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A la moldue | pv Harry
 :: Salon de Thé & Bar à chats :: SAISON 1 :: RP

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Invité
Mer 20 Mar - 12:17




















❝ A LA MOLDUE ❞




Quand tu as des vers à tirer du nez mignonnement retroussé d’HARRY, tu sais qu’il faut faire les choses en grand. Le tirer hors du lit un dimanche matin avec la complicité de Kreattur l’elfe de maison du Square Grimmaud en fait partie. Tu ouvres la porte à la volée et claironne.

« Debout Monsieur le Ministre ! Il est hors de question que tu passes ta seule journée de repos à dormir ! Aujourd’hui, on fait une virée en ville et ce n’est certainement pas négociable ! Et avant que tu ne râles : il est huit heures et une minute, donc non, je ne te réveille pas avant huit heures ! »

Tu t’es accoudé à l’encadrement de la porte, vêtue d’un jean et d’un T-shirt. (Bénis soient les week-ends !) Tes cheveux sont remontés en chignon, cela fait des années que tu ne les as plus laissés vadrouiller en liberté. La guerre ne t’a pas laissé le loisir de l’esthétisme, et la politique ne te laisse pas de grande latitude. En tant que femme, jeune, déboulant dans les murs du Ministère, tu as dû adopter une allure stricte, sérieuse, capable d’inspirer confiance et révérence. Harry aussi a dû changer radicalement son apparence, et lorsque tu le vois papillonner les prunelles vertes sans ses verres et le visage radieux, tu te dis que ces heures à souffrir à deux sous les conseils des meilleurs stylistes et professeurs d’étiquette au cours des dernières années ont porté leurs fruits.

« Allez ! On se lève, Harry ! Je t’emmène petit déjeuner dans le Londres Moldu ! Toi et moi avons besoin de prendre une pause et rester ici tout le dimanche n’est pas une option ! Déjà que je suis ici plus souvent que dans mon propre appartement... »

Tu plaisantes à peine. Tu passes effectivement plus de temps chez Harry que dans le petit studio que tu loues à Londres. Tu vas finir par emménager, si ça continue… Toutefois, tu aimes l’idée d’avoir un coin à toi et malgré les travaux de réfaction commandés par Harry, tu ne te sens pas vraiment dans ton élément dans ce vieux manoir. Il a retrouvé sa splendeur d’antan, pourtant. La seule pièce demeurée inchangée, pour faire plaisir à Kreattur, d’après ce que t’a confié Harry, c’est bien la chambre personnelle de Regulus Black. C’est ironique qu’il soit précisément en vie. Tu en es tombée de ta chaise quand tu as vu son nom resurgir. Harry a pris la chose beaucoup plus stoïquement, mais vous savez tous deux qu’il serait en droit de venir réclamer l’héritage des Black. Tu t’étonnes qu’il ne l’ait pas encore fait, d’ailleurs. Votre enquête sur lui touche à sa fin et vous n’avez presque rien trouvé datant d’après sa « mort » sinon la scolarisation de ses deux enfants à Poudlard et sa prise de poste à la rentrée dans cette même école, il va falloir une prise de contact rapide désormais, penses-tu.

Mais là n’est pas la question. Tu jettes un dernier regard à Harry.

« Tu as dix minutes pour émerger, je t’attends en bas, dans le hall ! »

Et tu t’exécutes. Moins d’une demi-heure plus tard, vous voici tous deux attablés dans un café moldu, méconnaissables, devisant doucement sous la protection d’un sortilège de confidentialité.

« Bon, il faut qu’on parle Harry… C’est très important. Tu m’as demandé de retravailler la campagne de communication autour de la réserve… est-ce que tu vas enfin me dire qui t’a décidé à changer ton fusil d’épaule ? »







© Code de Phoenix O'Connell - 668 mots

Le Ministre

Le Ministre
MONSIEUR LE MINISTRE
hiboux : 435
Ven 5 Avr - 21:16


LE VERBE ET LA MANIÈRE
@H. Jean Granger & @Harry J. Potter
Le ciel noir semble dégouliner sur moi. Les étoiles sont autant d’étincelles qui me brûlent la peau au milieu du goudron de la nuit. Tourmente, fracas. Les sortilèges fusent. Les hurlements résonnent jusque dans mes oreilles, déchirent les ténèbres. On m’appelle. « Harry ! » Le nom est prononcé d’une voix familière et in-identifiable. Encore un condamné. Quiconque m’a connu est voué à la tombe. Parents. Amis. Professeurs. Soutiens. Presque une malédiction.

J’évite un
sectusempra. Le souvenir du livre du Prince de Sang-mêlé tourbillonne quelques instants. L’écriture acérée de Rogue jaillit de la bouche de mon opposant, inscrivant en lettres de lumière le maléfice qui m’est destiné. Esquive, me voici dans la forêt. A nouveau, on m’appelle. « Monsieur le Ministre! » La voix résonne, partout et nulle part à la fois.

