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" - Stupid is as Stupid does." (ft. Connor)
 :: Salon de Thé & Bar à chats :: SAISON 1 :: RP

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Mar 13 Nov - 19:11


Ft. Connor


La matinée n’aurait pas pu mieux commencer. En proie à un ennui mortelle depuis bientôt trop longtemps, la dernière bonne idée qui t’as traversé la tête fut d’user de ta baguette pour découdre le sac d’une première année, sans même vérifier à quelle maison il pouvait bien appartenir. Planquer derrière un mur en étouffant un rire dans ta main, il faut dire qu’il n’était pas difficile de savoir d’où venait le sortilège vu la discrétion dont tu fais preuve. Mais voilà, dans le chao des couloirs et les bruits des élèves changeant de classe, tu peux observer tranquillement ta pauvre victime remettre ses affaires dans un sac qui n’a plus de fond, dans un éternel recommencement avant qu’il ne comprenne que la couture avait lâcher.  

Pourtant, en sentant les regards accusateurs et blasés sur toi, les rires cessent un peu, faisant place à une mine boudeuse alors que tu traines les pieds jusqu’à la Grande Salle, pour le repas du midi. Tous des rabats-joies. Le seul qui aurait pu ne pas l’être, tu as juste décidé de l’ignorer. La mine boudeuse s’affichant encore plus alors que tes pensées osent encore vagabonder vers celui qui a volé ton premier baiser. Tu sais que tu as eu une réaction un peu exagérée parce que bon, il n’avait pas non plus abusé de toi. Bien que son estomac devait se souvenir encore de la droite vengeresse de ta colère. Tu grognes pour toi toute seule, non, tu resterais en colère, provoquant un haussement de sourcil de ton voisin de table, auquel tu fais juste un geste de la main pour signifier de laisser tomber. Ce n’était pas important. C’était pire que ça en vérité.

[Alors, pour te réconforter un peu, tu gratouilles la boule de poil qui trône sur ton épaule depuis le début de la journée. Rarement sans ton boursouflet, même en cours, tu compenses comme tu peux ce sentiment que tu n’expliques pas par un truc adorablement mignon. Comment ne pas aimer ce truc tout doux ?]  Tu t’installes en tailleur sur le banc, ne prêtant pas vraiment attention à ta jupe qui remontait trop haut. De toute façon, tu as bien trop la flemme d’enlever ta cape, puis, tu es bien caché par la table. Et mise à part toi, personne n’a idée de ramper par terre sous celle-ci.    

Tu remplies ton assiette, ras bord d’un peu tout ce qui te tombe sur la main. A se demander comment tu pouvais t’enfiler tout ça sans prendre de poids, sous le regard d’ailleurs jaloux de la gente féminine présente à ta table. Le fait est simple, tu bouges beaucoup, alors il faut que tu manges beaucoup. Logique Tu te concentres uniquement sur ton assiette, Floki toujours sur ton épaule vibrant à chaque mouvement un peu trop brusque de ta part .Surtout quand dans les desserts, tu te jettes littéralement au milieu de la table pour attraper les éclairs au chocolat. Faut pas rigoler avec ça, pas avec toi. Certains se sont déjà retrouvé avec une fourchette presque plantée dans la main en voulant t’empêcher de te servir à ta guise. Dangereuse quand on lorgne tes précieuses pâtisseries de trop prêt. Développant alors une technique pour les gober plus vite, technique qui a eu don de faire naitre des gloussements étranges de la gente masculine, des regards outrés de la plupart des fifilles t’entourant. De toute façon, elles comprennent rien celles-là, avec leur régime.  

Tu finis alors ton repas en prenant bien soin cette fois d’essuyer ta bouche avant d’enjamber le banc restant un instant à califourchon dessus, fouillant dans ton sac entre tes cours, tes plans de nouveaux artifices, des idées de nouvelles blagues ainsi que des bonbons suspects qui se baladaient dans le fond. Plaçant un instant ton boursouflet dans le sac, qui se met à vibrer de façon inexplicablement violente en regardant vers la porte, tu redresses ton chignon, si on peut appeler ça comme ça, sur ta tête, avant de t’étaler sur la table en sortant le contenu de tes parchemins. “- J’vais la retrouver bordel !” Quelle sorcière mise à part toi pouvait bien perdre sa baguette ? Cinq minutes se passe avant que tu ne touches ta robe de sorcier et la sorte enfin de la poche intérieur. Non mais vraiment ! “Te voilà toi!”      

Et c’est à ce moment qu’il entra dans ta ligne de mire, alors que tu redressais vivement la tête, oubliant totalement les évènements qu’ils s’étaient produits quelques temps auparavant. Qui t’avais poussé à bouder simplement, à ignorer le pauvre Irlandais en plus de lui faire payer ta colère. Tu ne digères toujours pas son geste, en plus de ne pas le comprendre. Mais à ce moment précis, en apercevant la tête brune devant tes yeux, les vieux réflexes prennent le dessus, faisant craquer tes doigts entre eux, te lever en laissant tes affaires en plan et de prendre ton élan pour lui sauter sur le dos. Ta baguette toujours en main provoquant des petites étincelles alors que tu t’élançais. Sauf que.  

La scène te revient en pleine figure alors que son dos s’approche dangereusement de toi. La gorge serrée, tu dévies légèrement trop tard de ton chemin, bousculant légèrement son bras alors que ta course continue droit vers le hall, où tu manques encore de tomber, plantant ta baguette dans ton propre bras. “- Hé Merde, ça crâme ! !” Que tu gueules en te prenant une étincelle, alors que tu te retournes un instant, l’espoir infime qu’il ne t’ai pas vu omniprésent. Mais tu n’as jamais de chance, en plus de ne pas être douée et dès lors que ton regard se pose sur le sien, tu reprends une course effrénée à travers le parc, ignorant alors que ce qui s’avérait une simple inattention de ta part se finirait par une course poursuite étincelante à travers le château et le parc. Mais bon, ce n’est pas parce que tu cours, que forcément Il va te courir derrière.

