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Conchobhar : « lover of hounds. »
 :: Salon de Thé & Bar à chats :: SAISON 1 :: Fiches présentation

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Mar 4 Sep - 20:26
Connor O’NialláinCorne de Licorne
Nom O’Nialláin, dans le pur respect de ses racines. ; Prénoms Connor Odran, grand débat chez ses parents du fait que les paternels s’attribuent le second en primaire depuis trois générations, mais dont la mère a refusé d’appeler son enfant par la même dénomination que celle de son mari et amant. Compromis résultant à ce nouvel ordre et la rupture d’une tradition - ainsi qu'une petite anglicisation. ; Âge 17 années déjà derrière lui, et une longue vie qui l’attend encore. ; Date de naissance Un Lundi 24 Mars 1986, bourgeons éclos et demi-saison aux giboulées qui ont peut-être inspirés son caractère. ; Lieu de naissance L’Hôpital Sainte-Mangouste, sol anglais, mais unique appartenance qu’il a avec ces rosbeef. ; Signe astrologique Bélier, symbole d’impulsion, virilité et courage, associé bizarrement au feu. C’est beau l’astrologie non ? ; Nationalité Irlandais de territoire, et de cœur. ; Statut Civil Célibataire, et faudra mériter le partage de son nom. ; Préférences sexuelles Hétérosexuel, après s’être posé quelques questions faut l’avouer… Maudit lémurien. ; Statut du sang Mêlé, grand-père maternel né-moldu. Et s’en fiche pas mal. Après tout seuls les hypocrites clament le bleu de leur sang. Ayant usé même de l’adjectif pur dans un parfait abus de langage qui se reflétait dans leurs formidables abus de pouvoirs. ; Tradition Héritier de l’Ordre d’Hermès, il parait, mais pour ce qu’il en sait et s’en fout... ; Baguette Baguette rigide de 12 ½ pouces dessinée dans le cœur d’un large - mais rare - plant de Lierre. Ventricule de Vert Gallois en son sein. Droite, elle reste dénuée de tout ornement pour que la beauté transparaisse seulement dans sa sobriété. ; Patronus Un beau Saint Bernard, pas trop baveur aux poils soyeux, s’il vous plait. Comment ça on ne passe pas commande ici ? ;  Dons Sorcier donc hormis le don magique qui n’est pas des moindres, rien d’autres. Mais ça va, il le vit bien – enfin pour le moment... ; Pouvoirs Faire tourner en bourrique son Directeur, ça passe ? ; Particularités Connait une forte aspiration pour le Quidditch et l’univers qui y est lié (bisouilles à RegReg pour la Boutique parait-il d’ailleurs) Activité Professionnelle, études, métier, autre Etudes, 7ème année. Plus proche de la vie adulte que de l’enfance. Du moins, en théorie…

caractère
Caractère Les couloirs s’animaient autour de sa carrure surplombant d’un peu moins d’une tête ses camarades. Le sourire aux lèvres, le brun rigolait en compagnie de ses amis – tous de longues dates puisqu’ils cohabitaient ensemble depuis bien plusieurs années. Moue moqueuse et sourire goguenard qui se faisait séducteur lorsque ses yeux s’accrochaient à une jolie demoiselle, il avançait confiant parmi cette foule de Septembre où planait l’euphorie des retrouvailles et des expectations naissantes au renouveau de cette année d’étude. Tenu en ces lieux à l’ IMAGE d’un des maitres de ces lieux, ancienneté et popularité à l’appui, il arborait autour de son cou une cravate - au nœud négligemment noué-, signe de fière appartenance à sa maison dont il s’estimait bon héritier. Son âme Rouge et Or clamant la vérité de la chaleur donnée par la palette Poudlarienne par son reflet dans les fossettes creusant ses joues. S’associant au courage et la bravoure dans ce cœur de lion – ou n’était-ce que de l’imprudence de cette tête brûlée ? Il l’ignorait, et n’y voyait pas même de différence. L’esprit trop fermé aux moindres subtilités pour en apercevoir l’esquisse la plus flagrante. Après tout, à ses yeux n’existaient que le blanc et le noir ; aucune nuance de gris.

En parallèle râleur certainement, l’ HOMME à en devenir restait incroyablement sociable – ou plutôt n’était-ce que sa propre assurance qui n’empêchait sa langue de se mouvoir, même dans les pires conditions et ce quel que soit le statut de son interlocuteur dans la hiérarchie scolaire comme quotidienne -, expliquant en conjointement avec les quelques années derrières lui et sa place de Capitaine depuis plus d’un an les nombreuses salutations sur son passage. Qu’il rendait parfois, quand il estimait la personne méritante d’un peu de son intérêt. Ou tout simplement s’il en avait juste le gout. Petite tête de mule bornée dont le caractère passionné pouvait déclarer un violent orage comme une belle journée ensoleillée.
En parallèle son comportement soumis à l’égoïsme et égocentrisme latents de cet enfant unique qui jouaient fréquemment dans ses rapports avec ses confrères. Trop habitué à tout avoir, très vite, ou à n’en faire qu’à son bon vouloir. Le monde tournant autour de lui, s’auto-attribuant le rôle de l’astre solaire dans sa propre galaxie. Surement une très arrogante perception de l’environnement qui s’agitait autour de lui, mais peu étrangère à son caractère. Lui le Prince de ces lieux. Sportif accompli, élève réfléchi quand il le voulait bien - et impertinent -, sans parler d’un savant mélange, issu du meilleur des gênes de ses parents auquel la puberté avait donné un petit coup de patte et de chance, qui faisait rougir certaines de ses camarades. Ainsi il s’était bâti une idée de lui-même confortée dans ses différentes réussites. Apportant une terrible confiance et détermination chez cette tête brune. Les lourdes portes de l’empathie se fermant derrière les statues érigées en l’honneur de son orgueil. C’est ça d’avoir été trop couvé, et protégé – apportant par ce biais sa formidable irresponsabilité qui pouvait le mener à une âme de guerrier s’il en ressentait la nécessité, ou tout simplement en présence de magie noire qu’il exécrait dorénavant suite à ses tortures en première année.

