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Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas. | Themis Higgs
 :: Salon de Thé & Bar à chats :: SAISON 1 :: RP

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Mer 3 Juil - 12:12


Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas.

Themis/1214 mots


L'écho de ta sonnerie résonna dans ton esprit, te rappelant qu'à une heure certaine, quelqu'un attendait quelque chose de toi. Ouvrant peu à peu les paupières, tu dirigeas ton regard vers ton réveil de fortune et l'interrompis. Tu n'avais pas vraiment envie de te lever, puis tu te souvins que tu avais entraînement de Quidditch, ce que tu adorais, et qu'après tu avais rendez-vous avec ta jolie Themis. Un sourire ravi se dessinant sur tes traits, tu trouvas en ces points la motivation pour te dresser sur tes pieds. Tu pris tes affaires de toilettes et filas te doucher.

Tandis que l'eau ruisselait sur ta peau, tes pensées divaguèrent, comme quasiment à chaque fois que le prénom de ton amie d'enfance faisait écho dans ta tête. Tu te sentis assailli par diverses émotions dont tu n'avais aucunement le contrôle. Tes yeux se fermèrent, ton souffle se ralentit au fur et à mesure que tu tentais d'en reprendre la maîtrise. Tu rencontrais quelques soucis quant à la gestion de tes émotions, ce qui en dehors du fait que cela ne soit guère aisé d'être en accord avec toi même, était compliqué vis à vis de ta baguette, qui y était très sensible.

Entendant du bruit non loin de toi, tu percutas de ta léthargie soudaine. Craignant être en retard, tu te précipitas, finis ta douche et revêtis tes vêtements. Tu mis en un éclair tes habits de Quidditch et te peignas. En ayant terminé avec ton apparence, tu sortis rapidement du dortoir, saisissant ton magnifique Nimbus 2001 qui représentait bien qu'un simple moyen de locomotion à tes yeux. Cette fierté et euphorie grandissant en toi à chacun de tes pas, tu y étais habitué, pire, tu les cherchais. Le coeur battant, tu te dirigeas sur le terrain de Quidditch, et par miracle, rejoins les autres avant même d'être en retard. Tu les saluas, puis écoutas attentivement les remarques et instructions de la jolie Pelagia, votre capitaine et gardienne. Tu avais cet esprit critique, te permettant de te remettre en question, mais tu avais surtout en toi une fibre extatique, te poussant à profiter de l'instant quelles qu'en soient les conséquences. Tu étais là pour jouer, t'amuser et gagner, quoiqu'il advienne, cela serait ton leitmotiv.  

Le topo achevé, tu reçus la permission, ainsi que tes petits camarades, d'aller à vos postes respectifs. Si aujourd'hui vous travailliez la précision, tu avais besoin de perfectionner la coordination de tes mouvements et ton équilibre. La précision, tu l'avais, mais combien de fois avais-tu été percuté en te focalisant uniquement sur ce minuscule vif d'or ? Bien trop. Tu laissas les balles débuter l'entraînement et pris quelques instants. Après quelques exercices de mise en balais si l'on peut dire et d'échauffement, vous pouviez vous attaquer au plus important. Inutile de sauter sur ton but ultime, peut-être valait-il mieux pour toi de prendre le temps d'analyser le positionnement de chacun des joueurs, leur tactique, pour pouvoir te faufiler en plein match entre eux sans vous déstabiliser mutuellement. Tu te perchas au-dessus de l'équipe, préférant une vue aérienne supérieure afin d'observer tout cela. Ton regard balaya tes camarades, cherchant à anticiper leur déplacement. Au bout de quelques minutes, lorsque tu en décryptas les principales lignes de chacun, tu partis à la recherche de ton vif d'or, qui comme toujours, s'était caché. Tes yeux balayant le terrain au fur et à mesure que ton balai prenait de la vitesse, réchauffant ton coeur de sensations connues mais toujours aussi essentielles à tes yeux, tu finis par le repérer, là, à quelques mètres du sol. Tu plongeas en piqué et commenças sa poursuite.