Pourtant, tu ne cherches plus à comprendre, tu cours sans t’arrêter, toujours ta baguette dans la main, la secouant dans tous les sens, pratique quand on veut être discrète. Tu fuis une confrontation que tu n’as pas envie d’avoir, espérant mettre une distance correcte entre lui et toi. Et bien qu’embêtée par ta cape mille fois trop grande pour courir, te donnant des airs de super-héros à cause du vent, en plus de la jupe de ton uniforme qui volait dans tous les sens à force de tes grandes enjambées. Aussi grandes que tes petites jambes en vérité. Pourtant, une fois dans le parc, tu t’arrêtes un instant, jetant un coup d’œil en arrière. Juste pour savoir. Sans t’attendre à quoi que ce soit, soit disant. Sans espérer quoi que ce soit.

by Epilucial





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Ven 16 Nov - 23:03
" - Stupid is as Stupid does."
ft. Siobhán O. Sullivan
« J'ai toujours été honnête avec toi bon sang ! » ▬ CONNOR.

Ouverture de rideaux d’une Senior Year. Chatoiement de palettes peu versatiles aux précédentes expériences. Le paysage estudiantin stagnait à la différence de nabots en trop, et d’anciens en moins. Au final la distinction apportée principalement à la reliure de ses emblèmes. Le grade majesté ajouté en lettres d’or pour que luise un peu plus fort sa couronne autoproclamée. Plus puissant en Roi de Poudlard que ce que le corniaud n’avait été. Coqueluche de ces dames, brillant dans les voutes éthérées, maitre du souafle, et élève émerillonné. Ici résidait l’image de l’arrogant érigée à sa propre encontre. Persuadé d’une popularité flirtant l’esquisse d’apogée à cette future clôture de l’arc scolaire. Les commissures sémillantes de la lippe.

Cependant logeait une ombre au beau profil récent. L’absence d’un pion sur l’échiquier. Souvent allié en des stratégies malines. Un apport en bride d’espièglerie enfantine. Coquine à l’ex-image exacte de la bouille dont des raisons l’avaient fait épine. Plantée droit dans ses ventricules au travers d’une rupture. Amicale et pré-adoratrice. Pour un départ dans un parallèle s’était vu sacrifié le trésor déjà acquis. Pincement au cœur. Encore déboussolé à la mémoire de la détresse rageuse d’un lilliputien. La voix éraillée qui semblait dénoncer une trahison. La figure friponne avait perdu son éclat. Troqué à la hargne et un désarroi que le bourreau tenta mainte fois de solacier. En vain.

Poitrine fendue pour la sauvage avant que ne le tanne ce gout de cendre. Sa pomme réintroduite en priorité spécialement en vue d’une claque à la joue de son égo. Elle l’avait repoussé. Et de manière peu charmante. Un crochet du droit porté à l’abdomen sans remord. Cette peine rendait l’houret plus acide. Pourtant là ne se statuait pas la finalité des maux. L’esprit vif se parant des atours gredins de l’ignorance. En toute situation en plus. Entrainement non épargnés. Ca non, ça lui aurait été trop charitable.

Le lion ne comptait plus les refus d’obtempérer, ou tout simplement son offrande d’attention. A croire que l’affreux avorton avait pour mission de ne même plus le trainer dans la boue, mais de l’y noyer. Causant à la fière figure un interdit aux premières ébauches. Eberlué mais pieds et poings liés de la reprendre face aux autres. Cicatrice ardente encore d’un rejet qu’en aucun cas le fat ne voulait s’ébruiter. L’incapacité de lapider sa fraction vulnérable. Poussant ainsi les compères dans un odieux jeu du chat et de la souris. Mais rongeur futé qui s’extirpait toujours habilement des griffes. C’était comme essayer d’attraper de la fumée.

En revanche, malgré les injures – physiques et émotionnelles -, aucun regret ne ternissait la tentative. En abandon de la tâche à la réaction totalement exagérée de la soi-disant victime. Qui s’avérait exceller dans ce domaine. Putain, ce n’était pas elle qui avait reçue une droite suite à sa déclaration. Ligne de conduite s’écartant de la hardiesse fauve pour le repli d’autruche. Esquivant toutes interrogations de leurs semblables. Savant haussement d’épaule, risette railleuse pour qu’entame le filou une toute autre discussion. Ne pas mentir, juste se dérober de cette narquoise réalité. Le grand O’Nialláin entiché du macaque de service. Mais débouté par la créature.

L’orgueil en dernier rempart. Terrant à mille lieux sous ses pieds cette attirance. Préservée des autres. Trop lointaine pour leur vilenie. Mais surtout de son entité à lui aussi d’une certaine manière. Objection interne de reconnaitre que la furie l’avait profondément blessé.

Par chance, périodes de répits lénifiaient son âme. Laisser-passer moral à sa légendaire goguenardise. Tel qu’en cette heure. Vaquant avec allégresse auprès de ses camarades. Faction d’oiseaux aux rouges cols. De sincères lueurs au creux du viride. Prunelles en quête derechef d’une tocade sucrée suite au désert déjà englouti. Un des avantages à ne plus voir flairer une pie voleuse dans le coin au moins. Et l’idée insidieuse se faufila. Pouffement à l’avance qui rameuta ses frères. Toutes binettes dès lors ancrées d’une banane tandis que l’affreux cabot s’assura de la sécurité à l’horizon. C’est bien, Vasiliev était occupé à bavasser au loin.