Pourtant se sachant tout de même incroyablement loyal envers ceux qui selon lui méritaient son attention. AMI protecteur en rime à son totem animalier, bien que n’en restant aucunement une bonne épaule sur laquelle pleurer – les délicatesses du réconfort n’étant pas dans ses cordes. Il ne fallait pas espérer de lui qu’il trouve les bons mots – et surement venait-il à vexer l’âme perdue de pleurs avant d’avoir pu apporter la plus maigre consolation. Non pas volontairement, juste il ne savait pas faire, et ne se remettrait pas en cause sur ce point-là.
Cependant il portait son honnêteté dans les rangs de ses affections autant que dans ses traits. Il ne savait par ailleurs pas véritablement mentir, ou tout du moins haïssait ce procédé dont il se défaisait le plus souvent. Assumer chacun de ses actes, fondamental principe issu de son éducation et de son passé ancré dans son cœur. Par ailleurs, il en avait développé l’exigence d’une réciprocité dans ses relations avec quiconque, notamment ses accointances. Surement depuis raison des échecs répétés avec la gente féminine. Bien trop chiante, incapable de dire vraiment qu’elles veulent, l’entendait-on encore pester à travers les couloirs. Mais dont il ne semblait finalement pas vraiment s’attrister, ce qui désignait qu’une seule chose : au fond, elles n’avaient pas eues d’importance. Et n’avaient pas compté.

Affirmation qu’on pouvait clamer haut et fort en le connaissant assez pour savoir que sa pire CRAINTE - ou faiblesse aux yeux d’autres - se constituait en la non réussite de quelque chose. Déboulant naturellement ainsi sur sa nature de très mauvais perdant qui jappait lors de ses défaites. Surement alimenté en parallèle par son esprit compétiteur, accepteur de tous défis, et formidable admirateur du sport magique le plus apprécié dans la communauté sorcière en Europe : le Quidditch. PASSION à laquelle il se vouait avec une modération difficile – et pas souvent tenue - depuis tout jeune. Se retrouvant dorénavant aussi à l’aise dans les airs que sur terre. Sentiment de liberté en filant dans les cieux, mistral se faisant allié à de sa rapidité seulement freinée, disait-il, par ses moyens financiers qui l’obligeaient encore à se contenter de balais aux performances loin du potentiel que d’autres modèles – bijoux d’artisanat magique – pouvaient pourvoir. Il était par ailleurs poursuiveur de l’équipe gryffonne depuis sa quatrième année – du fait de l’année post-conflits belliqueux qu’il avait passé à Ilvermorny -, et avait assez brillé par ses talents, ses lancers justes et sa férocité pour avoir été nommé en sixième année Capitaine. Rêvant même au plus profond de lui à devenir professionnel – au grand damne de ses parents qui l’espéraient plutôt dans une voie plus sage au Ministère. Les yeux brillants devant les matchs mais avec une nette préférence, en supporter affirmé, pour ceux des Crécerelles de Kenmare et de l’équipe nationale d’Irlande, toutes deux des institutions des différentes ligues de Quidditch représentant son pays. D’ailleurs le garçon avait un attachement patriotique qui se reflétait autant dans son nom que dans son idée politique sur les Anglais. Non raciste pour autant mais critique volontaire et pro-indépandiste de ses landes – querelles ayant touché les communautés moldues autant que sorcières. Il clamait même son ascendance, le torse bombé de fierté, et se faisait bon reflet de ses ancêtres par son caractère bon vivant. Paraissait-il même selon lui que ce que la bière, le beurre et le whiskey ne pouvaient soigner, était incurable.

Ainsi il se frayait de force un passage parmi les têtes des jeunes sorciers. Ressentant pourtant à travers cette foule l’ombre un peu moins accueillante des cours et d’une séparation nette dans le Château des groupes à l’image de ce qui guettait au-delà de ces murs. Pourtant, ce dernier point annonciateur de temps de sécession n’inquiétait guère le jeune homme. Non touché véritablement par ces confrontations politiques qui ne servaient à ses yeux qu’à lâcher des soupirs à son paternel et noircir les papiers des journaux. Il jugeait même d’un œil critique cette INSURRECTION s’élevant contre la chute des privilèges des Sangs Purs qui se faisaient les nobles de leur temps détrônés par la rébellion du peuple. Et se souciait peu de ces derniers quand il ne se moquait pas de leurs progénitures à travers les couloirs à coups de sorts et de farces. Sa façon en somme de narguer quotidiennement ces enfants de déchus dont les familles brandissaient en étendard de révolte la reconnaissance de droits tirés purement et simplement d’une consanguinité qu’ils arboraient comme une fierté – démonstration même à ses yeux qu’ils n’étaient tout bonnement pas finis. Qu’il aille au diable et pourrir sur leurs Terres de Feu de là où ils venaient, il s’en moquait bien. Des dents encore serrées à voir ces avortons venir pleurer, se cachant derrière des idéologies d’où avait naquis les précédentes guerres et toute la partisannerie d’un ancien Mage Noir. Comment de tels idiots pouvaient encore venir se pavaner avec leur sang bleu et leur santé mentale à moitié finie ? Dans son esprit tout cela paraissait impensable et d’un ridicule tel qu’il ne voulait les considérer en menace. Supportant de loin – mais sans vraiment de pencher sur le fond des discours - le père Potter de continuer à les emmerder, et apporter justice dans ce nouveau monde. Il avait bien trop été bercé par les temps noirs venir se soucier de conflits politiques absurdes.

C’est alors que se dessina au coin de son œil une petite silhouette trottinant dans son éternel enthousiasme en agitant les bras. Lui arrachant un glorieux sourire, alors qu’il couvrit son dos de la jeune FEMME qu’elle devenait d’un regard bienveillant. Attirance secrète qu’il comptait bien protéger, telle une partie personnelle qui rugissait pour sortir mais qu’il taisait avec grand mal. La seule et unique exception où il n’était quotidiennement pas totalement sincère mais qu’il ne désirait mettre à nue. Trop intime pour l’assumer pleinement plus jeune, de peur de voir cette part là déchiquetée par les jugements d’autrui. Trop honteux aussi de sa divergence avec les idées communes – lui qui n’en acceptait que peu chez les autres. Et voulant la préserver, elle aussi, d’une certaine manière. La seule à être différente. Son amie en plus. Cependant, revoyant progressivement cette préservation avec en considérant maintenant son départ dans un an, et la perte probable de vue qui trônait au-dessus de sa tête telle une épée de Damoclès prête à fendre son cœur lors de leurs adieux dans dix mois.  


