DROIT ET LOYALS’il y a une chose que l’on peut dire sur Tristan, c’est qu’il est fidèle à ses principes et à ses choix. Même quand il n’était qu’un petit garçon, il détestait l’injustice et n’arrivait jamais à mentir très longtemps. Bien rapidement son visage le trahissait. Aujourd’hui, et fort heureusement, son visage reste impassible. Il a appris à cacher ses émotions avec une grande habilité.  Avec le temps et les expériences, Tristan s’est forgé un caractère assez lise, difficile à lire, mais tous ceux qui le connaissent, savent qu’il est droit dans ses bottes. Quand il dit quelque chose, il le pense, et n’y va rarement par quatre chemins pour exprimer ce qu’il pense. Cela lui a valu quelques soucis, mais rien de vraiment bien méchant. Ce qui est certain en tout cas, c’est que Tristan est le genre d’homme à prendre ses responsabilités, même si cela est loin de lui convenir personnellement.
Droit et loyal, le trentenaire est fidèle à ses principes et au ministère et ce n’est pas lui qui changera son fusil d’épaule, même si parfois, il a des doutes quant à la capacité d’Harry Potter à réussir à unifier le monde magique.  OUVERT Sang-pur par les gènes, Tristan n’en est pas moins tourné vers la modernité. Sa scolarité à Poudlard et sa famille paternelle lui a permis d’évoluer d’une manière drastiquement différente que s’il avait grandi dans sa famille coréenne, bien plus hermétique aux nouveautés. Même si cette dernière est très moderne au point de vue de sa propre nation. Contrairement à certains des siens avec lesquelles, il partage la qualité d’un sang-pur, Tristan n’a rien contre les sang-mêlés et les nés moldus. Pour lui, il n’existe aucune différence entre eux, car après tout, ils sont tous sorciers. Au contraire, il trouve que cela apporte une certaine richesse aux relations sorcières en amenant des gens de tous horizons à se rencontrer. Il se place donc du côté d’Harry Potter, ce qui n’a pas spécialement fait plaisir à son grand-père maternel, mais cela lui importe peu. REFLECHI Le fils de Bilius Weasley s’est toujours  distingué de son père par son côté réfléchi et posé. Si son père était d’une nature assez vive et parfois très infantile. Tristan a toujours pris le temps de réfléchir avant d’agir. Quand il fait quelque chose, il a tendance à prendre en compte tous les facteurs pour éviter les mauvaises surprises. Il réfléchit avant d’agir pour minimiser les risques, pour ne pas se lancer sans savoir où il va tomber. C’est autant le cas dans sa vie privée que professionnel. Cela fait de lui un très bon auror, capable d’analyser les risques et d’avoir un certain recul face aux situations qu’il est en train de vivre. CALME Tristan a hérité du flegme à la Coréenne de sa mère. C’est quelqu’un de posé, de calme, qui n’aime pas les ambiances trop survoltées. Les fêtes endiablées sont loin de faire son bonheur, et il préféra toujours une soirée tranquille à une soirée de beuverie.  Pour autant, c’est quelqu’un qui a toujours apprécié les moments de danger qu’il lui arrive de vivre dans son travail. Bien entendu, il ne les recherche pas, mais c’est adapté quand la situation le demande. Dans ces moments, il ressent toujours un certain plaisir. Disons qu’il aime le calme quand il rentre chez lui, mais préfère avoir un travail actif. Autant vous dire qu’en tant qu’Auror, il n’a pas à se plaindre niveau activité professionnelle.AIMANT Malgré son apparente froideur, Tristan est quelqu’un de doux et d’attentionné qui sait et aime prendre soin des personnes qui l’entourent. Il a toujours soutenu son père, même quand la plupart des gens qui le connaissaient se sont détournés de lui. Quand son père a commencé à perdre la tête, Tristan a tout tenté pour essayer de trouver un remède, de remettre son père sur le droit chemin. Il n’a jamais abandonné, il a passé de longues heures avec lui, à essayer de l’atteindre. Quand ils aiment les gens, il est prêt à tout pour eux. C’est d’ailleurs le cas avec sa fille, même s’il a mis énormément de temps pour apprendre à l’aimer.BRILLANT Aussi loin qu’il s’en rappelle, Tristan a toujours été un bon élève, voire très bon. Il n’a jamais eu de grandes difficultés scolaires et a toujours aimé apprendre. Il faut avouer, qu’échouer n’était pas une option. Si son père ne lui mettait pas la pression, ce n’était pas le cas de sa mère. Pour cette dernière, il était impossible que son fils ne réussisse