Sournoisement, crocs apparurent sur la radieuse mine. Lierre agile tiré de sa cape. Vivace, crachotant à d’autres contrées. Sous des bannières serpentines. L’informulé brilla à la surface de l’une des coupes. Glisseo en agent savonneux. Ne tardant pas à insuffler panique auprès de l’éclopé. Entre diverses éclaboussures et les zigs abrutis s’essayant au contrôle de l’objet par leurs pattes, l’euphorie gagna presto le prince des tourbières. Trop même pour s’obstiner à lambiné attablé. Crainte de la colle dont l’autre coincé du cul risquait de le frapper.

Son temps ne serait gâché de cette façon. Fatum décrit d’autres panels d’activités. Notamment au travers d’une vengeance. Représailles destinées au plaisantin découvert quelques semaines de cela. Rogue au sens de l’humour aussi acerbe que sa personne. Il allait voir ce dont était capable son assassin.

Ainsi, présente détermination transbahuta l’opiniâtre. Retrait des bancs en délaissant les siens. Libage, Gaïa du ciel étoilé, brossé par sa cape noire. Ultime ricanement pour la rigolbochage sans prêter attention à ses suivants. S’engouffra rapidement sa hauteur à la sortie. Guilleret et fier. Pas pour très longtemps en revanche… En effet, un piétinement familier retira le cabéru de son exultation. Un peu trop tard cependant. Percuté au flanc de son bras. Boulet de canon fortuit, qui l’en bouscula même pour que grogne :

« Hé ! Tu pourrais regarder un peu où tu- »

Volteface raison du vers en suspens. Soudainement en vis-à-vis de boucles folles. Cadre de rutilants orbes pluie. Prasin interloqué. Autant que l’entité canine toute entière. Ahuri de cette apparition dont ses litanies même ne s’osaient plus au songe. Arcades se haussèrent en écho. Face à lui trônait l’animal. L’allure exacte d’un chat sauvage surpris par de curieux fureteurs.

L’inspection les tint amovibles. A l’étonnement. Pour sa part aussi à l’irréfutable sentiment d’une fuite au moindre mouvement intimé. En parallèle rapidement s’éclaira l’esprit de la compréhension de la facétie du lutin. Elle avait voulu faire le koala. Pourtant, précaution s’estimèrent inutiles. Bestiau capon reprit à filer. Le prasin s’endurcit. Offusqué et étranglé. Il avait l'éclabouille ou quoi ?

« Hé ! Sio ! Arrête-toi ! rouscailla son timbre d’ordonnance autoritaire. »

Néanmoins sous l’insubordination évidente, l’impulsion conquit autant qu’une conviction : ils avaient à s’expliquer. Cette fois-ci le primate ne lui échapperait guère. S’entama alors la filature effrénée au travers du hall. Talons claquant la strate. Constat néanmoins appréciatif et frivole d’une rapidité insoupçonnée pour de si ténues gambettes. Pêle-mêle insolite d’acrimonie et de marrade. Penchant plus nettement aux premiers aspects lorsque korrigan sillonna l’entrée du château. Itinéraire calqué par un prédateur chambardant au passage.

« C’est la faute de Sullivan ! assena le zéphire félidé. »

Mais fut-ce bien sa veine pour qu’aux passages des portes une assemblée de labadens s’accapare d’une similaire folie. Retardement au filage pour lequel pesta une voix contrariée :

« Mais putain ! Dégagez ! »

Douceur de ses coudes en corrélation des biceps l’extirpa du troupeau. Enjambées s’aventurant au perron de marbre. Non de trop longues nécessités d’un balayage du panorama pour retrouver la cible. Au loin l’échappée s’activant encore à la dérobade. Pecque impayable poursuivit de sa cape dans un ridicule le dépitant.

« Elle est pas croyable… »

Au soupir s’amena cependant un précoce terme. Arrêt subit de l’abêtie. Pantalonnade mutée à l’étude de son sillage. L’immobilité fut occasion parfait.

« Alors là je vais pas te rater ma vieille. Colloshoo ! »

Maléfice galopant au travers de l’atmosphère. Choix ingénieux de la farce au profit d’un Stupefix. En effet, à tous les coups la propulsion se serait soldée d’une rencontre inopportune avec l’un des conifères du parc. Ou un bras cassé.  Voire la combinaison des deux. Objectif demeurant à la discussion, et non un singe braillard gueulant après l’infirmerie.


Credits : Gasmask



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hiboux : 914
Sam 17 Nov - 10:57
Intervention MJCOLLOSHOO
Échec Critique |  Le Colloshoo était une idée audacieuse, le sortilège bien maîtrisé, la baguette souple. D'un geste rapide, le capitaine balance l'enchantement... Alors pourquoi diable Severus Rogue s'est-il planté sur ta trajectoire ? Ce qui semblait une excellente idée devient soudainement une idée fumeuse. Un Finite Incantatem plus tard, l'homme est sur Connor O'Naillain, un sourire mauvais aux lèvres.

« Monsieur O’Niallain ! J’ose espérer que je n’étais pas la première cible de votre enchantement ! Je retire cinquante points à Gryffondor pour ce malheureux usage de la magie dans les couloirs, et vous irez en retenue demain soir avec Monsieur Vasiliev ! »

Journée de merde pour notre pauvre Gryffondor... Et on dirait bien que Siobbhan en a profité pour décamper !

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Lun 19 Nov - 16:23


Ft. Connor


C’était la panique totale. Refusant de faire face à tout ce qu’il pourrait dire, surtout que t’es persuadée qu’il allait blâmer ton comportement ainsi que toutes tes dernières rebêlions, allant de l’ignorance totale dans les couloirs ainsi qu’une tendance à devenir sourde pendant les entrainements à  chaque fois qu’il parlait, tu préfères courir, fuir comme s’il avait la dragoncelle. Abandonnant affaires et même ton précieux Floki qui sans doute devait encore vibrer au fond du sac. Stupide bestiole en adoration devant O’Nialláin. Traitre. Et dire que tu lui avais fait une fleur en ne faisant aucune blague de mauvais goût au premier entrainement, si tu avais su, tu l’aurais fait sans regret, ni remord. Encore une occasion de louper pour emmerder le monde !  