Concentré sur la chasse que tu menais, tu commenças à oublier l'environnement qui t'entourait, ce qui était ton principal défaut. Ayant à coeur de parvenir à attraper ce vif d'or, tu finissais toujours, tôt ou tard, à oublier que d'autres balles circulaient. Ce fut une fois de plus un Cognard te surprenant qui te ramena à la réalité. Tu l'esquivas au dernier moment, par chance et réflexe à la fois. Tandis que tu cherchais ta balle du regard, ton adversaire ensorcelée revint et te déséquilibra. Étant loin d'avoir un équilibre parfait, tu te vis chavirer sur le côté gauche. Par réflexe, tes doigts se fléchirent et agrippèrent fermement ton balai, devant y supporter ton poids. Il y avait certains avantages à être grand, ici, ce n'était pas le cas. Par quelques déports de poids, oscillations, et un effort surhumain, tu parvins à te remettre en selle. Tu t'accordas quelques secondes pour respirer à nouveau, ayant eu très peur malgré toi. Ton coeur battant la chamade, tu soufflas à pleins poumons avant de te remettre en course. Les sens en alerte, tu te ressaisis, surtout lorsqu'au-devant d'un détour, tu aperçus ta belle Serpentard. Ne pouvant t'empêcher de vouloir faire le paon à ta manière, tu accéléras et repris ta vitesse de croisière en faisant attention cette fois à ceux t'entourant. Tu avais eu peur oui, mais qu'est-ce que tu aimais cela.

Tu fus sauvé d'un second Cognard par l'un des batteurs, que tu remercierais plus tard, et finis par te rapprocher de ton but. Il était hors de question qu'il ne t'échappe. Après une longue poursuite effrénée, tu parvins à l'attraper. Tu fus immédiatement soulagé, cependant, tu n'étais pas fier, car tu avais perdu beaucoup de temps avec cette histoire de déséquilibre, et ces précieuses minutes pourraient vous mener à la défaite en véritable match. Tu t'accordas une minute de répit, le temps de te tourner vers ta jolie Themis afin de la gratifier d'un sourire, et relâchas ton vif d'or dans le but de recommencer. Tu avais jusqu'à la fin de l'entraînement pour en attraper le plus possible. Tu voulais faire cela bien, et surtout, le plus rapidement possible. Aujourd'hui n'était pas le meilleur des jeux que tu eusses réalisé, mais cela était aléatoire le quidditch, cela était pour cela qu'il s'agissait d'un jeu si attrayant et frustrant à la fois. Tu parvins à en attraper plusieurs, mais pas aussi rapidement que l'entraînement précédent.

Lorsque Pelagia sonna la fin de la séance, tu mis pied à terre et remercias tes partenaires avant de te diriger vers Themis. Tu déposas ton balai et souris en la prenant dans tes bras. Étant quelque peu accro à elle, tu ne pus t'empêcher de déposer un ou deux baisers hasardeux discrètement dans son cou en guise de salutations. De loin il s'agissait d'un câlin amical voyons.

« Bonjour mademoiselle. Comment vas-tu ? » souris-tu innocemment.

Ayant conscience que tu ne devais pas être le plus attractif après deux heures de sport, tu ne serais pas contre une petite douche. Souriant, tu pris de ses nouvelles et plaisantas.

« Tu ne m'en veux pas si je te retrouve dans une dizaine de minutes, le temps que je me douche ? Je ne voudrais pas que tu dises que je sente mauvais et que je ne me fasse pas beau pour toi. »

Cela ne serait pas faux, étant transpirant, et tu savais qu'elle ne manquerait pas une occasion de t'embêter, tout comme toi, donc il le fallait mieux. Bien sûr, les dix minutes demandées étaient dans le cas où elle ne t'accompagnerait pas, pour le reste, c'était à elle d'en décider.


:copyright: Cherry. NLDD.

