Nom QUINN }} Délice suave de l'irish coffee sur la langue anglo-saxonne ;
Prénoms MEADOW }} champ verdoyant, phare guidant le badaud sur les chemins du savoir AMELIA }} subtilité féminine mussée dans un cristal de chair ;
Âge 18 ANS }} fraîche fragrance posée à même la peau ;
Date de naissance DIX FÉVRIER 1885 }} Coeur d'hiver battant chamade, charade de flocons dispersée au gré des vents ;
Lieu de naissance GREEN GARDEN }} Précieuse hyménée de terre et d'eau, la Tamise louvoie entre les rocs ;
Signe astrologique POISSON }} poiscaille nageant dans les étangs ;
Nationalité ANGLAISE }} l'élégance et le raffinement faits femme ;
Statut Civil CÉLIBATAIRE }} et vive l’indépendance ;
Préférences sexuelles HÉTÉROSEXUELLE }} jolis garçons capturés dans les filets de l’inaccessible princesse ;
Statut du sang MÊLÉ }} vélane de grand-mère paternelle, lointaine et troublante parenté ;
Tradition CULTE DE L’EXTASE }} Instants d’éternels captés dans la jouissance du moment, capacité à se perdre dans l’action présente jusqu’à oublier avenir et passé. Tourbillonne le
flow. ;
Baguette MIROIR }} miroir enchanté d’argent poli, reçu en héritage de la famille maternelle. Combien, avant elle, se sont perdus dans sa contemplation ? BAGUETTE }} faite sur-mesures par la famille Ollivander, le bois de charme le dispute au cheveu de vélane. Caractériel, le focus n’obéit qu’à ses seuls doigts ;
Patronus BOUC }} Puissances occultes, démoniaques présence. Un mauvais présage ;
Dons FAIBLE GLAMOUR }} L’irrésistible princesse a hérité de la famille paternelle un modeste glamour. Elle n’est pas aussi attirante qu’une Vélane mais parvient à se rendre attirante et photogénique lorsqu’elle décide de se mettre à son avantage. VOYANCE }} La jeune femme a hérité d’une version dégradée des talents de sa mère, grande cartomancienne du monde de la magie. Si elle est clairement incapable de lire les cartes, elle parvient en revanche, grâce au miroir de son arrière-grand-mère, à déceler les auras des gens et à visualiser ce qu’ils dégagent. Elle ne parvient pas à lire l’avenir mais est capable de remonter un peu dans le passé ;
Pouvoirs // ;
Particularités ALLERGIE }} La jeune femme souffre d’une grave allergie aux arachides, la moindre bouchée peut la tuer.
Activité Professionnelle, études, métier, autre SERDAIGLE }} Septième année à Poudlard, pour le meilleur et pour le pire SPORTIVE }} Attrapeuse pour l’équipe de Serdaigle et capitaine de l’équipe de Quidditch, la jeune femme ne se destine pas spécialement à une carrière de haut niveau mais aime la pratique de ce sport ÉGÉRIE }} Le joli minois de la jeune fille lui a déjà valu quelques shootings dans le monde de la haute couture locale. Ne dédaignant pas les attentions qui qu’elle ne vive pas pour cela, la jeune fille songe que ce pourrait être un choix de carrière envisageable.
caractère
Patiente Tout vient à point qui sait attendre. La belle le sait, en use et abuse. Elle avance avec circonspection dans la vie, passant au crible la moindre opportunité. Sa mère lui a appris la prudence : cartomancienne, elle ne peut foncer tête baissée dans ses prédiction. Son père lui a enseigné les vertus de l’attente. Employé du Ministère, il ne peut agir avec désinvolture. Parfois trop sérieuse, l’adolescente se prépare à devenir femme.
Perfectionniste Il faut que tout luise, que tout soit aligné, dans sa vie comme sur son corps. Elle soigne avec beaucoup d’attention son apparence et son maintien, jusqu’à parfaire l’ovale bombé de ses ongles. Tout est affaire d’ajustement et de précision. Ne supportant ni la médiocrité ni l’approximation, elle met autant de soin dans ses études qu’elle n’en emploie au rangement de son domaine où à la coordination de ses bijoux. Rien ne peut détonner. Rien ne peut lui échapper.
Travailleuse Maniaque de l’excellence et du contrôle, il est évident que Meadow passe le plus clair de son temps à affiner, polir et parfaire son être. Intellectuellement comme physiquement, elle ne pourrait supporter le relâchement. La pression est constante, l’esprit comme les muscles bien trop sollicités. Il faut trouver des échappatoires.