Le pire, c’est que tu avais voulu tenter une approche inconsciente, oubliant presque que tu faisais la tête. Stupide, oui, mais aussi dans le déni le plus total de ton réel ressentit. Filant comme le vent en tentant de garder une distance entre le Gryffondor et toi, tu te refuses à cette confrontation, préférant la fuite comme une lâche alors qu’en temps normal, tu es la première à mettre les points sur les “i”. De façon certes pas très orthodoxes par moment, mais tu n’as jamais été lâche.  

Le ton du jeune homme t’indiquant de t’arrêter n’aide en rien, l’autorité te donnant encore des ailes en plus, réussissant à te faufiler dans la masse non sans déranger les élèves dans le hall. Bousculant allègrement sans excuse, faisant même tomber une première année en hurlant un vague “- Fallait pas trainer là.” alors que tu continuais ta route, sautant les marches du perron avant de t’arrêter stupidement une fois dehors. Pour savoir si tu étais vraiment chassé. Le cœur sursautant quand t’aperçois la tête brune qui apparait, saisissant cette occasion pour te viser, comme un chasseur viserait un lapin à la chasse. Je suis pas un lapin moi !

Grimaçant en t’attendant au pire, tu l’entends, le sort fuser alors qu’une ombre sort de nulle part pour se prendre le sort à ta place. Fou rire te prenant en observant la victime involontaire de la chasse. Pour une fois que tu louais Severus Rogue d’avoir fait irruption de la sorte. Les mains jointes alors que tu te demandes si tu n’avais pas un peu trop de chance, il ne te restait qu’une chose à faire : décamper au plus vite, sachant pertinemment que le sort ne serait pas sans conséquence. Et qu’en plus des remontrances, il risquait de ne pas être très content. Oops !      

Une chance inégalable alors que tu saisie, reprenant ta course de plus belle, en te demandant s’il allait continuer à te poursuivre de la sorte. Un coup d’œil en arrière te permet de voir qu’effectivement, et ceux malgré les remontrances de Rogue, il continuait de te poursuivre, rattrapant la distance grâce à ses grandes jambes. Ou peut-être parce que tu es toujours gênée par ta foutue cape. Alors, plaçant ta baguette dans ta bouche, bavant légèrement en reprenant ta respiration d’ailleurs, afin d’ouvrir les boutons, tu finis par laisser s’envoler ta cape derrière toi, cette dernière flottant un instant à cause du vent alors que tu te sens carrément plus libre dans tes mouvements. Et tant pis s’il se la prend dans les pieds, ça les lui ferait tiens.

Ceci dit, tu n’en reviens toujours pas qu’il est voulu te balancer un sort pour te stopper. S’il voulait la jouer comme ça, tu allais lui répondre de la même façon. Restait à savoir ce qui allait sortir de ta petite tête. Regrettant alors l’absence de ton sac avec tes provisions de pétard. Cherchant dans les revers de ta jupe, où tu bricolais des poches pour planqué tes affaires, n’en sortant qu’un unique projectile. Ca suffira pour l’occuper. Cette recherche ayant rendu ta façon de courir encore plus stupide qu’avant. Dans quelques gestes imprécis qui te brûle le bout des doigts, tu lances le pétard en arrière, observant du coin de l‘oeil le non-fonctionnement évident de celui-ci puisqu’il ne faisait que siffler et échapper une fumée de couleur rouge. Faudra que je songe à changer mes composants, c’est clairement de la bouse d’hippogriffe. Songes perdues alors que tu secoues vivement la tête, grimaçant allègrement en secouant les mains, balançant encore des étincelles avec ta baguette. Dangereusement proche de la verdure par ailleurs. Tu risquerais encore d’y mettre le feu.  

Non, tu ne devais pas te déconcentrer. Tu n’en viens même pas à te demander pourquoi tu le fuis de la sorte, te rappelant uniquement de la colère qui t’as fait décrocher ce poing. Sensation de trahison qui te hantait encore, bien qu’un certain manque devait se faire sentir pour avoir voulu bêtement sauter sur son dos. Mais non, non tu n’avais pas envie de discuter sur le pourquoi du comment il avait osé faire ce qu’il avait fait. Jugeant son acte comme s’il avait fait la pire monstruosité du monde. Tu abuses à peine.  

Mais alors que tu perdais encore un peu de vitesse, tu lèves la tête, observant les arbres, soudaine idée qui te prend alors que tu saisi ta baguette pour gagner un peu de temps. Le temps de grimper sur le bon arbre. Prenant alors le risque qu‘il te rattrape pour de bon, tu fais volte-face, continuant de courir en arrière - en ne manquant surtout pas de trébucher sur une racine, mais sans tomber. Pointant alors le jeune homme de ta baguette en priant pour ne pas rater ta cible. Fuyarde mais pourtant un grand sourire malicieux au bout des lèvres, le sourire de la bêtise prête à sortir de ta tête.  

“- Cracbadaboum ! Sort destiné aux coutures de n'importe lequel de ses vêtements, peu importait, tant que tu pouvais gagner du temps. Sans aucune gêne de vouloir le mettre à moitié à poil en plein milieu du parc. A vrai dire, tu n’as même pas songé aux conséquences de ton sort. Non, tu as juste songé à ce qu’il pourrait t’apporter. Au pire, il se ferait accoster par son poulailler en délire, toi tu pourrais filer à l’anglaise. Non, mais tu crois vraiment qu’il va te lâcher les baskets ? T’es bien naïve ma fille.

by Epilucial





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hiboux : 914
Lun 19 Nov - 20:59
Intervention MJCRACBADABOUM
Échec |  Le sort fuse mais ne fait que frôler l'épaule de Connor, laissant un minuscule accroc à sa robe de sorcier... Too Bad, il semblerait que Siobbhan soit plus adroite pour balancer des cognards que des sortilèges !