histoire
Histoire Les journaux s’écoulaient sur la table de ce vieil appartement de Dublin. Loin du charmant cottage de Ballinascorney dans le ce comté de Dublin qui l’avait vu grandir jusqu’en cinquième année. Pincement au cœur à la remémoration de son déracinement, échappé dorénavant des bras réconfortants du théâtre de son enfance qu’il avait connu depuis les premiers bourgeons de fin Mars 1986. Pétales virevoltants au gré du temps capricieux de l’île en ce début de la saison amoureuse alors que le ciel se découvrait des nuages gris de l’hiver pour annoncer les beaux jours. Pourtant météo gardant sa virulence et impétuosité potentielles, changeante à la seconde à l’image du garçon à en devenir que le monde venait d’accueillir.
Il avait toujours été considéré comme le petit prince d’un couple n’ayant jamais développé l’envie d’un second rejeton. Surement assez épuisant et bien trop quémandeur d’attention dans ses premières années pour laisser germer dans l’esprit de ses géniteurs l’idée d’un plus petit homologue. Cet unique héritier d’une longue lignée d’Irlandais avait ainsi passé ses premières années caché du regard moldu parmi les denses sapinaies sessiflores aux sous-bois de houx environnant la modeste propriété des O’Nialláin.

A vrai dire, la petite tête brune ne sortait qu’à l’occasion de classes improvisées par les mères de familles sorcières avoisinantes pour sociabiliser leurs enfants sans avoir à les confier aux moldus. En effet, cela paraissait bien trop dangereux pour la plupart de leurs parents de mêler leurs enfants à la communauté non-magique et les confier à leurs institutions – que ce soit par risque de magie involontaire de la part des garnements ou tout simplement des histoires que leurs petites langues pourraient dévoiler, n’étant pas assez vieux pour comprendre la nécessité de rester dans l’ombre et conserver le secret magique. Ce fut donc une décision découlant naturellement dans son éducation pour ses géniteurs même si cela avait impliqué la démission de sa mère à son profit. A croire qu’élever un petit monstre n’était pas mince affaire pour ces bénis héritiers de l’Ordre d’Hermès. Mais qui s’avéra être un sacrifice bénéfique, comprirent le couple O’Nialláin devant leur boule d’énergie qui s’éveillait parmi les siens. L’entendant même discuter très tôt avec des yeux émerveillés de Poudlard, la hâte décrite dans ses naïfs iris clairs alors qu’il contait l’expérience à venir comme un voyage grandiose. Chose inhabituelle chez lui qui n’avait jamais n’avait jamais semblé éprouver la moindre envie de nouveaux horizons, tenu à la suffisance de ses landes verdoyantes qui tapissait encore son cœur en devenant homme.

Il s’avéra par ailleurs très rapidement que ces prédispositions concernant le petit Irlandais ne furent aucunement inutiles, ce dernier se dévoilant très tôt porteur de pouvoirs magiques à l’image de ses géniteurs – certitude affirmée dans un premier temps par sa faculté à tenir et faire répondre très jeune un balai à ses ordres, puis par une mauvaise chute d’un de ces dits engins dont il se sortit à l’aide de sa magie à l’âge de sept ans. Petit brun faisant parti de ces rares chanceux ayant pu très tôt apprendre à voler à l’aide d’un balai confectionné spécialement à sa taille par sa drôle de nourrice honoraire constituée de son vieux voisin, Pius Byrne. Un artisan plus exactement spécialisé dans la réparation de balais en temps normal – de collection ou non, mais qui lorsqu’il voyait un beau modèle en parlait à son jeune disciple. Homme en réalité sans femme ni enfant qui n’avait pu fournir sa passion qu’au garnement dont il se faisait garde lorsque la mère devait s’absenter – ou voulait juste souffler. Trainant le petit curieux à l’époque dans son atelier à ses côtés pour lui montrer toutes les ficelles de son métier que le rejeton sembla étudier avec précision, complètement subjugué par la finesse de cette maitrise.

On peut par ailleurs se douter que c’est au cours de ces visites dont il raffolait – s’adonnant même à divers caprices pour aller voir le vieux Pius certains jours de vacances, malgré la présence de sa mère ou des années qui avancèrent en grandissant - que le jeune Irlandais prit gout à l’art du vol. Portes ouvertes de cet univers entre lesquelles il ne tarda pas à s’engouffrer pour y embraser chaque facette. Du secret de la confection des balais, à l’appréciation des courses de vol et progressivement à son adoration profonde pour le Quidditch. Devenant ainsi très tôt – en association avec la fierté de ses racines - l’un des plus jeunes mais fervents supporters des équipes qui représentaient sa patrie : évidement en première l’équipe nationale d’Irlande lors des rencontres mondiales mais aussi des Crécerelles de Kenmare lors de matchs à l’échelle de l’Europe et du Royaume-Uni. Leur emblème d’ailleurs targué d’une jolie harpe qu’il retrouva en grandissant sur une boisson qu’il affectionna tout autant très rapidement.

En parallèle, venait aussi alimenter son ardent enthousiasme sportif les quelques matchs amateurs auxquels son père et lui s’adonnaient : le garçon se faisant poursuiveur honoraire – bizarrement - et son géniteur gardien. Quelques brides d’après-midi correspondant aux rares moments père-fils que l’homme pouvait lui offrir compte tenu de son emploi au ministère. Surement certains des souvenirs les plus heureux du garçon si l’on omettait bien entendu la coupe du monde de 1994 où Monsieur O’Nialláin fit l’immense surprise à son fils de l’y emmener. Portant son unique descendant sur ses épaules durant toute la rencontre où il lui donna la permission d’insulter sans retenu les bulgares. Spectacle qui amusa beaucoup de leurs voisins, à voir le petit brun déchainé, hurlant à pleins poumons alors qu’il était paré pour l’occasion d’une immense écharpe verte tandis que sa mère avait dessiné aux côtés de ses fossettes un petit trèfle pour la droite ainsi qu’un drapeau de l’Irlande pour la gauche.