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Dim 21 Juil - 17:25

   
Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas
Samedi matin, l’aube pointe à l’horizon sans que tu puisses le voir dans ton dortoir puisque le lieu de repos de ta maison ne dispose pas de fenêtre comme ceux des autres maisons. Situé dans les cachots, sous le lac, les serpents sont éclairés grâce à la lumière verdâtres de l’eau du lac qui ne permet pas d’admirer le lever du soleil. Les yeux ouverts, tu fixes les baldaquins de ton lit, écoutant les bruits autour de toi, le silence paisible t’informe que tes camarades dorment encore profondément ce qui te permet d’avoir accès à la salle d’eau pour toi tout seule. T’extrayant du lit sans un bruit, tu te rends dans ce lieu commun à ton dortoir pour profiter d’un réveil brûlant et agréable avant d’enfiler une robe aux couleurs de ta maison, d’un beau vert émeraude que tu caches sous ta chaude cape d’hiver. Tu as rarement froid, tu t’es habitué aux températures écossaises mais tu tiens tout de même à ne pas attraper froid aussi tu prends tes précautions comme lorsque tu enfiles ton uniforme en semaine. Un uniforme rangé au placard pour le week-end, pas de cours et donc pas d’obligation de porter l’uniforme requis, tu n’hésites pas à user de cette liberté pour te faire plaisir et faire plaisir à Elian aussi car tu n’oublies pas ton rendez-vous avec lui. Un livre sous le bras, tu te glisses dans la salle commune sans tenir compte des crânes ou autres objets peu engageant présent dans les lieux, d’une certaine manière, cela fait parti du charme de la salle commune pour toi. Au début, cela peut paraître angoissant, cela avait été le cas pour toi d’autant plus que tes camarades doutés de ta loyauté envers le Seigneur des Ténèbres, à juste titre, te faisant vivre un enfer. Mais aujourd’hui, tu t’es habitué au lieu et tu aimes bien y travailler surtout quand elle était vide ainsi, le calme, la sérénité des lieux te permets de te consacrer à tes études et de te concentrer pour les sujets plus compliqués que tu dois abordé. Te plongeant dans un chapitre, tu empruntes une plume et un encrier qui traine pour compléter tes notes sur le parchemin te servant de marque page, l’alchimie est loin d’être une matière facile mais elle te passionne réellement et tu ne regrettes pas de l’avoir prise pour tes ASPIC.

Le bruit de réveil de tes camarades, te tire de ton livre et tu jettes un coup d’œil rapide à l’heure pour voir qu’il est temps pour toi de bouger. Remontant rapidement dans ton dortoir, tu déposes ton livre et file dans la grande salle pour t’attabler et remplir ton estomac des merveilleux plats préparés par les elfes de maison. Tu te retrouves bien vite entourés par un petit groupe de Serpentard discutant de tout et rien mais surtout des articles de la Gazette du Sorcier désosser aux multiples feuillets à vos côtés. Beurrant quelques toasts, tu agrémentes ton baluchon avec un peu de bacon et deux saucisses pour Elian, ton cher Dubois que tu aimes tant. Ton manège ne passe pas inaperçu, surtout quand tu attrapes le pichet de jus de citrouille pour en remplir une flasque et tu réponds par un sourire énigmatique à la question affirmative d’un de tes camarades sur ton rendez-vous. Tu en sentie la pointe de jalousie dans sa voix et cela t’amuse assez de voir qu’il a du mal à cacher ses sentiments ainsi surtout quand tu sais pertinemment qu’il n’a aucune chance face à ton lion. Te levant, tu veilles à ce que tout ta réalisation tienne le choc avant de quitter ta table non sans une légère caresse sur une nuque jalouse virant au rouge. Seul le cliquetis de ton bracelet trahis une intervention magique autre que celle d’une baguette alors que tu quittes le lieu chaud aux odeurs alléchantes pour affronter un froid piquant. Ton souffle se transforme en vapeur alors que tu avances vers le terrain de Quidditch où tu vois les robes écarlates voler, s’entrainer dans le ciel écossais. Doucement, tu te glisses sur un gradin proche du sol et pose ta réserve non loin de toi en t’assurant que la chaleur ne s’échappe pas du tissus grâce à un sortilège astucieusement placé. Tu observes l’entrainement des Gryffondor tentant d’appréhender leurs chances de victoire de la coupe comparé à l’équipe de ta maison sans que tu ne cherches à vouloir tout enregistrer ou tricher.