Je suis face à mon plus grand tourment. Le visage est pâle, les yeux rouges. Pourtant, les traits de Tom Jedusor ont pris le pas sur la face repitilienne de Lord Voldemort. A quelques détails près, nous sommes semblables, lui et moi. Jeunes hommes brillants, malmenés par le monde des moldus et par le monde de la magie. Poudlard était notre maison, le monde notre terrain de jeu.


« Harry ! »


Je prends une profonde goulée d’air en ouvrant les yeux pour découvrir Hermione, nonchalamment posée sur le pas de la porte. Je grogne.

« T’as vu l’heure ? Sadique ! On est dimanche… je devrais avoir le droit de dormir jusqu’à huit heures et demi au moins ! »

A quoi me sert d’être ministre si je ne peux même pas faire une grasse matinée ? J’extirpe un bras de sous les couvertures et cligne des yeux tandis que la belle reprend sa diatribe. Pourquoi je lui ai filé les clefs de la baraque, déjà ?

« C’est bon, c’est bon ! J’arrive, tortionnaire ! Félonne ! Saleté ! Fourbe ! Même Severus Rogue est moins difficile à supporter que toi… Enfin… je suppose. »

Je laisse s’échapper un éclat de rire. Étouffement amusé. Severus Rogue… Drôle de lascar quand même. Nos retrouvailles ne m’ont pas laissé aussi indifférent que je l’aurais espéré. J’ai beau savoir que j’ai joué avec lui des violons, convoquant le souvenir de ma mère, celui d’Albus Dumbledore avant de lui proposer un défi à la hauteur de son intellect, je ne peux m’empêcher de culpabiliser un peu de le manipuler comme ça. Enfin, avec un peu de chance, il me le rendra bien… à sa manière.

Le réveil est difficile. Douche trop rapide, vêtements attrapés à la volée, me voilà en bas à côté d’une Hermione beaucoup trop rayonnante pour mon bien. Le Ministre est en vacances. Je peux, le temps d’être un dimanche, redevenir ce jeune adulte un rien grognon.

« Hermione, tu es beaucoup trop en forme pour moi un dimanche matin. Comment tu fais, franchement ? C’est quoi ton secret ? »

Paradoxalement, son secret, je le devine. J’ai vu ces petite fioles de potion violette dans ses affaires : la potion de sommeil sans rêve. J’ai les mêmes dans un tiroir et j’y recours de temps à autre. La guerre a été une chienne avec nous tous.

Le trajet se déroule en silence et ce n’est qu’après s’être dissimulés derrière des sorts d’illusion et des barrières de silence que la réelle confrontation peut commencer. Un soupir. Même le dimanche, le Ministre revient gratter dans la caboche.

« Je me disais aussi que tu n’allais pas me tirer du lit juste pour le plaisir de ma compagnie. On peut au moins parler en mangeant ? »

Ouais, je lorgne sur les scones, et alors ? En plus, dans le monde moldu, je peux au moins me repaître de pâte à tartiner… Vous n’avez pas idée du retard culinaire qu’on a chez les sorciers. Je recouvre de chocolat un petit gâteau avant de répondre à Hermione entre deux bouchées mesurées.

« C’est Rogue, si tu veux tout savoir. Il s’est pointé vendredi dernier au Ministère à huit heures du matin pour me dire tout le bien qu’il pensait des nouveautés. On s’est un peu disputés, mais on a fini par avoir, aussi dingue que ça puisse paraître une conversation civilisée. Il m’a très justement fait remarquer que notre approche était beaucoup trop frontale, que la population magique de l’Angleterre est composée à 80 % de sang-mêlés et seulement à 10 % de nés moldus et 10 % de sang purs. »

Nouvelle bouchée.

« Basiquement, il m’a rappelé qu’autant, déchoir les sangs purs, ça allait en toucher une sans bouger l’autre à 90 % de la population, mais que promouvoir à tous prix frontalement la jonction des cultures magiques et moldues, ça n’allait réjouir que 10 %. Donc il faut qu’on tente une approche un peu moins révolutionnaire si on veut éviter le putsch. »

Gorgée de café. Franchement, qui boit du thé à part Rogue ?

« Et puis, le même jour, Moira Oaks, la présidente du Magenmagot est aussi venue taper du poing sur la table parce que j’ai légèrement fait passer la nouvelle par une note de service sans la consulter. Et c’est là que, bizarrement, j’ai compris ce que Rogue voulait dire… Il est étonnamment doué en communication… on croirait pas, vu comme ça. Mais je commence à croire que le prof qui mange deux gryffondor au petit déjeuner chaque matin, c’était du vent. Il y a quelque chose d’autre dans ce gars. Peut-être est-ce parce qu’on a tous pris un peu d’âge, mais sérieusement… on en était presque à se vanner comme des amis de longue date. Tu y crois, toi ? »

Nouvelle brioche tartinée. Le café et la nourriture font leur office pour achever de dissiper les brumes du sommeil. J’y vois plus clair, à présent.