Connor pouvait se souvenir encore de la joie connue lorsque la victoire fut annoncée. Les effluves de félicité qui les suivirent même jusqu’à leur retour à Ballinascorney par Portoloin où fut improvisée une petite fête avec les voisins sorciers.
Du moins, le temps de la nuit où l’alcool empêcha la troupe d’Irlandais de prendre en compte les affreuses nouvelles. Ces dernières ne dévalant leurs histoires bilieuses que le lendemain matin entre deux potions anti-gueule de bois pour dévisager ses géniteurs de ridules inquiètes. Il pouvait encore se remémorer la lourde ambiance qui s’installa ce jour-là, et à laquelle il se sentait si étranger. Trop jeune pour comprendre, trop protégé pour avoir la moindre idée des évènements ou même le dessein de leurs échos. Mais qui fut marqué par un petit détail qui allait le poursuivre quelques années plus tard : ce fut la première fois depuis des années que sa mère le convia, la voix brisée, pour l’enlacer aussitôt et le bercer d’une douce comptine. I See the Moon, The Moon Sees Me. Et ce malgré son âge un peu trop avancé pour la chose.

Il en ferma quelques peu les yeux, de retour au temps présent. Cette comptine, il la haïssait dorénavant. Bien trop associée par la suite à de tristes – et douloureux – souvenirs. Et se contenta de ramener son regard vers ses parents. Attablés eux-aussi face à lui. Silencieux. Pour seule perturbation dans ce matin de fin aout 2003 les simples bruits de couverts et ceux de la casserole dans laquelle venaient crépiter quelques tranches de bacon, vouées à jouer le rôle de leur petit-déjeuner.

Ce fut entre deux tasses de café, qu’Odran O’Nialláin replia finalement le journal du jour avec exaspération. Agacement déclaré en un soupir s’échappant de ses lèvres avant qu’il ne lâche sèchement les papiers à l’autre bout de la table, il empoigna ses couverts sous le regard intrigué de son fils unique. Ce dernier se douta aussitôt par avance de ce qui jouait avec les nerfs de son paternel, et garda une poignée de secondes l’œil attentif sur les traits de l’homme qui l’avait éduqué. Les mêmes marques de préoccupation qu’en 1994 justement – et qu’il connut souvent après - dont il se fit juge soudain et critique. Pour le jeune lion, les derniers conflits politiques dont était afflige le Royaume-Uni n’avait pas de vrai poids contrairement à ce qu’ils avaient déjà vécu. Et en comparaison, ils ne valaient pas la production du moindre sang d’encre. Se faisant sur l’instant jeune malin, drapé confortablement dans le rôle de spectateur dédaigneux face à la bêtise de ces consanguins fiers de dresser les vers d’une mauvaise poésie sur la pureté de leur sang – de plus tout à fait hypocrite compte tenu qu’aucun sorcier ne pouvait déclarer avec sérieux n’avoir aucun sang de moldu dans les veines. Surtout que leurs singeries menaient leurs familles à s’éteindre ou se régresser dans des cognitions diminuées. Sans parler des malformations ou leurs plus grandes tares : leurs enfants Cracmols qu’ils cachaient ou reniaient pour les plus chanceux.

Tout leur cinéma lui soulevait le cœur. Comme si cette caste n’avait pas été à l’origine déjà des horreurs qu’ils avaient rencontré, lui et ses parents, quelques années plus tôt. Le nom de famille de cette foutue Enchanteresse –enchanteriendutout d’ailleurs, ou tout du moins elle ne l’enchantait pas, lui - lui râpant encore plus les yeux qu’aux autres. A défaut de ne pas être finis, ils ne manquaient au moins pas de culot, ceux-là.

Car Connor, après tout, était l’un de ces enfants directement issus de cette génération apocalyptique qui avait grandie et connue bien trop tôt la terreur et la guerre à leur paroxysme. A l’orée même de la construction de l’homme où l’enfance venait embraser les premiers schémas de la maturité tel Ouranos caressait Gaïa dans l’horizon. Il se souvenait encore de ces histoires de « grands » comme les avaient appelées ses parents. Ces ballets de grands noms survenus dans divers murmures une fois qu’il était mis au lit – sans pouvoir pour autant fermer l’œil. Notamment à la fin de 1995 où furent répétés fréquemment celui d’Harry Potter – surement une des seules figures évoquées qu’il reconnut, lui petit sorcier ayant grandi avec le conte de l’Enfant qui avait survécu – et un certain Tu-sais-Qui qu’il savait le mage noir que justement Potter était censé avoir vaincu ; mais qui visiblement, était de retour.

A cette période, le vieux cottage de Ballinascorney, ayant accueilli tant de joie précédemment avait très vite fini par sombrer dans tant de peur. Des critiques aussi sur la société répétées en boucle. Il se souvint des visages marqués de ses parents, et d’I See The Moon, The Moon Sees Me chuchotée à son oreille en ces jours qui lui semblèrent plus sombres. Juste pour sa part tenu aux espoirs de réconfort de la part de cette famille alors que ses grands yeux d’enfant encore n’avaient pu soupçonner l’étendu de la gravité de la situation - même à la mort du fameux Albus Dumbledore, dont on le garda de tout détail, laissant sa nature candide d’enfant croire à l’extinction simple et banale d’un vieillard. Tout du moins jusqu’à ce que la question de son départ à Poudlard en 1997 soit mise sur le tapis.

Sa mère avait par ailleurs hurlé et pleuré, la lettre d’admission à l’école de sorcellerie dans les mains qu’elle froissait sous sa stupeur face à son mari désabusé et un capricieux fils rouge de colère. Non, il voulait y aller à Poudlard, elle ne lui enlèverait pas ! Et il s’étrangla en observant son père, bouche close face aux propos de sa femme. Le désespoir pour lui-aussi dans les yeux alors que son unique descendant fut enfin percuté par cette réalité dont on l’avait protégé. Devenu aussitôt silencieux spectateur alors que ses géniteurs évoquèrent l’idée de s’enfuir aux Etats-Unis. Il put ressentir pour la première fois le vrai poids de cette crainte amenée par la guerre, impressionné autant que terrifié. Le monde dehors n’était vraiment plus sûr maintenant. Impuissant encore de par ses onze années, et son cœur d’enfant brisé par ces conflits qui les guettaient tapis dans l’ombre.

Malheureusement, le départ en Amérique fut avorté. Le père annonçant quelques jours plus tard à son retour du travail l’infiltration de la partisannerie du mage noir dans les rangs du Ministère. Impliquant divers espionnages – et certainement menaces et Imperium, comprit Connor plus tard en grandissant – sur les différents employés. L’homme qui l’avait élevé devenant ainsi l’une de leurs victimes potentielles de premier rang, et étouffant sous cette vérité la petite famille dans un profond effroi dont le Royaume-Uni ne tarda pas à être touché dans son entièreté. Ainsi, ils restèrent à Ballinascorney, et Septembre sonnant, le fils fut obligé de faire ses malles pour se rendre pour la première fois dans un Poudlard inquiétant. Sueurs froides le long de sa colonne alors qu’il s’efforçait à faire bonne figure sur le quai face à la figure rouge vif du Poudlard Express.