Lorsque les joueurs finissent par se poser, tu te lèves et te rapproche gardant tes distances avant de te blottir dans les bras de ton attrapeur préféré. Un sourire aux lèvres, tu glisses tes mains dans ses cheveux alors que tu reçois quelques baisers dans ton cou. « Bonjour Monsieur. Magnifiquement bien et vous ? » Tu l’observes et éclate d’un rire franc alors qu’il mentionne la douche qu’il doit prendre, l’idée de l’observer sous la douche est tentante, très tentante voire même en prendre une deuxième avec lui mais tu préfère une autre idée. Tu ne connais pas assez les autres joueurs de l’équipe de Gryffondor pour leur faire confiance et tu ne tiens pas spécialement à ce qu’une fille folle de rage te tombe dessus car tu lui aurais volé son petit ami. Glissant ta main doucement contre sa nuque, tu dépose un baiser sur sa joue avant de laisser ton souffle remonter vers son oreille. « Non, cela ne me dérange pas. Je te retrouve dans le cachot habituel avec ton petit-déjeuner dans dix minutes et pas une de plus… Si tu es en retard, je pourrais me prendre d’une envie de te punir pour m’avoir fait patienter alors que je déteste ça… » Sourire mutin aux lèvres, tu t’éloignes de ton amant pour te rendre dans le cachot vous servant de lieux de rencontres comme certaines classes libres. L’avantage de ce cachot est qu’il est proche des cuisines ce qui te permet de refaire ton stock pour un petit-déjeuner un peu plus copieux pour ton ami. Sans parler qu’il représente un lieu permettant d’exercer votre créativité pour la recherche de plaisir tout en disposant de table pour réellement étudier si le besoin s’en fait sentir.
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Lun 29 Juil - 23:50


Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas.

Themis / 1054 mots


Cette journée s'annonçait comme étant quelque peu mouvementée. Tu avais pas mal de choses à faire, à commencer par te lever pour aller à l'entraînement. Étant particulièrement en avance lorsque le son de ton réveil réussit à te faire sortir de ton sommeil, tu pris ton temps, laissant tes pensées divaguer. Percutant que l'heure avançait tandis que toi non, tu filas te doucher et revêtis ta tenue de Quidditch. Tu te pressas quelque peu avant de manquer d'être en retard pour l'entraînement. Par miracle, tu arrivas en même temps que les autres et pus prendre ton poste.

Écoutant passionnément les paroles de votre jolie capitaine, tu pris notes de ses objectifs et intentions. Vous aviez un match contre la maison de ton amie d'enfance prochainement, et tu ne voulais aucunement le perdre, comme tous les autres ceci étant. Te concentrant, tu pris part à l'échauffement avant de te retirer quelques secondes, cherchant à prendre un peu de recul quant à ta position dans le jeu. Tu ne devais pas gêner tes camarades et inversement, ce qui n'était pas toujours simple aux vues des croisements de balles. Tu avais tendance à te focaliser sur ton objectif, en oubliant les facteurs extérieurs, ce qui finissait toujours par te porter préjudice. Une fois ne fut pas coutume, tu réalisas la même erreur au bout de quelques minutes de poursuite du vif d'or et manquas de tomber. Si tu comptais toutes les fois où tu étais réellement tombé et celles où tu avais failli, cela ferait longtemps que tu aurais déclaré forfait ou aurais demandé à changer de poste. Toutefois, tu adorais l'adrénaline qui en découlait et ne vivais quasiment que pour cela. Lors d'un passage vers les tribunes, tu remarquas ta belle Themis dans les gradins, et ne pus t'empêcher de jouer avec le feu en essayant de l'impressionner, ego masculin oblige que voulez-vous. Ce fut ainsi que tu tentas de nouvelles choses, nouvelles méthodes de poursuite et j'en passe. Ce ne fut pas ton meilleur jeu, tu ne pus le nier, mais ce n'était pas le pire non plus. Toutefois, quand bien même tu eusses une grande passion pour le quidditch, tu fus heureux lorsque l'entraînement toucha à sa fin, signifiant que tu pourrais retrouver Themis.

