurer que tu n’as rien qui brille sur toi et le rappel des règles de sécurité ne te dérange absolument pas. Tu l’acceptes avant de pouvoir t’amuser avec les niffleurs sous le regard des adultes qui s’amusent de te voir avec tes cousins éloignés vous amusez ainsi avec les créatures. L’été ou les fêtes de fin d’année c’est aussi le moment de découvrir de nouveaux animaux, apprendre à s’en occuper en tout sécurité avec un grand sorcier et écouter les histoires incroyables des voyages de vos grands-parents ou de leurs scolarités à Poudlard. Cette école où tes parents se sont rencontrés et où tu pourras retrouver tes autres cousins, ceux du côté de ton père dont tu as entendu parler mais vu que peu. Tu attends ce jour avec impatience or ces vacances d’étés sont spéciales puisqu’il s’agit de tes dernières avant de pouvoir entrer dans ce château et suivre les traces de ta famille. Or, l’attente de ta lettre pour Poudlard commence à se faire longue, trop longue au point que tu te rues à l’intérieur dès qu’un hibou approche du Manoir pour déposer du courrier.
Pourtant, cette fois-là, tu te retrouves devant une porte close, les adultes ont fermés la porte du salon t’empêchant de voir si ta lettre est arrivée ou non. Tu entends des cris à travers la porte, ta mère semble se disputer avec ton grand-père et tu fronces les sourcils en entendant ton nom. Ton cœur s’accélère dans ta poitrine et la porte fini par s’ouvrir dans un grand courant d’air avec un claquement sourd qui fait tourner tous les regards vers toi. « Tu n’as pas le droit ! Tu peux pas m’empêcher d’intégrer Poudlard ! Je ne veux pas aller en France, je refuse d’aller dans cette école loin d’ici ! Moi, je veux aller en Ecosse, je veux aller dans l’école où toute la famille est allée ! Je veux aller dans la même école que toi et papa… Je veux… Je veux pouvoir faire ma scolarité avec mes cousins… Je m’en fiche de ma protection… Il est mort et les…les gens qui l’ont suivi, ils sont enfermés, je risque plus rien ! Et puis, ils s’ne sont pris à papa, pas à moi, ils sont jamais venus ici pour moi ! Je veux aller à Poudlard et si tu m’en empêches, je te le pardonnerais jamais ! Je… Je partirais d’ici et je reviendrais jamais ! » Tes cris résonnent dans le hall alors que tu arraches ta lettre des mains de ta mère et te rues dans ta chambre pour la lire. Tu ne veux plus la voir, plus lui parler alors qu’elle souhaite t’envoyer loin de ton pays, ailleurs car elle a peur pour toi, peur que les gens ayant tué ton père s’en prenne à toi. Tu lui en veux d’avoir prévu ça depuis longtemps, de te l’avoir caché et de t’avoir fait croire que tes cours de français étaient pour ta culture. Quand ton grand-père rentre dans ton antre pour te parler, tu fonds en larmes contre lui et l’implore de ne pas laisser ta maman t’envoyer ailleurs que Poudlard. Theseus, l’ancien héros de guerre, l’ancien chef des auror se comportent en véritable héros et dirigeant en te réconfortant et en allant plaider ta cause jusqu’à obtenir ton souhait. Tu vas rentrer à Poudlard, ta détermination et ton grand-père ont raison de la peur de ta mère.
~ not a true hatstall but near ~ Tes yeux émerveillés observent le ciel de la grande salle pendant que tu avances entre les grandes salles pour te faire répartir. Ton cœur bat à cent à l’heure alors que tu distingues des chevelures rousses à la table des gryffondor et tu t’interroges sur ta propre répartition. Tu écoutes d’une oreille distraite la chanson du choixpeau discutant avec deux garçons que tu as rencontrés dans le train sans savoir que tu vas bientôt les rejoindre sur le même banc et lié ta vie à la leurs durablement. Tu attends ton tour, voit le premier garçon finir à Poufsouffle, maison de ta famille maternelle, le second garçon rejoint cette maison aussi et tu leur offres un sourire quand ils lèvent un pouce vers toi. Il ne te reste plus qu’à suivre les traces de la famille dans laquelle tu as grandie et non celle de ton père que tu rêves de rencontrer. En effet, les Weasley comme les Prewett ont tendance à finir à Gryffondor et tu seras donc séparé de tes nouveaux amis ce qui te chagrine un peu. Le professeur McGonagall fini par prononcer ton nom créant un léger remous dans la salle, le nom de ton père étant connu. Alors même si tu n’es pas Potter, tu restes la fille d’un des plus grands sorciers de sa génération n’ayant péri avec son jumeau que face à cinq mangemorts dans un combat que les rumeurs veulent épique. Et puis, il y a aussi ton ascendance maternelle connue par plusieurs élèves ayant eu des contacts avec les Dragonneau. Inspirant un grand coup, tu te diriges vers le tabouret et t’y assois regardant les Weasley présent dans la pièce et tes amis avant d’être plongé dans le noir.