Au bout de longues minutes, à l’appel du contrôleur, il s’était enfin écarté pour monter dans la machine de fer, se souvenant encore des ongles de sa mère déchirant son dos quand il avait entamé ses premiers pas. Il pouvait même encore décrire cette puissante inquiétude dans ses traits. I See The Moon, The Moon Sees Me en fond sonore.

L’année qui l’accueillit une fois en Ecosse ne fut pas des plus chaleureuses. Menée sous le couvert d’une foutue Chauve-Souris accompagnée de deux têtes d’autorités présentes : Alecto et Amycius Carrow. Toute la joyeuse bande lui invoquant encore que profond dégout. Surtout suite à ses fréquentes rencontres avec ces abrutis de Mangemorts lors des punitions dont il écopa dans sa rébellion comme beaucoup des siens. Cette dernière invoquée suite aux mauvais traitements dont ils furent affublés, traçant diverses marques et blessures pour sa part sur son corps et son âme à cette époque. Ses plaintes d’enfant trahissant certains soirs sa hargne et son désespoir contre l’injustice de ces procédés alors que ses ainés l’aidaient à panser ses plaies. Pourtant en bon Gryffondor, il n’avait jamais pleuré, développant juste une profonde haine contre toute forme de magie noire et de ceux qui s’y exerçaient. Frustré de ne pas être plus grand, pas plus fort pour se venger. Réduit à son impuissance amenée par son petit âge, alors qu’il nourrissait l’envie de se joindre à l’Armée de Dumbledore qui s’était faite premier front et teneur de tête à l’administration. Réconfort et sauveurs aussi – notamment après un épisode d’entrainement au Doloris pour les septièmes années sur leurs plus petits cadets dont il fit parti. Torturé en boucle pour finir dans l’incapacité à la fin de l’exercice à se relever, attisant ainsi le sadisme pur d’Amycius Carrow qui en dernière punition le marqua d’un vilain Diffindo dans le cou - menant encore à présent à une cicatrice horizontale à deux centimètres de sa nuque. Marque qu’il garderait probablement à jamais, dans un rappel constant de cette épreuve qui avait poussée l’enfant qu’il était à joindre ses forces aux résistants cachés la Salle sur Demande. Prenant le rôle de leur apporter, dans sa modeste contribution, quelques ravitaillements qu’il cachait sous sa cape.

Ce fut par ailleurs le soir du 2 Mai 1998 que le groupe réfractaire eut la splendide surprise d’accueillir Harry Potter – dont plus personne n’avait de nouvelles depuis des mois, où même certains le disaient mort. Figure éternelle d’espoirs dans leurs combats quotidiens qui avait enfin pénétrée dans le Château. Semant l’étonnement de tous dans la grande salle quand il se dégagea des rangs pour apostropher Rogue et dévoiler sa présence aux yeux de tous. Celui qui avait survécu venant cracher enfin à voix haute ce que tous pensaient profondément. McGonagall se faisant ensuite maitresse des lieux, en lionne protégeant ses petits et chassant le Mangemort et ses collègues du château, avant de donner l’ordre de la préparation pour la bataille qui ne tarderait pas à faire rage de par la présence du futur Ministre de la Magie à Poudlard.

Pourtant Connor n’en sut pas plus de la suite des évènements, se retrouvant sous l’ordre express de sa directrice de maison évacué ainsi que ses camarades des jeunes années. Trop inexpérimenté disait-on pour se battre, décision contre quoi il n’eut pas la possibilité de se défaire. Ses éclats de voix en protestations ignorées alors qu’il fut trainé par le passage allant de la Salle sur Demande à la Tête de Sanglier. Les poings serrés en voyant ceux qui les avaient toujours protégés durant l’année rester sur place, eux, sans que lui puisse offrir son aide en retour. Petit idiot courageux qu’on tira par le col pour le forcer à partir, recueilli aussitôt dans le bar miteux par des parents d’un camarade avant que ses propres géniteurs ne soient avertis et viennent le récupérer par la suite. Loin du Château, loin de la bataille, loin de cette finalité où ils n’apprirent que le lendemain – la peur au ventre durant toute l’attente – la finalité : le Mage Noir et Potter avaient disparu. Puis plus rien.

Les jours passèrent, et la vie finit par reprendre son court malgré le flou entourant la situation. A vrai dire, la communauté magique oscilla beaucoup parmi les conflits internes menant à la répression de chaque camp en continu. Une sorte de guerre civile, presque toute aussi dangereuse que le régime de servitude d’On-savait-qui.
Ainsi dans ce contexte, il fut décidé, avec la fermeture de Poudlard, que la famille parte s’exiler en Amérique le temps d’une année. Reprenant leur projet de départ pour se détacher de ce micmac belliqueux. Ce à quoi le garçon abdiqua. Encore secoué par l’expérience de sa première année dont il ne fit pas part à ses géniteurs – pourtant ils s’en doutaient, il le savait, surtout à la vue de sa nouvelle cicatrice. Maugréant au fond de sa pensée sur cette envie de revanche arrêtée par son jeune âge qui l’avait rendu et le rendait encore incapable. Il se promit, à l’image de ses aînés dont il prit exemple, d’engager le combat à l’avenir. D’être l’un de ces piliers sur lesquels il s’était posé, lui. Raison, en plus des sévices qu’on lui avait infligés – à lui et à ses camarades -, de sa profonde implication en cours de Défense Contre les Forces du Mal par la suite dans sa scolarité.