Romantique Les rêveries et délassements offrent à l’adolescente la soupape de sécurité nécessaire à sa survie. Joliesse et charisme l’entraînent à la fréquentation d’autrui. Hommes, chastes baisers et soirées mondaines. Femmes, thé, shopping et longues discussions. Un monde superficiel où tout est accompli parce qu’il doit l’être. Engrenage mécanique dont la belle ne se rend pas compte. Sirupeuses langueurs de l’instant. Jamais plus. L’adolescente attend encore celui qui lui ravira son coeur et sa première nuit.
Joviale Ouverte aux autres et au monde comme la société l’exige, la belle reine des cieux se fait fort d’être affable avec chacun. Elle prend tout avec le sourire, ou presque, et, à nul autre pareille, fait partie de ces gens simples, faciles à vivre, et agréables au quotidien. Pétillante et conciliante, elle ne refuse jamais de faire la fête, de sortir entre amis et de courir dans les rues de Pré-au-Lard en pépiant !
histoire
Racines Comme l’indique son prénom, la petite Meadow est née dans la prairie… littéralement. A quelques pas de la capitale anglaise, sa mère s’est pliée en deux sous l’oeil inquisiteur de son époux et de sa famille. Cris paniqués « Mais elle est censée arriver pour le vingt-et-un mars ! » L’enfant, déjà, n’en faisait qu’à sa tête. Sa grand-mère paternelle, aussi vélane qu’infirmière à Sainte Mangouste fut celle qui délivra sa bru de l’enfant braillard. Petit poupon emmailloté dans un châle réchauffé par un sort, étroitement tenu contre une poitrine maternelle, l’heure fut à la liesse. Le couple, Andrew et Amelia Quinn a été assez atypique. Cartomancienne irlandaise reconnue née à Dublin, elle s’est arrêtée un jour à Londres pour n’en jamais plus repartir. Elle tomba comme par hasard sur un jeune employé du Ministère fraîchement embauché, aidé un peu, il est vrai, par le charme que lui confère son sang de métisse Vélane. Coup de foudre, et voici qu’au coeur de la tourmente, un peu avant la première disparition de Lord Voldemort, les tourtereaux convolent en juste noces.
Croissance Meadow a grandi dans une famille aimante, choyée et chouchoutée. Elle n’a pas connu la première guerre des sorciers, mais sa mère a toujours été sombre lorsqu’elle tirait les cartes pour eux. Un danger rôde. Très vite, la petite se rend compte du don de sa mère : particulièrement douée pour jauger ses interlocuteurs, elle s’aide, de surcroît, de cartes pour saisir la réalité d’un instant, et s’aventurer dans le passer ou l’avenir de son vis à vis. Elle ne tire jamais les cartes pour elle, et transmet, très jeune, à sa fille, son amour du moment présent ainsi que sa curiosité. Son père, charismatique planqué du Ministère se plaît dans un travail de bureau à l’ancien département de la Justice magique. Peu ambitieux, il a surtout à coeur d’assurer la sécurité et le bien-être de sa famille. Il s’est très vite rendu compte de la véracité des dons de son épouse, quand bien même il était pour le moins sceptique dans leurs jeunes années de mariage. Aussi, lorsque son épouse lui assure que leur petit bout de choux roux tient de ses deux parents, il ne peut que la croire et guetter les prémisses d’un don de voyance chez sa fille. De même, lorsqu’elle lui annonce doctement que Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom est de retour en dépit des annonces de la gazette du sorcier, il la croit. Qui est-il pour lutter contre une oracle, après tout ?
Bourgeon Vient le moment où il faut choisir : envoyer Meadow à Poudlard sous la direction de Severus Rogue ou quitter le pays de peur d’être pourchassé. Le Ministère et l’école sont tombées aux mains du Seigneur obscur… il faut prendre une décision, et vite. Un matin d’août, la mère de Meadow annonce, claironnante, que toute la famille part à Dublin et que ce n’est pas négociable. Elle a eu l’intuition que le jour même son mari serait soumis à l’impérium sur son lieu de travail. Ne sachant si c’est une manifestation de son don ou de ses peurs, Amelia a pris la décision pour toute la famille. Aussitôt disparaissent-ils de l’autre côté de la mer, chez la mère d’Amelia en emportant bagages et grand-mère paternelle. La petite vie s’organise, et Meadow comprend confusément deux choses : premièrement, elle n’ira pas à Poudlard cette année, et deuxièmement… ils l’ont probablement échappée belle. Son éducation est confiée à ses grand-mères. Elles se partagent les cours normalement assurés à Poudlard et font travailler l’enfant à partir de livres et d’exercices pratiques. C’est une activité à temps plein, et la jeune fille se révèle travailleuse, intelligente et intuitive. Après-tout, qu’a-t-elle d’autre à faire de ses journées ? La petite aime particulièrement l’histoire et l’histoire du monde magique. Si elle est brillante dans les matières plus pratiques, cela ne l’intéresse pas outre mesure. L’astronomie et le mouvement des astres seuls semblent capables d’émouvoir son âme… bien plus qu’un enchantement réussi. Elle ne suit que de très loin les événements du Monde de la Magie, mais croit sur parole sa mère avec une sorte de révérence lorsque celle-ci ébauche un sourire un soir de mai 1998. « Vous-savez-qui est mort. » Simple mot prophétique. Sensation mystique lovée au creux de son âme. La petite Meadow ne peut s’empêcher d’être un peu jalouse des talents de sa mère.