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Mer 21 Nov - 17:52
" - Stupid is as Stupid does."
ft. Siobhán O. Sullivan
« J'ai toujours été honnête avec toi bon sang ! » ▬ CONNOR.

Narquoise existence fondant ses piliers en marbre inaltéré autant qu’érodé. Second domaine s’apparentant à l’ethnie d’entraves truculentes. Des insolences aux ténues gambettes dont l’une des figures voguait aux travers des pâtis. Tumulte empressé, aux naufrages de son passage sans proportionnalité à son gabarit. Chavirant flopée de camarades abruptement. A l’image exacte de ce que cette débâcle infligeait à l’aminche. Âcreté d’expectatives brisées. Le miroir déchu de l’ignorance moissonnée se fracassant de toutes parts. Chaque morceau mêlé à ses frères, pièces d’une savante mosaïque au camaïeu navrant. Fiel et tribulation. Couenne d’égocentrisme d’excoriation au poignard. Lourde pénalité pour un fichu baiser. C’était vraiment ce que la bestiole voulait ?

L’irritabilité tissa sa toile. Nécessité d’un face à face. Sans perception d’ébauche de félonie ressentie par le primate. Corniaud trop sincère pour que doute cerne ses agissements. Sollicitude en distillat si pur pour qu’abjection ne l’altère. Similitude au Saint-Bernard à la servitude affective pour ses proches. Léchouilles encore plus singulières sur faciès de bouffeur de tiques. Le chérubin des tourbières n’avait d’atomes crochus avec bobard et ses consœurs. Surtout en face de l’homologue mousmée de sa patrie.

Cependant, tout projet omettant les autres érosions. Population gorgée de spécimens encore moins recommandables que le facétieux singe. Plaies suintantes d’ignominie. Danse à leur proximité d’absconses arabesques. Fumée d’un tulle d’inimité, perçue à la grâce de finassiers diablotins au moment le plus inopportun. Monarque de la race : Severus Rogue. Catégorie amphisbène à tête grasse. Maitre illégitime d’un château par traitrise du poulet de flammes. L’honneur de son sang galvanisé à son interruption. Trajectoire maléfice perturbée de son ombre. Etranglement subit tandis que se bandèrent tous nerfs et tendons.

« Putain mais c’est pas vrai ! Qu’est-ce qu’il fout là lui ? jappa l’houret. »

L’amalgame des mauvaises semelles et du sol. Farce de vie retournée contre le loustic. Trombine dépérissant à l’avant de défaite. Deuil de jubilation pour cause d’assassinat. Vraiment : pourquoi fallait-il toujours que grand seigneur de la casse-couillerie l’emmerde ?

C’est ainsi qu’en guet-apens sans surprise le baron se matérialisa. Saboulant, toujours aussi avilissant. Admonestant sanctions comme on claquerait règle au bout des phalanges. Le turlupin en mordit sa joue. Offusqué aux sentences pour lesquelles prasin brasilla austère. Renfrognant fauve dont s’étiola la patience. Corrodée au point que vomissent vilenies des lippes. Colloque hostile en prévisions météo sur les landes celtes. Cependant sifflements d’impertinence garrotés au louchement par-dessus mouille turpide. Pour paysage macaque au bénédicité. Visage à nasardes d’où scintillèrent sardoniques fossettes. Complétant l’aigreur du cabot. La saloperie..! C’en était assez, elle allait le lui payait.

Eperdu d’irascibilité, cabéru dégringola les marches une fois la chauve-souris ordurière eu pris les voiles. Fi de toutes réprimandassions précédentes, lierre magique accolé à la soie de sa paume. Prêt à sévir. Diesel des enjambées par l’adjuration à l’algarade. Beni de sa constitution pour boulotter l’abîme jusqu’à sa proie. Célérité levier de la filature du farfadet superman. Bien que ce dernier lâcha du lest. Abandon sa marque héroïne puis qu’un mur de toile ne se colle aux pattes canines. Obstacle s’empêtrant aux gigues d’un Prince courroucé. Chute à l’horizon déjouée de justesse par réflexe sorcier. Héritier d’Hermès en louages de ses dons qu’il invoqua :

« Putain, mais raaaah… Flipendo ! »

Bourrasque l’extirpant de ses draps pour qui un bilieux viride n’eut de pitié. Orageux. Volatile de coton pâlit au toisement. Bourreau aux remords évadés sous le chant de ses tempes. Rythme des hargneux bodhrán.

« Diffindo ! Lancarnum Inflamarae ! »

Déchirement. Brasier purificateur. Exutoire. Cendres poétesses sur sa tempête. L’impérieuse magie destructrice. Propriétaire excédé allouant attention aux boucles brouillonnes caltées au loin. Maudit bestiau. Attente non étendue pour s’élancer au trimard du Wee Falorie Man.

Sillon de traque. Souffle aguerri le propulsant sur les layons. Echappées aux fourbes racines dans un galop effréné. Chien fou obnubilé à sa tâche. Comme d’un absolu besoin. L’avanie avait assez duré.
Cependant, perturbation soudaine. Lourdeurs des sabots ensevelies sous piteux sifflement. Le voile malachite s’apercevant d’exhalaison de carmin. Eruption ridicule sur laquelle orbes louchèrent. Esquive fut simpliste. Poursuiveur entrainé déterminant avec rapidité la nature de l’exuvie offerte du lilliputien. Scellant ses molaires.