« D’où la nouvelle stratégie de comm’, il va falloir être plus insidieux. On est deux gamins idéalistes, après tout… Enfin, surtout moi. Tu as toujours été la plus réfléchie de nous deux. Même si notre monde a un retard fou sur le monde moldu, peut-être ne faut-il pas le présenter comme ça ? Notre société a vécu en quasi-autarcie depuis les chasses aux sorcières ; peut-être qu’on pourrait penser en terme d’ouverture à l’autre, de progrès, d’innovation ? On pourrait présenter les réserves comme une opportunité pour les combattants de la guerre de revenir doucement à une vie pacifiée ? Quelque chose comme ça ? »



Codage par Emi Burton - 1073 mots

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Sam 13 Avr - 15:06




















 ❝ A LA MOLDUE ❞




   Tu as levé les yeux en entendant les accusations de ton ami. Bien sur que c’est cruel que de le tirer du lit, mais toi comme lui savez que c’est nécessaire. Une obligation. On ne peut pas s’offrir le luxe du repos lorsque l’on prétend réformer le monde de la magie. Vous en avez conscience tous les deux. Toi, en tous cas, c’est certain.

Mais ces moments de disputes bon enfant te rappellent l’adolescence que ni lui ni toi n’avez vraiment eue. La guerre frappait à vos portes. Cela a toujours pesé, comme une ombre au tableau de votre jeunesse. Ces instants de normalité sont précieux, même s’ils ne sont que mensonge. Tu sais qu’il cauchemarde. Tu sais que tu fais taire les tiens à coup de potions. Ni l’un ni l’autre n’êtes en paix. Lui et toi souffrez de vos souvenirs et de vos actes. Vous avez tué. Ce n’est pas parce que c’est la guerre que ça en devient plus facile. Ce n’est pas parce que c’était vous ou votre opposant que ça allège votre conscience.

Tu le vois arriver en grommelant, tu l’emmènes dehors. Vous vous installez. Le sort de silence vibre autour de vous une fois le petit déjeuner servi. Tu lui fais un sourire et lui indique de se servir d’un geste.

« Tant que tu ne parles pas la bouche pleine, on peut tout faire. Allez, vas-y ! »

Tu fais tinter ta cuiller sur la porcelaine de ta tasse de café. Serré, le café. Depuis que tu as découvert le café italien, celui qu’on sert dans les cafés londonniens te paraît un insipide jus de chaussette. A ton tour, pendant qu’Harry t’expose les faits, tu attrapes un scone que tu recouvres de beurre et de miel avant de mordre dedans.

« Si je résume bien... » Et tu es à peu près certaine que c’est le cas. « Severus Rogue, Directeur de Poudlard, ancien prof de défense contre les forces du mal et de potions, Maître ès potions, ordre de Merlin première classe pour faits héroïques de guerre et notoirement le prof le plus détesté que tu aies eu à Poudlard à part peut-être Ombrage, te file des conseils et toi, tu l’écoutes ? »

Tu marques une pause incrédule. « Prodigieux… Il va falloir que tu me dises quand tu es devenu soudainement mature, Harry ! » Tu le chambres, bien sur, mais en vrai, tu es secrètement fière d’Harry. Tu connais ses antécédents avec Severus Rogue et tu connais le caractère difficile du bonhomme… Et puis, entre toi et ta conscience, cela t’arrange. Si Rogue et Potter sont en bons termes, ce sera sans doute plus facile pour toi de te rapprocher de lui et d’obtenir d’apprendre sous sa houlette. Et ça, c’est ton objectif… Tu cales un morceau de scone entre tes lèvres pour te libérer les mains. Le miel papillonne sur ta langue tandis que tu cherches dans ton sac à main un bloc notes et un stylo. Les plumes, c’est vraiment trop old school.

Tu avales ta bouchée, repose le scone, ouvre le calepin et commence à écrire tandis que ton cerveau bouillonne.

« Si je résume, donc : il s’agit de se modérer et de se présenter comme moins rentre-dedans et idéaliste en donnant l’impression d’avancer plus lentement, et surtout cibler les sang-mêlés… Mais comment tu veux faire ça au juste ? Les Sang-mêlés ont un regard biaisé sur le monde de la magie : ils ont intériorisé la domination symbolique des Sang Purs, se sont habitués à l’aristocratie qu’ils représentent. Les nés-moldus, au contraire ne sont pas formatés par cette éducation. Sur le long terme, je suppose que tu comptes sur ce cours de sciences moldues, mais en attendant ? Que pourraient bien vouloir 80 % de la population ? Panum et ludum ? Du pain et des jeux ? C’est ça, le secret ? Faire une diversion pour chaque mesure que tu veux faire passer ? »

Tu tapotes le stylo sur la table, fait rouler le plastique entre tes doigts.