Une fois en Amérique, il fut inscrit pendant un an à Ilvermorny – institution qui accueillit par ailleurs d’autres étudiants de Poudlard. Eux-aussi enfants de cette guerre qui venaient chercher un lieu plus paisible en l’attente d’un cessez-le-feu dans leurs pays. Menant à une cérémonie de répartition très inhabituelle pour les locaux où les nouveaux arrivants européens dépassaient parfois de plusieurs têtes les petits premières années américains impressionnés. Ce fut ce jour-là d’ailleurs que ce petit chien fou se retrouva apparenté même au-delà de l’Atlantique, dans la maison d’un second grand félin suite au rugissement de la statue du Womatou quand il eut les pieds à peine posés sur le nœud gordien du hall. Mais incroyablement flatté par la symbolique de ce nouveau totem qui signifiait à la fois la puissance, l’agilité, l’âme guerrière et le corps du sorcier. En soit, un bon résumé de ce qu’il était à la base, ce vers quoi il souhaitait se tourner, mais aussi de comment cette dernière année l’avait modelé.
Et c’est avec beaucoup de recul que l’on pouvait affirmer maintenant que cet éloignement de ces fantômes et conflits lui fut totalement bénéfique autant physiquement que mentalement. Venant à regagner un peu d’espoir et d’innocence tout en découvrant un nouveau modèle bien plus sain de vie étudiante, bien que ses landes lui manquèrent – et qu’il regretta le manque de Quidditch dans sa nouvelle école. Les Américains étant plus friands du Quodpot auquel il trouva nettement moins de charme, dédaigneux face à cette adoration stupide.

Cependant, il n’en oublia aucunement son passé en Ecosse et Irlande, qu’il eut sur la fin de cette seconde année hâte d’une certaine façon de retrouver, guéri et quémandeur de son foyer originel. Il avait même gardé tout au long de l’année un signe d’appartenance à sa vraie maison de cœur - celle qui l’avait supporté à travers les épreuves. Par le biais notamment du port d’anciens accessoires de son uniforme Européen, comme sa cravate Rouge et Or nouée à son poignet ou encore sa grosse écharpe en hiver.

Ainsi, le retour en Irlande puis à Poudlard l’année suivante se firent sans la moindre encombre bien qu'ils s'installèrent petit appartement de Dublin – la propriété de Ballinascorney ayant été vendue à leur départ pour la traversée de l'Atlantique. Enfin, si l’on omettait l’étranglement que subit le garçon en apercevant une fois dans la grande salle le - pas si nouveau - Directeur de l’école. Froncement de sourcils, pincements des lèvres face à son audace de se tenir encore à cette place. Mais surtout promesse de lui rendre la vie bien difficile encrée au cœur aussitôt en le couvant d’un regard mauvais. Il haïssait cet homme. Et ce même si ce con avait été blanchi, et soi-disant se faisait dorénavant héros de guerre. Il estimait cela bien ironique d’ailleurs quand on savait qu’il avait permis l’abus de tortures à la magie noire sur ses élèves. Ce pour quoi il lui voulait, profondément.
Et ce aussi même après le retour d’Harry Potter. Sa frêle silhouette apparue au cours d’un repas entre les portes massives de la grande salle pour venir embrasser le sol, épuisé sous ses efforts. Silence régnant à l’apparition de ce fantôme du passé qui venait d’annoncer la chute du Lord, marquant aussitôt profondément la situation politique sous leurs regards éberlués. Un camp était enfin vainqueur.

Cette année-là fut aussi  celle de son entrée dans l’équipe de Quidditch en tant que Poursuiveur sous le numéro 6 qui l’égailla grandement. Rendant au lion, dans cette période de renouveau et d’espoirs, sa passion pour le Quidditch et le vol qu’il pouvait enfin assouvir. Bien déterminé à rendre fierté à ses couleurs qui devenait son unique souci.

Les années qui suivirent ne furent pas énormément mouvementées. La quatrième surtout marquée par les conflits extérieurs qui se reflétèrent même jusqu’à Poudlard – comme l’ouverture de nouveaux cours pour les Septièmes années, dont un sur les Arts Obscurs, initiative de Rogue que Connor prit comme une provocation intolérable et mauvais rappel des cours de l’Art de la Magie Noire menés par Carrow. Rage s’alimentant une nouvelle fois contre cette figure de bourreau qui lui serrait la mâchoire pendant que son cou le brûlait. Cet abruti n’aurait pas pu crever durant la Guerre, merde !

Puis vint la cinquième année – celle des BUSES – ayant surtout été notifiée par les querelles que l’Irlandais rencontra avec ses géniteurs quant à son avenir. Plus particulièrement sur ses projets professionnels. Dorénavant jeune homme aux doux songes ayant retrouvé assez de son innocence pour nourrir l’expectation d’une carrière professionnelle sportive. Mais dont la rationalité du couple O’Nialláin qui ne l’entendait pas ainsi, ces derniers espérant plutôt pour lui d’un post plus stable au ministère. Même au Département des Sports Magiques où le père connaissait quelques personnes, avait avancé ce dernier. Mais la guerre familiale se solda sur un compromis entre les deux partis : Connor suivrait au maximum les cours lui ouvrant le plus de portes possibles – bien qu’il fit un caprice en ratant volontairement son épreuve d’Histoire de la Magie, ne supportant pas la matière – mais continuerait en contrepartie sa participation dans l’équipe de Quidditch de sa maison à laquelle ses parents voulaient qu’il se retire au profit de ses études. Efforts sportifs par ailleurs qui finirent même par aboutir à sa nomination au titre de Capitaine de l’équipe de Quidditch pour sa sixième qu’il accepta sans se faire prier.
Pourtant, une chose était à ressortir de cette anecdote : la volonté de ses parents à voir leur enfant unique mener une carrière au ministère annonçait une stabilité politique pérenne et appréciable. Tendant même sur la paix tandis que la guerre civile chutait sous l’élection de Potter en tant que Ministre de la Magie. Ce dernier engageant une nouvelle ligne de conduite menant à de nombreuses réformes du monde magique tout en guidant les derniers Mangemorts à Azkaban – malgré des premières protestations, des Sang Purs en particulier détrônés progressivement. La situation commençait à s’éclaircir.

Sa sixième année quant à elle ne ressortit de sa banalité – entre mauvaises farces, retenues, entrainements de Quidditch et travail scolaire – que par le 24 Décembre où se tint un bal de Noël au Ministère. Le jeune homme qu’il était devenu, s’annonçant par avance « emmerdé par ces conneries », y échappa. Regardant au réveillon ses parents, enchevêtrés dans de beaux tissus, transplaner sur le lieu de fête. Mais n’apprit que plus tard dans la nuit, par un hibou de sa mère, l’attaque. Pris de stupeur en remarquant que l’information était complétée de l’annonce de leur présence à Sainte Mangouste où son père avait été interné suite à quatre sortilèges de Stupefixion simultanés. Haine à nouveau ressentie contre ces abrutis d’indépendantistes que sa génitrice avait déclaré coupables.  La nouvelle devenant commune le lendemain où les journaux s’alarmèrent sous son dédain de la disparition de propriétés de grandes familles des cartes. Ce à quoi, même, il se mit à rire - mauvais. Qu’on les laisse moisir entre eux et chez eux, ça ne pouvait qu’être une bonne chose !