« Non mais je rêve là... rognonna voix de mêlécasse à l’inter-bise. Espèce de goule ! Tes pétards c’est de la merde ! »

Félidé bondissant sur quelques mètres du chevalet absurde. Peinture de loufoquerie à laquelle l’agacement huchait terme. Synchronisation au deuxième acteur de l’ineptie. Volte-face du bigoudi. Reculons s’entamant pour bâfrer encore la pantalonnade. Vas-y continue, que tu te prennes une branche, grimaça en interne l’impertinent. Mais arcades pour marquise intensifiée des prunelles. Effet de l’aperçu d’une risette goguenarde. Un profil synonyme de misère.

Raison fut faite quand poignet souple s’activa. Baguette en menace pour que l’odieux sacripant baptise d’ingéniosité ses tortueuses méninges. Figeant le prédateur. Cradadaboom c’était pas banal. Sous-entendu d’un potentiel futur nudisme dont s’extirpa de justesse l’opiniâtre. Etirement mauvais de ses lèvres en cadre des crocs. Fusillade par l’iris.

« Si le but c’était de me foutre à poils t’avais qu’à pas me donner un crochet la dernière fois... »

Vrai reproche, allié d’espérances éclopées. Artères martyres d’un refus. Immisçant sibyllin désir de représailles. Fini de jouer. Délicatesse ne payant guère avec ce nabot. L’esprit primaire à la subtilité grossière. Axant toute compréhension sur force, et non attention. Fondation spirituelle à la dualité percevant louanges et injures du cabot. A cette heure, le malveillant des essieux primant.

Ainsi l’épilogue de comédie sonna le glas. Dépouille de tolérance dépourvue d’ultime intérêt qu’enjamba le roquet.

« Tu veux vraiment jouer à ça hein ? »

Faucheuse au bois magique pour guillotine. S’appliquant à la visée de l’espiègle fugitive, s’assena à sa prière :

« Locomotor Mortis ! »

Litanie dévouée à un sublime faceplant. Sans remord quant à la matoiserie usée. Surtout pas après s’être risqué à en perdre ses atours. L’effrontée avait ouvert le bal, l’homologue impertinent ne faisait que suivre la valse. Peut-être qu’un langoureux bécot avec l’humus lui remettrait les idées en place. Quoi qu’il n’eut trop de convictions. C’était un sacré bordel là-haut.


Credits : Gasmask



Défis écriture effectués:

Sorcellerie

Sorcellerie
GRAND MAÎTRE
hiboux : 914
Mer 21 Nov - 18:11
Intervention MJLOCOMOTOR MORTIS
Réussite |  Hey, on dirait qu'il sait viser, le petit Gryffy quand on l'énerve. Peut-être Severus Rogue est-il finalement bon pour son pouvoir de concentration et devrait-il le coller plus souvent ? :smi10: Le jet de lumière frappe la jeune fille sans qu'elle ne puisse l'éviter, elle tombe au sol, les jambes collées par le maléfice. Pas de pot pour notre batteuse préférée !

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Lun 26 Nov - 13:11


Ft. Connor


L’apparition divine de Severus Rogue n’aura pas suffi à empêcher Connor de te poursuivre encore. A croire qu’il fallait absolument qu’il te parle, que c’était absolument urgent. Mais toi, tu n’as clairement pas envie de te retrouver face à lui. Sensation bizarre de trahison qui reste encore ancré dans ton petit cœur, refusant quelconques explications de sa part. A quoi ça servait d’apprendre qu’il avait fait ça probablement pour se moquer ou pour un pari ? Peu importe lequel des deux c’était, pour toi, c’était la pire des choses qu’il aurait pu te faire, un poignard planté dans tes omoplates alors que tu le songeais seul digne de ta confiance et de tes sauts de koala. Forcée de constater qu’il ne valait peut-être pas mieux que les autres. Ta tête totalement monté et aveugle à la vérité, aussi étonnante qu’incroyable.  

En attendant, tu l’entends vociférer des sorts et des insultes à tout va pour ta pauvre cape réduite à s’envoler, être découper et même à brûler. C’était un bon moyen pour le freiner dans sa course même si tu vas probablement te faire engueuler par ta mère pour avoir encore abimer tes affaires. Tant pis, ça vaut le coup de se prendre une soufflante. Tout était bon prétexte à le freiner, même le pétard ridicule qui ne faisait rien d’autre que sa fumée rouge. Même le mettre à moitié à poil dans le parc en heure de pointe. Des idées qui ne viennent que dans ton esprit, pour son plus grand malheur, surtout en l’entendant râler encore et encore. Mais profitant de cette mini diversion louper pour t’enfuir encore une fois, tentant une dernière accélération en évitant les racines des arbres au sol tel un cabri dans la savane, avec un rire quelque peu amusé qui s’échappe dans les airs. Tu as presque l’air satisfaite de cette course poursuite. Ne t’attendant pas du tout à te prendre son futur sort de plein fouet puisque tu ne cessais de changer d’orientation. Mais malheureusement pour toi, il te frappa de plein fouet, liant tes jambes ensemble, bloquant tes mouvements de jambes, avec pour unique mouvement de bras des moulinets et un hurlement aigue avant de manger la terre du sol dans un “BOOM” lourd. “- PUTAIN !”    

Faceplant, le nez directement planté dans le sol, offrant une magnifique vue sur ta culotte dans la chute, jupe restant alors relevé sur ta fesse alors que tu t’écrases littéralement au sol. Tu finis par hurler une litanie d’insulte les plus horribles les unes que les autres, n’en pensant évidement aucune réellement. “- Abrutit des bois, t’as voulu me tuer ! Crétin ! Idiot !” Léger abus dans tes propos alors que tu continues de le bercer de doux noms d’animaux.  Ta baguette vole quelques mètres plus loin alors que tes jambes restent fermement collées entre elle. Secouant celle-ci dans tous les sens avant de te tenir sur les avant-bras, grimaçant alors que tu appuies sur ton nez douloureux. Heureusement pour lui qu’il n’était pas cassé ! Mais pas le temps de se plaindre plus longtemps, puisque tu te mets à ramper les quelques mètres qui te sépare de ta baguette, agrippant par moment des touffes d’herbes que tu laisses s’envoler au vent –et même dans tes cheveux- l’attrapant enfin du bout des doigts dans un gémissement de plainte.  