« Et pour les réserves, soit. On peut miser sur cette nouvelle approche. Idéalement, il nous faudrait un candidat ou deux qu’on puisse porter aux nues en partageant leur expérience personnelle. Je suis sûre qu’on trouvera de quoi enflammer les élans patriotiques. »

Tu notes l’idée.

« Peut-être que d’organiser une sorte de soirée ‘questions / réponses’ avec des représentants du bureau des Aurors, du Département de la Justice mais aussi des quidams pourrait être intéressant ? Ou fonctionner par référendum ? Cela se fait pas mal chez les moldus et de telles dispositions existent dans les lois sorcières, j’ai vérifié… C’est juste que ça n’a jamais été beaucoup employé. »






   



© Code de Phoenix O'Connell -  749 mots

Le Ministre

Le Ministre
MONSIEUR LE MINISTRE
hiboux : 435
Mar 11 Juin - 10:50


Hermione compte au nombre des rares personnes à qui je peux faire confiance. Et lorsque nous nous échappons dans le monde moldu, je peux aussi oublier le Ministre pendant quelques temps. De toute façon, comme tout homme bien né, il fait la grasse matinée le dimanche. C’est donc la bouche pleine de scone à la pâte à tartiner que j’écoute les sarcasmes d’Hermione. J’avais oublié à quel point les dernières expériences l’avaient rendue acide… Je ne devrais pas, mais je crois que j’aime assez le changement, en vrai. Cela en dit long sur la difficulté du retour à la vie civile, à la vie normale, qu’elle peut éprouver. Qu’on éprouve tous. J’ai presque un peu de peine pour elle, parfois, de l’embarquer dans toute cette histoire. Cela a déjà détruit son mariage… est-ce qu’il faudra qu’elle en pâtisse autrement encore ?

Je laisse s’échapper un sourire entre deux mastications, j’avale. Je ris franchement en gonflant les joues.

« Hey ! Tu me sous-estimes vraiment ! J’ai un peu grandi depuis l’époque où Rogue était notre prof ! Bon, pas beaucoup, c’est vrai, mais un peu quand même ! Attends, on a presque eu une conversation civilisée avec Rogue… On a juste failli en venir aux mains une fois ou deux. »

Ce qui n’est pas exactement faux : je me souviens avoir laissé une alternative à l’ancien mangemort : un duel ou une discussion. Par chance, il s’est montré conciliant, intéressé, même, après avoir eu un maigre aperçu de mes plans pour le monde de la magie. « pour le plus grand bien » aurait dit Dumbledore. Je n’ai pas de telles ambitions : je souhaite simplement la paix. Et celle-là, je suis prêt à l’imposer dans le sang… Rogue a eu, cependant, d’intéressantes contre-propositions qui devraient rendre les choses plus… douces.

« ça va te paraître cynique, mais : ça marche très bien dans le monde moldu, le panum et ludum comme tu dis. Il suffit de voir la façon dont les médias couvrent les nouvelles réformes tout en couvrant une actualité culturelle ou sportive en même temps… Tiens, on n’organiserait pas une compétition de Quidditch un de ces jours ? Ou bien on pourrait faire des sortes de jeux olympiques sorciers à la prochaine réforme ? Regarde, Hermione : il faut des choses qui puissent fédérer le monde de la magie. »

Je prends une gorgée de café.

« Mais en tous cas, les sangs mêlés sont la clef, d’après Rogue, et je dois dire que c’est pas faux. En plus, je suis moi-même de sang mêlé, on peut la jouer ‘un ministre qui vous ressemble’. Je suis sûr qu’on doit pouvoir construire une image de proximité du Ministère avec les gens. »

Je hoche la tête.

« Oui, un première promo restreinte de réservistes est une bonne idée pour la comm’. J’ai assuré Madame Oaks que ce nouveau corps n’impacterait de toute façon pas le fonctionnement du département : on va pouvoir lancer les recrutements de formateurs et de formés incessamment. Je crois qu’on a déjà reçu les premiers CV. »

Hermione a l’art de me poser des colles. Menton entre les doigts, je réfléchis.

« Le référendum c’est pas con, mais c’est à double tranchant, non ? Si les gens votent pour notre proposition, ça fait une super arme contre nos détracteurs, mais dans le cas contraire... »

Je laisse flotter une inquiétude tandis que mon cerveau tourne à plein régime. Ce qu’il faut, c’est une communication ciblée, et… un peu d’aide grâce à Severus Rogue !


Codage par Emi Burton - 596 mots

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