Complètement agacé par cette insurrection envers laquelle il ne portait que mépris et dédain. Pour leur passif, les actions sur les membres de sa famille mais aussi pour leurs idées. Leurs complaintes n’ayant pour lui autant de valeur que de la bouse d’hippogriffe. Avaient-ils autant de pitié quand ils se faisaient encore partisans d’un des plus grands monstres de leur siècle ? Non, bien sûr que non.
Incapables même après coup d’assumer leurs actes en pleurant à l’Imperium ou la menace, empoisonnés en plus de leur cruauté par leur consanguinité qui les avait limité à tel point que l’euthanasie lui semblait être l’unique solution raisonnable – surtout après tout ce qu’ils avaient fait. Faisant parallèle entre eux et ses anciens bourreaux, comme contraignant tous les Sang Purs au rôle de Mangemort.

Selon lui, ces gens ne méritaient pas l’attention qu’on leur portait, ni qu’on pleure leur perte dans leur société. Ce n’était que des animaux privilégiés qui comprenaient enfin, orgueil retiré par leur noblesse illégitime mise à nue, qu’ils n’étaient rien si ce n’était diminués cognitivement parlant. Raison pour laquelle il ne ramena son attention qu’au bacon que lui offrit sa mère à cet instant à la tablée, car après tout : le porc d’où il provenait méritait bien plus de respect, lui.



FT. Charlie Matthews. ; Pseudonyme Nina, aussi connue sous le surnom de Rius à ses heures perdues (et j’en perds beaucoup en ce moment). ; Âge 21 printemps. ; Comment as-tu trouvé le forum ? Trop longue histoire, croyez-moi. ; Un petit mot à ajouter ? Faut le vouloir son 7ème année…  :nocookie:  ; Ta fréquence de connexion Quotidienne. Lancez des avis de recherches si je ne suis pas passée par-là.




RépartitionSous le Choixpeau
Chut… Ferme les yeux, jeune étudiant de Poudlard, et laisse-toi porter par l’instant. C’est le moment de répondre en toute franchise. Peut-être serez-vous exaucé par le choixpeau, peut-être pas. Qui sait ? (que tu crois)

Si vous étiez un animal Chien, protecteur de préférence. C’est un peu pataud, pas très subtil mais incroyablement loyal.
Si vous étiez une essence d’arbre De sa nature animale, le Cornouiller, aussi appelé Dogwood. De son caractère, l’essence d’un savant mélange entre le lierre et le cyprès ; vivace et noble dans ses intentions.
Si vous étiez un paysage Bord de falaise d’Irlande alors que le ciel présage un violent orage d'été. Cet instant même de rupture entre la douceur verdoyante de l’herbe grasse qui plie sous le vent et l’étendu aqueuse au loin qui s’assombrit dangereusement.
Si vous étiez une qualité Honnêteté. Envers lui-même et les autres.
Si vous étiez un défaut Imprudence. Il fonce tête baissée puis réfléchit après. Ca vaudra - peut être – de nouvelles chaussures à un de ses camarades.
Si vous étiez une saison Été. Saison de chaleur, de passion et de lumière.
Si vous étiez une pierre précieuse Grenat, grand protecteur minéral qui inspire fidélité, vérité et sentiment.
Si vous étiez un livre Le Quidditch A Travers les Âges, par Kennilworthy Whisp.
Si vous étiez une boisson Bière. Guinness de préférence ; populaire et fierté Irlandaise.
Si vous étiez une matière scolaire à Poudlard Vol de toute évidence.
Si vous étiez un sentiment Passion ; bonne comme mauvaise.
Si vous étiez un moment de la journée Fin d’après-midi, quand le soleil a déjà bien décliné dans le ciel.
Si vous étiez un élément naturel Le Feu pardi !
Si vous étiez un lieu Terrain de Quiddicth, tous autant qu’ils sont.
Si vous étiez une maison de Poudlard Gryffondor, ai-je vraiment besoin de le préciser ?


Curriculum VitaeVos cours
Année d'étude : 7ème année
distinctions éventuelles à poudlard : Capitaine et l'un des Poursuiveurs de l'équipe de Quidditch de Gryffondor.
Cours suivis : Métamorphose, Sortilèges, Défense Contre les Forces du Mal, Potions, Etude des Runes et des Oghams, et Botanique.
Résultats aux BUSE :
- Sortilèges –  O.
- Métamorphose – O.
- Potions – E.
- Botanique – E.
- Défense contre les Forces du Mal – O.
- Sciences Moldues – E.
- Histoire de la magie – P.
- Astronomie – A.
- Etude des Runes et des Oghams – E.

Cecil A. Selwyn

Cecil A. Selwyn
MONSIEUR LE DIRECTEUR
hiboux : 3012
pictures : Conchobhar : « lover of hounds. » UQKrvcx
TEATIME is always epic with englishmen | ALWAYS in love with his dear Lily | BOOKS lover | MAGISTER es potionis
Mar 4 Sep - 20:32
Monsieur Stevens... C'est une joie... indescriptible que de vous voir ici. *Severus soupire par avance*

Blague à part, et n'en déplaise à notre préféré directeur de Poudlard : Bienvenue sur le forum <3 Je suis ravie de vous revoir, toi, Connor, et ta plume par ici <3 Je passe sous peu lire la fiche de l'homm qui a les plus belles initiales du monde <3

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Invité
Mar 4 Sep - 20:40
Mais qui voilà :smi2:
Tu nous as fait languir, à vouloir boucler parchemins avant le débarquement Neutral
Un petit étudiant pour mener le directeur à la baguette et quelques professeurs au charivari, je sens que la promotion de cette année sera grandiloquente :smi29:
C'est un plaisir de te voir rejoindre la troupe :smi19:
Bienvenue dans la fosse aux serpents :moustache:

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Invité
Mar 4 Sep - 20:41
Bienvenue sur le forum à notre fou furieux préféré.
Sev en fait des cauchemars d'ailleurs...

Alors pareil, je lirai ta fiche demain parce que ce soir, je suis pas en condition (même si mes yeux se sont posés sur le début qui semble déjà bien prometteur).