Tu te roules par terre avec toute la grâce du monde, t’asseyant d’un coup une fois droite en pointant tes jambes. “- Finite incantatem. Allez dépêche-toi !” Contre sort lancé à toute hâte, bien trop tard puisque le Gryffondor à bien eut le temps de rattraper son retard. Tu secoues les jambes un instant à même le sol, ravi de ne plus avoir à jouer les sirènes coincées sur terre. Tu te remets sur tes jambes d’un saut sans plus attendre, ne prenant même pas la peine de vérifier ton allure, à savoir ton chemisier brun/vert complètement sortit de ta jupe qui elle n’est pas plus propre et même un peu déchirée, les genoux et les bras rougit d’avoir ramper à même le sol pour récupérer ta baguette, l’herbe dans tes cheveux et la goutte de sang qui a dû couler de ton nez à cause du choc. Encore endoloris, mais tu n’en n’oublie pas que tu étais en pleine fuite de l’ennemi. Ennemi désormais impossible à fuir. Tu abuses un peu en le qualifiant d’ennemi, non ?  

Essuyant allègrement ton nez de la manche de ta chemise aux multiples couleurs à présent, tu en grimaces en pliant les genoux d’un geste rapide, offrant encore une fois une vue sur les fraises agrémentant ta culotte. Grimace ornant encore ton visage alors que tu masses ta nuque en remontant, alors que tu offres un regard plus que mécontent à Connor. En plus de voler ton premier baiser, il voulait avoir les honneurs à te tuer. Tu décides alors de faire comme si de rien n’était, levant les yeux au ciel en évitant bien soigneusement le regard du Gryffondor arrivé à ta hauteur. “- Y’avait un moyen plus radical si tu voulais m’achever, plutôt que de me faire bouffer de l’herbe.” Tu râles en tapotant du pied, faisant tomber ridiculement sur le sol quelques morceaux de terre collé à tes jambes.  

Bras croisé en marmonnant, te rappelant alors que tu ne voulais absolument plus lui adresser la parole. Alors tu fixes tes chaussures, le regard encore colérique et boudeur, t’emmurant dans un silence, ne laissant que quelques grognements filtrer entre tes dents, secouant un peu ta baguette pour continuer tes étincelles. Insupportable, ignorante et désobligeante, tu refuses d’écouter réellement ce qu’il a à te dire, ne cherchant qu’une échappatoire, ainsi qu’un moyen d’échapper à cette torture qu’il souhaite t’infliger. Peu importe comment, quitte à saccager encore un peu de tes affaires s’il le fallait. Oui, tu lui en voulais vraiment beaucoup. Mais en attendant, tu dois te plier à ses premières remontrances, alors que tu recules avant que ton dos ne heurte le tronc de l’arbre. La voilà la solution miracle...  

by Epilucial





Défi:

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Lun 10 Déc - 19:38
" - Stupid is as Stupid does."
ft. Siobhán O. Sullivan
« J'ai toujours été honnête avec toi bon sang ! » ▬ CONNOR.

Atrabile en vecteur d’anfractueuses frustrations. Spoliation du principicule des tourbières. L’infant cajolé affublé de rif pupille par l’incurie de gazelle. Mièvre fripon échelé aux boulevards d’artérioles pour parachever le bivouac de ses niches. Houppant absconse amphictyonie. Pacte contentieux aux enluminures de facétie. Miré dans l’accointance par de circonspectes acuités. Des gloseurs de la jonction des divergents pôles.
Ainsi naquis clavetage des mâtins d’audaces. S’équivalant par fait à genèse d’entropie. Les remords dorénavant contrits dans la déchéance des résipiscences. Harassés des vortex d’hourvaris. Le ramdam hardi des Leprechauns.

Goguelin et Altier. Autolâtre topa à l’essence du poulpiquet ferrant son ajoupa. Louvoyant à débine éveillée. Là où céladon s’atterrait de guigner à une étymologie évolutive. Tiédeur d’aménité briguant malgré lui par les soupiraux de viride. Inusité du souverain débonnaire pour une plèbe. Assuétude même à cette roture. On avait entreposé Picasso du cacao sous sibylline égide. Obombré des simouns celtes. Singulière stalle accotée du foyer des desideratas. Velléités aux lueurs amignonnant sa mouille pour que brillante la mousmée. Son iris dessillée fut prime à mignarder les écailles pour la mussée Vénus. Déesse dont même loustic n’était scient. Edifiant ici ferment daron de la dérobade. L’allumelle éclopant le zig marquis au pli le plus probe de leur camaraderie.

Ironie pour gryffon convoiteux de l’émancipation de ses élytres embourbés d’escobarderies. Opiniâtre résolu agréant à son infélicité. Ruade dans parages anonymes. Pour ultime gibecière fibrilles de ses émois. Un exode dont distillat téméraire même s’était distingué dans d’hagardes scolies. Venette flagorneuse d’un égo féal. Pieux auditoire trouvant assonance épouvanté pour sa figure. Majesté sceptre et sa tiare.

Cependant, zef bilieux dorlotant inopinément leur harmonie. Reître en diorama esquissant la quintessence gésir sur abjecte sellette. Exécrable oukase huchant sédition de l’houret. L’otocyon réfractaire pour s’enclore aux illégitimes édits primates. Après tout, de la paire animale, monarque fut major en mutilation. Contus d’une saugrenue ineptie : le rejet. Crochet vengeur du persiffleur encoléré. Une injustice. Clabaud ne saisissait sa fredaine. Convaincu de l’onction de ses badigoinces. Autant que son ilotisme objectait ce schisme. Résultant à la ténacité s’ardant dans un prasin nanti d’acrimonie. Par la faribole de ces filatures. L’omission de son entité. Finalité non consensuelle. Lièvre s’esbignant à l’horizon des lopins Poudlardien. C’en était assez. Féru rossa par lierre enchanteur.