Lorsque Pelagia mit fin à la séance, tu descendis de ton balai, saluas tes camarades, et ne perdis guère de temps avant de rejoindre ta belle Serpentard qui t'avait aimablement attendu. Prenant la jeune femme dans tes bras, tu ne pus te retenir de déposer discrètement quelques baisers dans son cou. Sa main glissant dans tes cheveux t'arracha quelques frémissements incontrôlés et une délicate envie de vous retrouver seuls s'empara de ton être. Tu pris de ses nouvelles et souris à sa réponse.

« De même je vous remercie. »

Ne pouvant être sérieux plus longtemps avec le vouvoiement, tu la taquinas en indiquant que tu ne voudrais pas qu'elle pense que tu ne te fasses beau pour elle. Il est vrai qu'après deux heures de sport, tu ne devais pas être au plus haut dans ton potentiel attractif, mais qu'importe en somme, Themis t'avait déjà vu dans tous tes états, alors cela n'était qu'un détail. Sa réponse te fit arquer un sourcil tandis que ton regard s'emplit de malice. Ton côté provocateur naturel revenant au galop, tu ne pus retenir une boutade.

« Quelle amie parfaite, j'en ai de la chance. Je te rejoins dans vingt minutes alors.»

Le terme "amie" était en lui même désuet depuis longtemps mais tu aimais la taquiner avec cela, car dans le fond cela était celui que vous empruntiez toujours, bien qu'il ne soit pas faux, il n'en fusse pas plus véritable. Tu avais parfaitement entendu qu'elle t'avait octroyé un délai de dix minutes, mais tu adorais ses petites menaces, surtout lorsque cela impliquait quelque chose de plus intime entre vous. Rien de tel qu'un bon lieu de rendez-vous pour cela, surtout les cachots, cela avait tendance à être très inspirant, pour travailler évidemment.

Tu lui lanças un petit clin d'oeil provocateur et pris ton balai avant de te diriger tranquillement vers la salle d'eau de ta maison. La fraîcheur que l'eau et le savon t'apportait te soulageait, tu te sentais toujours comme un nouvel homme lorsque tu sortais de la douche, alors qu'en soi, tu n'étais guère plus différent, seulement propre. Tes yeux se posèrent sur ton réveil, tu avais encore le temps, cela ne faisait que treize minutes que tu avais quitté ta jolie amante. Fier de toi, tu revêtis une chemise rouge aux couleurs de ta maison et un pantalon noir. Déboutonnant ton col et la première accroche, tu te coiffas et te fis tout beau rapidement. Ne désirant pas faire attendre ta belle plus longtemps, ou plutôt car tu ne pouvais patienter davantage, tu sortis et te dirigeas vers les cachots. Le coeur battant la chamade, tu arpentais le couloir du sous-sol et retrouvas ta belle Serpentard. Le regard vif et le sourire en coin, tu vins à sa rencontre, d'un air faussement désolé.

« Dix-huit minutes, mince, je crois que je suis un petit peu en retard. Sans rancune ? »

Un doux sourire affina tes traits, tu avais pour habitude de toujours la taquiner, mais elle te le rendait parfaitement bien, cela était ce qui vous rendait très complices également. Tu ouvris la porte principale et la tins à la jeune femme en inclinant la tête l'air de dire "Après vous madame" et la refermas derrière vous. Tu t'assis à côté d'elle, une fois installée, non sans laisser tes yeux épouser sa silhouette discrètement, et lui souris.

« Tu es sublime ma petite Themis, c'est une nouvelle robe ?»

Tu ne connaissais pas non plus toute sa garde robe, d'autant plus que tu eusses davantage l'habitude de lui retirer ses vêtements plutôt que de la regarder en mettre, tu le reconnaissais. Tu n'étais jamais avare de compliments avec elle, de toute façon tu en étais complètement accro et n'avais aucun contrôle de tes sentiments à son égard, ce qui ne te rendait pas toujours la tâche facile, mais excitante. Tu souris puis la regardas.

« Alors, qu’est-ce que tu nous as préparé de bon aujourd’hui ? »

C’est bien beau de la taquiner sans arrêt, mais tu avais faim et tu espérais qu’elle partageait la même sensation.