La voix du choixpeau t’accompagne pendant les quatre minutes et cinquante secondes de ta répartition, l’objet médiévale hésitant à t’envoyer à Serpentard. Si d’instinct il pensait à Gryffondor, il a très vite éliminé cette maison non pas par manque de courage mais parce que d’autres qualités faisaient ressortir deux autres maisons. Ton ambition et ta volonté de réussir quitte à écraser les autres pouvait t’envoyer à Serpentard, la maison des mages noirs, la maison des meurtriers et de leurs enfants de ton père. Or, l’idée même d’intégrer cette maison te rend malade, tu sais que des gens bien ont fréquenté Serpentard comme Merlin ou la femme de la photographie mais tu refuses de côtoyer des proches de ceux t’ayant privé de ton père. Le choixpeau fini par t’envoyer à Poufsouffle, ta loyauté envers ta famille, ton désir d’assouvir ton ambition en raison de la force de ton travail t’envoie dans cette maison. Tu rejoins tes deux nouveaux amis sur le banc de cette maison t’inscrivant dans la tradition familiale maternelle plus que celle paternelle.
~ Potter Stinks ~ L’entrainement de Quidditch vient de se terminer mais loin de vouloir te réfugier dans ta salle commune malgré le temps exécrable dehors, tu préfères trainer dans les vestiaires avec Cedric. Ton capitaine s’approche de toi par derrière et vient doucement déposer un baiser au creux de ton cou t’arrachant un rire. Tu te retournes et vole un vrai baiser à ton capitaine lui suggérant doucement de passer une nuit dans le vestiaire ensemble plutôt que de rentrer dans la salle commune. Ton petit-ami sembler hésiter un instant avant d’accepter ton plan vous permettant de rester ensemble et de ne pas avoir à subir la mauvaise humeur d’Orion. Tu te doutes qu’Orion a le cœur brisé de te voir avec son meilleur ami, de se retrouver encore une fois relégué dans l’ombre de celui-ci et par toi, la fille qu’il aime mais cela reste préférable que de le voir mourir. Cedric te facilite grandement la tâche, il se montre un petit-ami prévenant, attentif, fidèle et toujours prêts à te faire passer avant tout le reste. Si le comportement d’Orion pèse sur votre couple, tu tentes de l’oublier dans les bras de l’admirable Diggory et de passer du temps avec lui. Si tu ne l’aimes pas vraiment, tu le respectes en tant qu’ami et l’admire suffisamment pour ressentir une affection forte à son sujet. Ainsi, tu peux donner le change dans cette relation et profiter de celle-ci avec plaisir, goûtant au bonheur de l’amour grâce à lui. Allongées avec lui sur des serviettes et des draps trouver dans les placards du vestiaire, tu l’écoutes en caressant du bout de tes doigts son torse. Quand il te propose de passer les vacances de Noël chez lui, tu ne réfléchis pas une seconde avant d’accepter et de te blottir contre lui.