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Invité
Mar 4 Sep - 21:01
Bon, je choppe l'expression d'Asao pendant quelques instants : "Connor ici, c'est Rock n' Roll !"

Je suis content de te voir dans le coin, bienvenue ! On va passer sous peu pour validation / demandes éventuelles, vu que tu as, semble-t-il, fini ta fiche ^^ Elle est impressionnante de précision, bravo pour toutes les recherches que tu as dû faire dessus ! Faut pas croire, c'est pas une sinécure de jouer les 7e années.

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Invité
Mer 5 Sep - 0:33
Maaaaaaaaaah vous me faites tellement plaisir tous là, Merci pour ces messages adorables. Vous êtes des anges :smi62:

Sevy > Severus sait bien mentir, mais qu'aurait-il fait sans son Connor attitré ? Rolling Eyes Trop d'ennui au final et pas assez de têtes à claques moi j'dis ~ (puis son portrait à besoin d'un petit obscuro...)
En tout cas, je suis très heureuse de me joindre à vous. Ma plume et Connor aussi par ailleurs. Depuis le temps que vous me narguiez :smi35: Mais c'est révolu... et maintenant : GIMME L'EVENT SPECIAL DEDI' A MOI :nocookie:

Drago > Tu sais que le pire, j'ai le souvenir de toi qui me disait "A plus sur The Enchanteress". Te voilà devenue oracle, c'est annoncé ~ :smi36:
Mais oui, tout comme toi tu as une magnifique plume à en faire crever d'envie le moindre opportun ayant envie de laisser trainer ses yeux par-là, ma marque de fabrique est, d'une de poster ma fiche d'un coup (héhéhé avant même les admins si c'est pas beau ça ~  :smi6: ), et de deux... d'embêter Sevy pour avoir poussé mon poussin à se faire Dolorisifier et en plus d'avoir un staff de Serpy ...! :smi15: Screugneugneu... La vengeance sera terrible :smi10:

RegReg > Ne t'en fais pas, prends ton temps. Comme je l'ai dit : la tendinite me guète... Puis on ne va quand même pas te mettre en retard sur ta propre fiche, si ?  :smi11:  (je peux narguer maintenant ~)

Amelia, aka Asao > Oui LE Connor est là ! Puis... Haaaaaaaan Asao  :smi63:  Il lui doit encore des shoes d'ailleurs au petit jaune ! (vois ça comme une insulte raciale ou non xDDD)
Je suis contente aussi de revenir parmi vous ! Ca va envoyer du lourd moi j'dis :smi28: Et surtout, encore merci pour la précédente expérience. Je sais que le RP qu'on avait fait à trois m'avait beaucoup amusé mais surtout pas mal décoincé vis à vis de ma vision de mon perso et tout simplement du jeu avec. Notamment sur la fierté et l'auto-dérision et je vous en suis très reconnaissante, à Sevy et toi.  :smi69:  
P.S. : J'ai hâte de te lire d'ailleurs, parait que tu joues très bien les nanas. ~

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Invité
Mer 5 Sep - 10:25
Officiellement, Bienvenue sur le forum ! Quelle ninja ! A peine arrivée, la fiche est déjà finie :smi30:

Hâte de croiser le fameux Gryffy en jeu :canardsev:

Invité

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Invité
Mer 5 Sep - 13:35
Yup !

Enfin lu le roman du Champion Irlandais ><
bien, encore une fois bienvenue parmi nous, où ta plume fera certainement merveille (suffit de lire la fiche pour s'en convaincre).

Personnellement, je n'ai pas grand chose à dire (sauf que c'était loooooong ! t'as du en chier !). Fiche pour ma part riche et complète, tant pour le caractère que pour l'histoire qui me semble bien s'intégrer tant à l'historique du canon Potterien qu'à l'intrigue du forum.
On sait par avance quel genre de difficultés Connor va semer sur sa route, lui qui ne voit que tout blanc ou tout noir. Je prédis quelques bonnes crises de nerf entre lui et les enseignants qu'il aimera le moins (ô Severus, rappelles-toi, le meurtre est interdit, et tu as une réputation de directeur d'école irréprochable à tenir).

Bref, ton personnage est plein de promesses, et te connaissant déjà pas mal, je ne doute pas un seul instant que tu vas foncer tête baissée dans les intrigues et events. Tu es une bonne recrue, c'est un plaisir de te compter parmi nous.
Peut être que les autres auront quelque chose à dire, mais selon moi, ta fiche est en excellente voie de validation (pour moi c'est donc OK)

Oh, une dernière chose : Bisous à toi aussi, en espérant (ou pas !!!) que tu ne vas pas claquer toute ta fortune en matériel et accessoires de Quidditch. Dès que Sev aura terminé avec la boutique, il y aura de quoi dépenser ♥️

Sorcellerie

Sorcellerie
GRAND MAÎTRE
hiboux : 914
Mer 5 Sep - 14:03
Bravo, ta fiche est validéechez les Corne de Licorne
Félicitations ! Ta fiche a satisfait le staff exigeant et pointilleux que nous sommes ! Tu es désormais ajouté à ton groupe et libre d'aller et venir sur tout le forum !

Alors, alors, alors ? As-tu hâte d'avoir un joli pseudo vert ? *Sev ricane* Blague à part, c'est avec grand plaisir que nous te validons (pour le plus grand malheur du corbac du monde magique). Superbe fiche, très bien documentée, très soignée, c'est parfait. Et puisque tu es élève, nous sommes très contents de t'offrir un lot de livres scolaires de septième année; ainsi qu'un sympathique souaffle dédicacé par Morane, la poursuiveuse irlandaise de la coupe du Monde de 1994 ~

A présent, tu peux régler encore quelques menus détails administratifs. Songe à bien remplir ton profil, c'est important ! N'hésite pas à jeter un oeil au Bottin des avatars pour vérifier que ta bouille est recensée, au Registre des métiers (si tu es dans la vie active) ou au Registre de Poudlard (si tu es étudiant) pour être certain que tes métiers, maisons de Poudlard, clubs et autres distinctions ont été bien enregistrées. Si ton personnage a une particularité, vérifie qu'elle a bien été enregistrée ici. Il manque une information quelque part ? Hurle-le nous ici !

Ensuite, tu pourras librement ouvrir ta fiche de liens pour que chacun puisse te demander un rp ou un lien, et bien entendu... jouer et t'amuser !

A très vite en RP

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