Eclosion Après une deuxième année de cours à la maison en Irlande, Meadow arrive enfin à Poudlard en troisième année. En raison de la guerre, elle n’est pas la seule à avoir connu une scolarité un peu perturbée, aussi y a-t-il cette année là, à la cérémonie de répartition, de nombreux enfants un peu plus âgés. La petite est envoyée à Serdaigle, et commence alors une scolarité paisible. Evoluer parmi d’autres enfants fait prendre conscience à Meadow des talents hérités de ses parents. Insensibles à son glamour, sa famille ne s’est jamais comporté bizarrement avec elle. Les garçons de Poudlard, en revanche, semblent assez fréquemment être un peu éblouis par l’enfant. Après quelques lettres paniquées à sa famille et un tour à l’infirmerie, il s’avère qu’il n’y a rien de plus que son sang vélane à l’oeuvre. Si elle n’est qu’une métisse avec un léger pouvoir d’attraction, il n’en demeure pas moins que l’héritage de ses ancêtres est manifeste. L’autre découverte étonnante que fait la petite est sa capacité à deviner, parfois, un fugace halo de lumière autour d’une personne. Usuellement, c’est avec le directeur ou la sous-directrice, tous deux sorciers puissants. C’est en cours de Divination et auprès de sa mère que l’adolescente commence à deviner qu’il soit possible qu’elle ait hérité de quelques capacités maternelles, sans doute renforcées un peu par le sang de vélane. Si elle demeure obstinément incapable de prédire l’avenir ou de voir loin dans le passé, elle possède quelques germes de clairvoyance sur le présent. A l’aide d’un miroir familial reçu pour son quinzième anniversaire, la jeune fille apprend peu à peu à entrevoir les auras plus nettement et à recueillir des sensations sur un passé proche et immédiat.
La jeune fille comprend très vite qu’elle n’a rien de puissante. Ses pouvoirs ne sont pas démentiels ni clairement exprimés comme ceux de ses parents. Elle a quelques petits talents mais ne sera, vraisemblablement, jamais une grande devineresse ou une irrésistible vélane. Toutefois, la petite est curieuse et vive d’esprit. Il lui semble donc qu’elle pourra tirer autrement son épingle du jeu : il ne lui reste qu’à exploser d’autres chemins que ceux empruntés par ses parents. Un peu casse-cou, elle se met au Quidditch et réussit de justesse les tests de sélection au poste d’attrapeur. Elle s’entraîne dur pour se hisser au niveau des meilleurs, sa petite taille et sa bonne condition physique faisant le reste. Légère et aérienne, la rouquine se distingue très vite par son aisance sur le terrain et sa capacité à fédérer les foules. Deux qualités qui lui valent, en sixième année, le poste de capitaine de son équipe. Amoureuse des jeux de stratégie, elle échoit occasionnellement au club d’échecs qu’elle a refusé de lâcher complètement en dépit de la capitainerie qui lui a été allouée. Elle partage ainsi son temps entre le quidditch, les études et les garçons : avide d’aller découvrir le monde dans divers événements culturels environnants, la jeune miss Quinn refuse d’y aller sans cavalier, aussi a-t-elle invité souvent l’un ou l’autre des jeunes gens qui lui font la cour. Toutefois, son inénarrable romantisme la pousse à ne jamais laisser les choses aller très loin : après tout, que serait un conte de fée sans son grand amour ?
Flétrissure Le succès appelle le succès. Sa mère le lui a toujours dit. La jolie capitaine a été repérée lors d’un périple sur le Chemin de Traverse par Madame Gipûre. La jolie rousse lui a tapé dans l’oeil et elle lui a bien sympathiquement proposé de lui prêter son image contre salaire pour sa collection d’automne. Fraîchement majeure, la jeune fille accepte et l’on peut parfois voir sa bouille dans un discret encart publicitaire sur le journal. De connexion en connexion, elle fait une poignée d’apparitions de moindre envergure et met un pied dans la bonne société locale. Il semblerait bien que la future historienne de la magie qu’elle est a plus d’un tour dans son sac.
FT. Madeleine Petsch (gang des rousses au pouvoir!) ;
Pseudonyme Fortuna ;
Âge 25 ans, toujours ;
Comment as-tu trouvé le forum ? il semblerait que j’ai l’insigne honneur de l’administrer en bonne compagnie ;
Un petit mot à ajouter ? je vous aime <3 ;
Ta fréquence de connexion quotidienne.