:copyright: Cherry. NLDD.

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Mer 14 Aoû - 22:53

   
Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas
Tu quittes le terrain en roulant des yeux face à la provocation d’Elian, tu le connais assez bien pour savoir qu’il adore te provoquer ainsi et surtout les punitions qui s’ensuivent. En te rendant aux cuisines, tu ignores juste si ton ami sera bien là dans le temps impartis ou s’il tentera Morgane en arrivant en retard juste pour te provoquer. Tu n’as pas encore décidé la punition que tu lui infligerais dans ce cas-là, tu te fis à ton instinct et ton imagination pour décider sur le moment de la manière de te venger la plus pertinente. Les elfes de maisons se sont montrés comme à leur habitude très serviables et t’ont donnée de quoi faire un bon petit-déjeuner pour deux voire trois personnes en se servant des restes de la grande salle. Tu n’avais pas craché dans le jus de citrouille bien au contraire puisque les muffins restaient frais du matin et les elfes s’étaient permis de refaire un peu d’œufs brouillés, de bacon et de saucisses pour ton lion. Dans le cachot, tu disposes le repas du mieux possible afin de rendre une ambiance semblable à celle de la grande salle même si le résultat est loin d’égaler le travail magnifique des êtres s’assurant de votre bien-être à l’école. Un regard sur ta montre t’informe que tu es dans les temps alors tu ressors des lieux pour attendre ton ami et pouvoir ainsi guetter sa réaction quand il rentrera dans les lieux. Devant la porte, tu jettes de coups d’œil régulier à ta montre pour chronométrer le temps de retard du lionceau impertinent faisant attendre le fier serpent, aucun doute que tu comptes sur une morsure douloureuse pour lui faire payer cet écart. Elian a déjà goûté à ton venin et tu commences à te demande s’il ne le craint plus autant qu’avant au vu du temps qui passe, à croire qu’il a développé une résistance à force d’être inoculé. A son arrivée, tu fronces les sourcils face à sa remarque comme tout signe d’agacement, te contentant d’un grognement comme toute réponse pendant que ton cerveau s’active pour trouver la punition face à ce retard.

Tu suis le mouvement et souris face à son compliment sans lui retourner la faveur alors qu’il est diablement sexy dans sa chemise rouge et son pantalon noir, tu as déjà envie de le déshabiller mais te concentre sur ton exaspération d’avoir dû attendre. Comme toute réponse, tu fais cliqueter ton bracelet à breloque réfléchissant à la punition que tu vas lui infliger écoutant à peine sa dernière question qui t’arrive aux oreilles avec un temps de retard. Un sourire en coin sur le visage, tu te retournes vers lui dissimulant tes mouvements de doigts derrière ton dos avant de lui caresser la joue pour augmenter son désir. Tu te rapproches doucement de lui, laissant vos corps de se frôler et vos lèvres s’effleurer avant de t’éloigner d’un coup pour te diriger vers la table où se trouve le petit-déjeuner. « Je n’ai rien préparé, j’ai été prendre quelques restes du petit-déjeuner auprès des elfes de maison. Cela devrait être encore assez chaud normalement pour que puisses en profiter comme dans la grande salle… Enfin, en plus intimiste bien sûr. » Tirant une chaise, tu invites Elian a s’asseoir pendant que tu t’installes en face pour grignoter un peu d’un toast en fixant le garçon dans les yeux. Tu as retiré ta cape pour n’être qu’en robe profitant de la maigre chaleur résidant dans le château pour ne pas prendre froid. « Tu es aussi très beau dans cet habit, Elian. Même si je trouve que le rouge ne te va pas vraiment au teint… Le point positif tout de même c’est que ta chemise suggère bien ce qu’elle cache à défaut de montrer la belle vue de ton torse… » Sourire enjôleur aux lèvres, tu ne rajoutes pas une dose d’enchantement sachant qu’il ne faut pas grand-chose à Elian pour être totalement accros à toi. Tu peux le manipuler aisément mais tu ne vas jamais trop loin pour la simple et bonne raison que tu le respecte et tiens beaucoup trop à lui pour le manipuler totalement. Tu es en confiance avec lui, tu peux être totalement toi-même aussi tu fais toujours attention à ne pas le pousser trop loin pour éviter de détruire ce qu’il y a entre vous.
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Dim 18 Aoû - 16:56


Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas.