pas. Tristan a donc toujours eu une certaine pression sur les épaules pour combler les attentes maternelles. Il a d’ailleurs déçu sa mère en choisissant de devenir Auror et en refusant de rejoindre l’entreprise familiale. CHARISMATIQUEL’ancien Poufsouffle possède un certain charme qui laisse rarement indifférent. Cela lui vient peut-être de ses traits asiatiques… Une sorte d’attirance pour la rareté ? Il faut bien avouer que son visage n’est pas des plus communs dans le monde magique anglais. Ce qui est certain en tout cas, c’est que Tristan dégage quelque chose qui attire les gens, qui leur donne envie de le suivre, et c’est un atout considérable pour son métier. MODESTE Malgré ses origines et l’argent que possède sa mère, Tristan a toujours gardé les pieds sur terre. Il faut bien avouer que son père s’est battu pour qu’il ne devienne pas un sorcier « arrogant » et qu’il sache se mettre au niveau des différentes types de population magique. Ainsi Tristan aime vivre modestement, sans en mettre plein la vue. Il sait apprécier les choses simples de la vie, mais parfois, il avoue déroger à ses principes pour se faire un petit plaisir. FROID Tristan a toujours eu une attitude distante envers les inconnus, ce qui peut le faire paraître froid. A vrai dire, il a toujours du mal à aller vers les gens, préférant rester dans son coin, là ou il se sent bien. Pour autant, quand on le connaît vraiment, on découvre quelqu’un d’assez avenant et de sympathique, mais pour cela il faut avoir un peu creusé pour le découvrir. Son statut d’auror n’arrange pas les choses, il en effet dû apprendre à cacher ses émotions et à les contrôler. Sans oublier qu’il s’est battu lors de la guerre, et ça, ça change une vie. Cela brise une partie de vous, une partie qui ne se répare jamais réellement.
ANIMAGUS Tristan a la chance de pouvoir se transformer en chouette chevêche. C’est pour lui un véritable gain de liberté et un atout considérable dans son travail, ou les chouettes et autres hiboux, ont tendance à passer assez inaperçus dans le monde magique. La petite taille de la chevêche et son agilité fait d’elle, un véritable atout pour les missions d’espionnage.
Devenir Animagus n’a pas été facile, cela lui a demandé plusieurs longues années d’entraînement. Le plus difficile à été de trouver son animal intérieur. Cet exercice n’a pas été aisé pour Tristan qui a pendant longtemps pensé que son animagi était un lynx comme son patronus. Il a finalement découvert qu’il s’agissait d’une chouette chevêche. C’est a force de ses nombreux échecs, qu’il s’est vraiment interrogé sur sa personnalité, sur ce qu’il ressentait au plus profond de lui. C’est ainsi qu’il a compris que c’était la chouette et non pas le lynx qui reflétait au mieux sa personnalité.
Définir l’animal dont on va prendre la forme n’est pourtant que le début de l’apprentissage, s’en suit des nombreuses heures de travail pour réussir à prendre la forme désirée. Tristan n’est devenu Anigamus qu’à 21 ans, il lui a fallu plusieurs années après avoir quitté l’école de magie pour vraiment réussir à contrôler ce don, sachant qu’il a commencé son entraînement après l’obtention de ses Buse. Au début se transformer lui demander énormément d’énergie et il ne restait jamais très longtemps sous sa forme animale. Aujourd’hui, 16 ans après, il contrôle bien son don et a appris à jouer avec les courants pour moins se fatiguer en vol. En plus de l’aider dans son travail, c’est aussi pour lui un moyen de s’échapper à la réalité du quotidien. On ne sent jamais aussi libre que dans le corps d’un oiseau.
Lors de ses examens pour devenir Auror, en plus de ses talents en métamorphe, Tristan a du démontrer sa capacité d'animagus. Il se souvient encore de la tension ressentit juste avant de rentrer devant le Jury. Ne croyez pas, qu’il s’est transformé en une fraction de seconde. Cela a pris du temps, quelque longues minutes afin qu’il trouve assez d’apaisement en lui pour saisir son animal intérieur. Tout oublier pour se concentrer uniquement sur ses émotions . Il se souvient du picotement dans ses muscles et du moment ou il a contemplé le jury à même pas 20 centimètres du sol. Puis il avait déployé ses ailes et après avoir volé au dessus de la tête des jurys, il alla se posa sur le rebord d'une fenêtre.  Mission réussie donc et autant qui qu’il en était fier. Après tant d’années de travail, il maîtrisait enfin cette capacité.