Le lendemain, en pleine sessions révisions dans la salle commune, ta tête posée sur les jambes de ton petit-ami tu fronces les sourcils en entendant les commentaires de plus jeune. Il parle de Potter et du fait qu’il serait l’héritier de Serpentard ce qui t’agace profondément. Potter depuis sa rentrée semble capter toute l’attention et les gens en viennent à oublier les autres grands sorciers en devenir qui peuplent l’école. Si la victoire des Gryffondor de l’année précédente t’avait réjoui puisque les Serpentard perdaient enfin la coupe des quatre maisons, tu as été un peu dégoûtée pour les Serpentard ayant beaucoup travaillé toute l’année pour gagner cette coupe. Et puis, en rentrant dans le train, les rumeurs allaient bon train pour ne mentionner que le duel épique entre Potter et le professeur Quirrell, les autres élèves oubliant l’essentiel à tes yeux. Potter n’aurait jamais atteint Quirrell sans la jeune Granger ou ton cousin, Ronald ayant réalisé la plus belle partie d’échec depuis un long moment selon Dumbledore lui-même. A cela s’ajoutait le fait que Potter avait réussi aussi à éclipser l’acte de courage du jeune Neville, un garçon que tu respectais bien plus que le célèbre Harry Potter. Tu te trouves une certaine ressemblance avec Neville, le jeune garçon à un héritage important sur les épaules, peut-être trop important puisqu’il peut devenir lourd sur tes épaules mais tu as la chance d’avoir plus confiance en toi que lui. Cedric sentant ton énervement te passe la main dans les cheveux et détourne ton attention en parlant d’animaux fantastiques. Tu embraie avec joie pour parler d’oiseau-tonnerre et inverse ta position avec Cedric pour t’occuper de lui afin de le remercier pour ne pas laisser ta mauvaise humeur gagner du terrain. Avec douceur, tu lui masses le cuir de chevelu et ses épaules dans une habitude prise depuis longtemps.
~ a friend who never come back ~ Cedric est mort. Cette réalité te frappe, te heurte alors que la rumeur enfle autour de toi, que le corps de ton ami reste inerte sur l’herbe. Ton cœur s’accélère, tes oreilles bourdonnent et tu n’entends pas les consignes criées par les professeurs autour de toi. Ton cerveau ne voit qu’une seule solution face à ce qui se passe, la fuite. Tu te rues en avant, tes pieds frappent le bois des gradins puis l’herbe du sol, ton corps échappent aux mains qui veulent t’arrêter. Tu cours à perdre haleine. Tu cours pour tenter de sortir tes émotions de ton corps. Tu cours pour oublier, effacer l’image d’un corps sur le sol. Tu cours pour tenter de calmer la douleur qui déchire ton cœur, ton âme et te marque profondément. Ta course te fait traverser le parc jusqu’à ce que tu ne puisses plus avancer. Tu t’effondres sur l’herbe près du saule cogneur et pousse un hurlement exprimant ta douleur et ta peine. Les larmes dévalent tes joues et meurent dans l’herbe verte alors que ton regard se perds dans le noir de la nuit sans rien pour venir l’éclairer. Tu restes ainsi, tétanisée, dans le noir absolu, tentant encore de te raccrocher aux derniers espoirs de déni que ton esprit cherche à susciter en toi. Un monde sans Cedric est trop dur à accepter, tu ne peux pas t’imaginer de vivre sans lui et tu tentes de trouve un moyen de lutter contre l’inévitable. Perdue dans ton monde, tu n’entends pas les bruits de pas qui s’approchent et les murmures autour de toi. Tu ne réagis qu’à la main qui se pose sur ton épaule, tourne la tête pour distinguer monsieur et madame Diggory. Essuyant les larmes ou plutôt les traces puisque tu n’arrives plus à pleurer depuis un moment, tu te relèves pour leur faire face, tenter de faire bonne figure. Madame Diggory te prend dans ses bras, te serre contre elle et te parle, te réconforte. Tu échanges un moment avec eux, parle de leur fils, de tes projets d’avenir, de ce qu’il aurait pu devenir. Amos finit par te pousser à rentrer dans ta salle commune, il pense que c’est plus prudent pour toi et il te promet qu’il sera là si tu venais à en avoir besoin.
Tu traverses le hall, les habits sales, le regard un peu perdu et la détresse encore présente dans ton cœur. Sans le vouloir, tu suis un elfe de maison mais dépasse la cuisine pour t’arrêter devant des tonneaux, l’entrée de ta salle commune. Un pincement au cœur, le bruit sourd de ton poing contre le panneau de bois et tu peux enfin ramper pour te noyer dans la masse jaune et noir. Tes yeux voient d’autres âmes en peine, en deuil comme toi, Cedric était aimé et admiré au sein de votre maison alors forcément sa mort vous affecte tous. Tes yeux finissent par se fixer sur lui, l’homme que tu aimes, l’ombre de Cedric pour beaucoup, son ami et celui dont tu ne peux pas te passer sans lui donner ce qu’il veut. Tes pas te conduisent vers lui et tu te blottis contre lui en murmurant des mots vides de sens mais dont seulement l’intention compte. Tu passes la soirée ainsi, blottis contre lui, dans ses bras pour le soutenir, sentir son soutien entre toi aussi. Peu de Poufsouffle regagnent leurs dortoirs, vous restez pour une large majorité d’entre vous au sein de la salle commune, sous des couvertures. Unis dans la douleur de la perte de votre champion, la perte d’un des meilleurs d’entre vous, un garçon admiré et un ami loyal. Blottis contre Orion, tu finis par t’endormir dans ses bras sans penser au danger, tu veux juste être là avec lui alors qu’il vient de perdre son ami et tu as aussi besoin de lui pour faire face à cette perte.