Themis / 888 mots


L'élue de ton coeur au sein de ton étreinte, de légers baisers dérogèrent en direction de son cou, discrètement, bien entendu. Tu la regardas de ton air dépendant et la taquinas, comme tu aimais tant le faire. Les yeux perdus dans ses prunelles, tu souris lorsqu'elle t'autorisa à prendre une douche. Qu'est-ce qu'elle fusse aimable cette petite, tu en avais de la chance. L'esprit espiègle, tu ne pus t'empêcher d'hasarder une boutade et un petit air de défi dans les paroles sortant de ta bouche. Bien sûr que tu allais être en retard, tu aimais la provoquer.

Sur ce, tu tournas les talons et filas sous la douche. Tu y pris ton temps, bien que tu finisses par céder à la tentation de rejoindre ta chère Themis plus rapidement que tu ne l'eusses souhaité. Revêtant une chemise aux couleurs de ta maison et un pantalon noir afin de ne pas faire trop sapin de noël, tu te peignas et parfumas avant de prendre tranquillement le chemin des cachots. Tu avais toujours des pensées quelque peu osées en rejoignant la belle femme en ces lieux mais bon, tu savais que cela ne lui déplaisait guère. Arrivant vers elle, tu lui souris d'un air faussement désolé en t'excusant pour le "retard" et apprécias son petit air courroucé. Les sourcils froncés, elle était terriblement sexy, et tu aimais la chercher il fallait l'avouer.

Tu l'invitas à entrer, ne désirant pas spécialement rester dans le couloir, et lui tiras la chaise pour l'asseoir. Les yeux détaillant ses courbes que tu connaissais pourtant par coeur, tu ne pus retenir un compliment face à sa tenue. Un sourire en coin, ce fut ce qui se dessina sur ses traits pour toute réponse à ta gentillesse. Quelques instants plus tard, tu sentis sa main frôler ta joue, et ton désir grimper de manière incontrôlée. Sa peau frôlant la tienne, tu sentis un vague chaleur t'accueillir et tes pensées précédentes ne faisaient que ressurgir. Tu fixais ses lèvres, tandis que la petite maligne te frustra en s'éloignant de toi. Tu savais très bien ce qu'elle faisait, l'ayant pratiqué plusieurs fois, et cela te déplaisait. Tu n'aimais pas quand elle t'échappait ou encore lorsqu'elle faisait grimper en toi ce désir incontrôlable à coups de breloques. D'un air ronchon, tu te mis à râler.

« Tu sais que tu n'as pas besoin de faire cela avec moi Themis... »

En soi, tu te doutais qu'elle n'avait jamais besoin de le faire, juste qu'elle en avait envie, parce qu'elle aimait te faire perdre pied. Frustré et sous le charme, tu t'assis vers la chaise qu'elle te tendit, changeant de sujet pour essayer de calmer tes pulsions. Tu arquas silencieusement un sourcil lorsqu'elle dit que vous pourriez profiter de l'intimité de cette petite pièce. Peut-être que tu n'en avais pas envie toi. Non en réalité tu ne serais pas là sinon, tu as toujours été et es toujours complètement accro à elle, quand bien même elle puisse te frustrer par moment. Ton regard arpenta la table garnie de nourriture, te tentant énormément. Tu allais te servir pour penser à autre chose que les quelques idées que tu avais en tête pour ne pas finir cette histoire entre vous au milieu des plats, lorsque sa voix enjôleuse raisonna. Tes yeux cherchant les siens, un sourire innocent rompit l'homogénéité de tes traits faciaux en entendant ses dits.

« Merci. Je n'en doute pas, mais tu ne le verras pas aujourd'hui à moins de résoudre le problème de tes propres mains. »  Tu ne pouvais jamais résister ni à elle ni à son petit jeu, mais tu acceptais cette fatalité de toute évidence. « Peux-tu me passer un toast s'il te plaît ? » dis-tu d'un air se voulant détaché.

