Nom Carrow, amphigourique hoirie qu’il était parfois exigeant de balader dans ces démêlées antipodes. Taciturne ‘sang bleu’ qu’était celui des Carrow, pâteux d’insanité. Scandaleuse
bâtarde. Fruit d'une avilissante union entre sa génitrice et un méconnu.
Prénoms Wilfrid, mais son nom de théâtre se résumait à celui de « Winnie », surtout pour les commensaux qui grignotaient la clôture de ses intestins, cerveau émotionnel. Mildred, auxiliaire du premier. ;
Âge Dix-neuf cuvées de fêlure sous une venaison écharpée. ;
Date de naissance Elle pouvait encore sentir sa chair frémir de ce granuleux hiver. Le brûlant de la grande vierge picotait encore le bout de sa truffe. Ce vendredi 13 novembre 1984,
Alecto Carrow dardait son petit scorpion d’une substance bien trempée. Marcotte d’une petite gangrène de vésanie;
Lieu de naissance Sud-ouest de l’Angleterre, Lacock, bourg émoussé qui semblait s’être sclérosé dans la conjugaison du passé. ;
Signe astrologique Harpon incisif léchant la cambrure de sa dorsale. Fiel frelaté de lypémanie qui n’attendait qu’à être craché sur la jobarderie des indigents d’esprit. Arthropode papillotant d’humeur. ;
Nationalité Dans la maigreur des singularités anglaises, à la lisière de son noyau. Le petit germe Carrow n'avait pourtant été exemptée de la fantaisie qui habitait le 'Perfide Albion'. ;
Statut Civil La vésanie se flattait à elle seule. ;
Préférences sexuelles Sa géométrie adéquate se résolvait dans le cercle. Une parfaite arabesque, comme l'exquise galbe d'une concubine. Insatiable de volute. ;
Statut du sang Carrow, un lignage qui suintait une infâme limpidité. ;
Tradition Ordre d'Hermès, quoi de plus bohème... ;
Baguette Bois de Cyprès, ventricule de dragon, trente-et-un centimètres ;
Patronus chauve-souris
'Honduran' ;
Dons Animagus en dissémination, croquade à l'image de son patronus. ;
Pouvoirs // ;
Particularités Aussi rocambolesque est la chose, la picrate croquette est toujours munie de 'patates', son péché mignon. Vous la verrez en grignoter à toute heure de la journée. Stigmate de ses frugales agapes de la '
Pomme Épineuse'.
Activité Professionnelle, études, métier, autre élève à Poudlard
caractèreCaractère
PARTICULIÈRE. Une nuance de démence derrière des prunelles qui semblaient voir l’imperceptible aux yeux d’autrui. Bourgeon de schizophrénie. Charley, son ami onirique, la trouvait pourtant tout ce qu’il y a de plus ‘commune’. Ce Charley qu’elle seule distinguait dans la niche à mélasse de sa souche. ÉLÉGANTE GRIVOISERIE. Le velours églantine de ses labres discriminait l’atticisme, auquel la condamnait son blason, au blasphème verbal. La posture bienséante et le maintien d’une échine impeccablement érigée juraient avec le crachoir de gauloiserie qui lui servait de gosier. Les maintes répréhensions de sa mère n’avaient pu épancher son dard insolent. ‘Allez chier, je vous prie’ Mêlé-cassis de convenance et gravelure. GÉHENNE. Existence bourrelée d’opprobre. La charogne baisée de stigmates lancinants, le bourgeon honteux des Carrow s’enlisait dans un supplice silencieux. Elle tâtonnait la croûte de sa destinée avec une hésitation chronique. BOMBE A RETARDEMENT. Sous des égards distingués, elle affectionnait des initiatives rocambolesques. Une fougue qui l’avait déjà gratifiée de quelques griefs. La raison n'était qu'un doux becquetage contre son échine. FURETEUSE TETE DE LINOTTE Cupide intérêt pour le théâtre de vie qui s'effrangeait au liseré de sa 'bulle'. Ses bourgeons croquaient le moindre branlement dans son panorama. Cet insatiable appétit la dissipait dans le lointain horizon. CHAPERON EXCESSIF Cette pulsion intrinsèque de vouloir flanquer une pichenette à tout cornichon en défaut lui attirait parfois un peu trop de scoumoune. 'Chevalier servant' des pudibonds, manchots et autres branleurs quelconques, Winnie se nourrissait de cette fragilité ambiante qu'elle caressait du bout des doigts. LABORIEUSE MAIS MALCHANCEUSE Travailleuse appliquée mais condamnée à une constante déveine, l'assujettissant à un tâtonnement de la part de ses professeurs. Winnie se distinguait autant par son génie que par ses étourderies. PUGNACE ELECTRON LIBRE fécondée d'une bestialité intestine, Winnie épousait facilement l’échauffourée.
histoireHistoire
NOVEMBRE 1984. Agnelage du petit dragon de vésanie dans l’oisellerie des Carrow.
La bâtarde. Wilfrid Mildred Carrow, à qui on avait toujours adopté l’acronyme de Winnie, était cette ‘presque’ négligeable anomalie qui fourvoyait le boyard poulailler qui lui servait de ‘famille’. Alecto se taisait bien de dégonfler ses impairs, plâtrant d’étanchéité ses labres mutines. C’était au berceau de son enfance, alors qu’elle frisait doucement le deuxième mois d’existence, que la daronne avait fait, certes gauchement mais vertement, échoir sa mouflette sur l’intersection percutante des escaliers. Le ciboulot du têtard était le premier à avoir apprécié cette cinglante galoche. Inféconde tentative de cachotter son inavouable fornication. Ce n’était peut-être pas l’indubitable justification de sa
‘particularité’, mais on ne pouvait nier le moteur de son dérèglement qu’avait été cette maladresse. Inavouable détail qui réprimait dans le spectre des non-dits l’alêne petite poupée.