Fiel exultant aux secondes postérieures. Langoureuse entrevue pour follette et humus. L’orle des lippes cabossé au rictus des palmes. Narquoiserie pimbêche sur fond de macaque braillard. Bien fait. Flave giboyant baron aubaine des cadrans. L’Alice de l’heure engouffra à grandes guiboles les derniers miles. Mordicant toisement tout du long pour burlesque numéro. Surement sous auspice d’un faîtage distinct l’orbe aurait biglé. Concupiscente du lin constellé de fraises. Mais ici, revêche admonestait par le lichen. Rognonnant après lombric dont joliesse et raffinement furent devise. Sacarsme. Laïus d’injures cisela l’atmophère. Ce pour quoi corniaud rudoya :

« Commence pas, tu l’as cherché ! »

Truisme corrodant. Débecté de ces verves. Bien qu’à l’illustration exacte du korrigan. Eventaire de pantalonnade. Fief de furole ambulante pour lequel rogue cotisait en forçat. Occulte talion immolant les insubordonnées onces d’indulgence. Fauve maronna belliqueux. Echo des algarades d’Eole et Poséidon sur Éire.

Ainsi, dans cette rixe suprême, vautre gagna pheretima. Rampant délesté au moment même de ses cangues. Cabrant croche consécutive sur ses dégauchies gigues. Ex-sigisbée en aucune étrenne de ses anses,  autant que d’empathie. L’horreur efrit requérait dissidence ? Très bien, assumation serait déifiée à la lettre.

Abjurant tout effort à l’examen du mendigot d’apparence. Diatribe des larmes sauges guinchant sous son ire. Nitée de moineau pour chape du caisson. Emaillée en soucis pragmatique de sarments enclavés. Du reste s’ourdissait canevas à maquereaux épars. Ineffable nuancier dextre et garni. Un fard scurrile somme toute, pour qui calta miettes récalcitrantes des miscellanées de flegme et d’espièglerie. Exacerbation du fâché. Cals de d’oblongues phalanges croquèrent l’arête de son nase quand guenon parfit son interversion par renâclement distingué.

« T’es dégueulasse, c’est hallucinant. T’es sûre d’être une fi- »

Jugulé lors de la catilinaire par rhétorique d’une fruitée braie. Obole de son atma aux brasiers de l’agacement. Embrassant éthérées ogives. Psyché exempte de lubricité par patronage caustique. Visqueuse aigreur exaltée grâce à avanie céruléenne. Bravade d’une pluie s’hasardant candidat antagoniste au déferlement O’Nialláin. La broussailleuse marquise des prunelles ennoblit mitan de ses tempes. Du moins, avant que pantomime bougonne et butée ne reprenne. Affadissant un peu plus diadoque gaélique, sans pour autant entraver languette du rouscailleur :

« Mais oui bien sûr j’allais te le dire aussi. Si tu continues ce n’est vraiment pas l’envie que tu canes qui va me manquer, semonça roquet mutant cerbère aussitôt que s’éluda la bruine. Surtout que je viens de me faire coller à cause de tes conneries alors la ramène pas ! Tu me le revaudras d’ailleurs, index patibulaire acolyte de menace, et ça va commencer par le fait que tu vas me faire le plaisir d’arrêter de gueuler. »

Objurgation pelotée de rodomontade où simienne truffe impatronisa au gazon ses égards. Asticotant le déjà horripilé avec véhémence. Infamie pour superbe du cabot.

« Et regarde-moi quand je te cause parce que de nous deux c’est pas à toi de bouder. Tu ne viens pas de te prendre une colle avec Monsieur-coincé-du-cul en personne, ni de devoir courir après un sale nabot qui t’ignore depuis plusieurs jours et est imbuvable aux entrainements parce qu’il-.. Parce que quoi tiens d’ailleurs ? Je peux savoir pourquoi tu me fuis comme si j’avais l’éclabouille ou c’est encore trop te demander ? »

Assistance triturant masse d’ébène  en vis-à-vis de l’inefficacité de son caporalisme. Outré. En marge d’implosion sous ces terminales dilacérations de son orgueil. Ainsi contraint, résignation de la trombine par titubation preste.

« Han mais tu me saoules ! marmottement avant que ne fouettent ses papilles son palais. Très bien, je vois, tu veux jouer au con ? On va jouer au con. »

A la ponctuation de sa prose, tango de satanique bâton. Empaumé dans ses stries des demains, l’informulé becqueta  l’épiderme. Reflet d’un brandon malévole parant carcasse de sa trogne pour que crachin invoqué conquiert les boucles alezanes. L’aguamenti de la hargne.
Alors, l’oremus claqua :

« C’est bon, t’as les idées en place ? On peut discuter ? »


Credits : Gasmask



Défis écriture effectués:

Baba Yaga

Baba Yaga
TRICKSTER
hiboux : 78
Sam 15 Déc - 15:15
Intervention MJJACK O' LANTERN
Sinistros | La dispute entre deux élèves attire l'attention d'un animal. Dans les fourrés du parc, une grande silhouette noire rôde. Légèrement translucide, elle semble faite de brumes immatérielles obscures et dangereuses. Sous son pas, l'herbe se couvre d'un givre léger, aussitôt dissipé par les doux rayons de soleil d'automne... L'un des deux adolescents aura peut-être deviné la vague silhouette, mais, plus sûrement, il ou elle apercevra au sol l'éclat doré de deux rectangles souples sur lesquels on peut lire : Ticket surprise de Jack ; grattez pour jouer.

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