~ all work deserves reward ~ Le couloir est remplis d’aspirants aurors et tu fais les cent pas parmi eux, attendant ton tour pour obtenir la certification afin d’exercer le métier de tes rêves. Ton grand-père est venu faire une scène la veille auprès du ministre pour exiger de te donner un poste dans l’équipe des aurors non seulement parce que tu es sa petite fille mais aussi pour tes faits d’armes. L’influence de Thésée Dragonneau, l’évocation de Gideon Prewett n’ont pourtant pas suffit à te faire pistonner, le nouveau ministère malgré la désorganisation souhaitant plus que jamais s’assurer de ces recrutements. Ayant réussi à passer avec succès les tests prouvant que tu n’avais rien d’une mangemort malgré le fait que tu es continuée ta formation sous le ministère de Thicknesse. Après tout, à l’instar de ton oncle Arthur et d’autres employés de l’époque, tu appartenais à l’Ordre du Phénix et agissait dans l’ombre pour protéger le monde magique. Cela t’avait semblé logique à la fin de ta scolarité de Poudlard d’intégrer l’Ordre du Phénix, l’organisation à laquelle ton père avait appartenu et qui pouvait protéger le monde magique. Tes ASPIC en poche, deux efforts exceptionnels en botanique, sortilèges et en soins aux créatures magiques accompagné de trois optimal en défense contre les forces du mal, potion et métamorphose. Tu avais passé ta septième année plongée dans tes études pour oublier Cedric et ne pas te mettre à dos l’autre dingue d’Ombrage pouvant ruiner ton avenir aussi tu avais pu réussir ces examens finaux assez facilement. C’était ce même sentiment de logique qui t’avait poussée à te rendre à Poudlard pour défendre ton école, tu avais envoyé un message à Orion pour le prévenir, à ta famille aussi et tu avais foncé sans réfléchir. Dans les couloirs du Ministère t’avais prévenu tous ceux que tu croisais en spécifiant que c’était le moment de choisir son camp. Tu repenses à tout ça dans le couloir en attendant ton tour.
Ton nom fini par résonner et tu t’avances dans la pièce de la dernière épreuve prêtent à montrer tes compétences d’auror acquise durant ta formation et sur le terrain. A Poudlard, dès ta première année accompagnée de Cedric et de votre groupe d’amis, tu as fait en sorte de prendre de l’avance sur vos cours. Le but de votre groupe, sans critère de maison, était de devenir les meilleurs élèves de votre promotion, de vous tirer vers le haut, de prendre de l’avance sur les cours et de devenir la crème de la crème. Autant dire que vous aviez réussi haut la main votre pari même si vous aviez perdu un de vos membres en cours de routes. Tu ne stresses donc que peu face à cette épreuve, sûre de la réussir en raison de ton entrainement assidus depuis tes onze ans dans l’art du duel et de tout ce qui concerne le métier d’auror. Ton grand-père t’a soutenu du mieux qu’il pouvait et tu as fait en sorte de mettre tout ton temps libre à Poudlard dans l’optique d’intégrer le bureau, te donner les moyens d’aller au bout de tes ambitions. Aussi, quand tu reçois le précieux sésame quelques jours plus tard, tu exploses de joie même si tu n’es pas vraiment étonné au fond.
FT. Katherine McNamara ; Pseudonyme sans pseudo fixe ; Âge 25 bientôt 26, un mois après le passage du Père Noël ; Comment as-tu trouvé le forum ? Une étoile orionesque m'a guidée ; Un petit mot à ajouter ? vive les auroux ; Ta fréquence de connexion un p'tit passage tous les jours et RP dans la semaine. |
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