AOÛT 1992. Muchée derrière le parapet du colimaçon, la pouponne considérait d’un scion ombrageux ‘le tiers sans truffe’ qui imprégnait le salon d’un climat bilieux. Sa guenille de chair se tranchait de remous quand ses doigts s’articulaient dans une étreinte éprouvante autour des pilotis que formaient le garde-fou de l’escalier. Elle frémissait de couardise devant celui que ses ascendants appelaient « maître ». La fulgurante appréhension qu’elle devinait, l’espace d’un instant, dans leurs prunelles ne la sustentait d’apaisement.
SEPTEMBRE 1996. Comment une simple missive pouvait déchaîner un tel frisson chez notre caneton ? Son faire-part pour se glisser derrière les remparts nébuleux de Poudlard avait soulevé une émotion mouillée d’euphorie.
« Incohérence petite chose…Poustsouffle…serpentard…serdaigle… ? Sûrement pas chez les lions… mhhh vasouillarde équation…Je me tâte…Tu as ce petit côté droit et bon, avec cette quête d’intimité familiale qui épouserait bien avec les poustsouffles… mais aussi ce maestria d’esprit qui glisserait subtilement chez les aigles…et cette indéniable espièglerie que tout serpent muche dans son venin… mhhhh… tic tac…. SERPENTARD ! » Le petit orvet intégrait ainsi la queue des cracheurs de fiel, choyant la lubricité de sa mère.
SEPTEMBRE 1997. A la
‘Pomme épineuse’, mitard revêtu d’une coquette culotte pour déguiser de bienséance les évidences déshonorantes. Clapier où reléguaient la noblaillonne pègre leurs bancroches poussins. Pandémonium coloré de miel pour adoucir leur égrotante essence.
« Winnie ? »La jouvencelle relevait ses prunelles incisives sur Agatha, la seule entité à la Pomme Epineuse qu’elle jugeait sans doute un tant soit peu d’intérêt.
« Agatha ! Vous êtes appelée au 1er étage ! Je m’occuperai de mademoiselle Carrow… » Élaguait d’une gorge catégorique la ganache Margaret. Winnie martelait d’une œillade diffamatrice le dessin contrefait de celle qui prétendait être la médicomage attitrée du service. Ses sourcils se bécotaient dans une étreinte trébuchante tandis que son ange-gardien se congédiait de force sous l’inflexion endémique de sa supérieure.
« Bien…petite abomination, à nous deux… » Le visage de Winnie se brisait de géhenne dans un fard outrancier qui laminait la chair de celui-ci dans un moulage d’épouvante. Charogne humiliée sous les abordages impardonnables.
(…)
« Ça va aller Charley… ça picote juste… » La pulpe de ses doigts affleurant les fraîches et vermeilles lézardes qui léchaient la carogne de son échine, suscitaient un élancement qui s’épuisait à la barrière de son gosier. Songe-creux, la pouponne Carrow se consolait doucement dans la moiteur onirique de la présence de son ami Charley.
JUILLET 1999. Les stigmates de l’odieuse Margaret n’étaient qu’un lèchement à côté des empreintes qu’avait déchues Poudlard sur son entité. Sa première année à Poudlard avait entaillé sa moelle d’une douceur qui lui était jusqu’à l’heure ignorée. Ses labadens et ses vieilles branches de professeurs avaient creusé le saut-de-loup. Un semblant de préliminaire. Une lichette ébauchée qui n’avait pas accosté les rives de satisfaction.
« Mademoiselle Carrow ? » Organe buriné de touffeur qui fomentait une chatouille de curiosité chez Winnie. L’agneau noir évaluait le personnage au simulacre décoloré. Elle distinguait pourtant quelque chose. Une braise de sécurité. Sans l’expliquer, elle jugeait l’étranger d’une lucarne tranquille.
« Winnie » articulait-elle.
L’imperméable sculpture l’évaluait hâtivement.
« Severus Rogue. » Rogue. Ce nom retraçait une chtouille apprivoisée.
« Severus » radotait-elle dans un chuintement éteint. Personnage inébranlable qui s’esquissait souventefois dans les cercles jansénistes de sang-pur que sa famille, et particulièrement sa mère affectionnait. Elle se remémorait de cette contenance estompée dans la croquade de ces augustes copinages. La binette du ‘sans-nom’, et auxiliairement sans nez, mouchetait son esprit d’appréhension. Malgré la fonte du funèbre sieur avec l’entrée de Rogue, elle ne pouvait ravaler cette bile de sécurité que cet intrus lui personnifiait.
C’est ainsi qu’avec une mère désapprouvée, refusée de ses droits parentaux après la chute du Lord noir, que la moutarde se retrouvait sous la tutelle du nouveau directeur de Poudlard, Severus Rogue.
Réinsérée dans l’occulte forteresse qui, chaque jour depuis son prélude, avait creusé une bête plus insatisfaite que jamais, famélique de fêlure ; _ Wilfrid enjambait la deuxième année pour bécoter sans exorde la troisième. Rajustement laborieux pour raccorder les craquelures de son érudition d’une année dont elle n’avait pas jouie.
FT. Polly ellens ;
Pseudonyme MEXICALI ROSE (chloé) ;
Âge 27 ans ;
Comment as-tu trouvé le forum ? je connais déjà les lieux hihi #hérisson powa
;
Un petit mot à ajouter ? pouet pouet tagada vroum vroum
;
Ta fréquence de connexion 5/7