Elle n'était pas la seule à savoir et vouloir jouer la petite Themis, tu adorais également, même si au final, elle gagnait quasiment à chaque fois, à ton grand désarroi.


:copyright: Cherry. NLDD.

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Dim 25 Aoû - 21:23

   
Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas
Sourire en coin, énigmatique et insolent pour toute réponse à la plainte d’Elian. Tu sais que tu n’as pas besoin de ça pour allumer son désir mais tu ne peux pas t’en empêcher juste pour le taquiner et surtout te venger. Tu connais très bien la frustration que cela peut procurer de ne pas contrôler son désir et de voir quelqu’un le contrôler à sa place, l’augmenter sans pouvoir lutter contre ça malgré toute sa volonté. C’est une manière de déposséder quelqu’un de son propre corps sans toutefois pouvoir contrôler toutes ses actions comme l’imperium puisque ton ami est encore maitre de lui-même dans une certaine mesure. Tu ne peux pas le forcer à t’embrasser ou le manier comme une marionnette à l’instar de ce sortilège de magie noire, tes breloques sont plus insidieuses et manipulent de manière plus subtile selon toi. Tu obtiens ce que tu veux avec tes breloques pour le moment alors tu ne vois pas l’intérêt de verser dans l’apprentissage des impardonnable même si la magie noire te tente vraiment par pur intérêt théorique pour le moment. Ta frustration de ne pouvoir suivre le cours des arts obscurs en raison de ton désintérêt total pour l’étude des moldus est d’ailleurs toujours bien présente et t’agacer au plus haut point. Heureusement, Elian a eu la bonne idée de prendre ce cours et il n’hésite pas à le partager avec toi te permettant ainsi de pouvoir obtenir les informations dont tu as besoin à défaut de pouvoir participer à ce cours. Prenant un morceau de bacon, tu le grignotes innocemment sous le regard de ton lion en attendant le retour à te réplique, tu avais commencé le jeu et tu souhaites savoir s’il va rentrer dans la partie ou rester en dehors. Son sourire te réchauffe le cœur et fait aussi accélérer un peu ton palpitant alors que tes sourcils se froncent devant son impertinence même si tes yeux rieurs montrent que tu es loin d’être furieuse. Finissant ton bacon rapidement, tu attrapes l’assiette d’Elian avec un sourire en coin, un plan dans la tête pour te venger et continuer ton petit jeu avec lui.

Garnissant l’assiette non seulement de toast mais aussi de bacon, d’œuf et de saucisses pour Elian afin de lui fournir un bon petit-déjeuner. Ayant déjà pris le tiens, tu n’as pas vraiment faim et à part grignoter quelques petites choses, tu n’as pas vraiment envie de manger à nouveau tout ses délicieux mets. Passant derrière Elian, tu déposes l’assiette devant lui laissant doucement ton autre main passer dans ses cheveux sans faire usage de la magie cette fois. Un souffle près de son oreille, tu déposes un tendre baiser dans son cou avant de laisser ton souffle le taquiner par tes paroles et ton souffle sur sa peau. « Et voilà, le toast de monsieur est arrivé avec accompagnement. Tu as besoin de reprendre des forces pour ton entrainement et on ne sait jamais, je pourrais peut-être décider que tu as besoin d’une session supplémentaire pour l’endurance… » Entourant doucement la taille d’Elian avec tes bras, tu poses ta tête sur ton épaule sans agir tout de suite, attendant une poignée de minutes avant de doucement laisser tes mains défaire un à un les boutons de sa chemise. « J’espère que tu as pris tes cours sur les arts obscurs, j’ai bien envie d’étudier ça aujourd’hui… » Remarque lancée tranquillement alors que tes mains continuent d’agir doucement, faisant leur œuvre sans que le but soit de faire disparaître totalement cette chemise. Déjà parce que tu ne comptes pas réellement le déshabiller voulant juste jouer et ensuite tout simplement parce que tu aimes bien aussi le voir simplement sa chemise ouverte. C’est même une vision qui te plait beaucoup plus que lui torse nu, image plus intime selon toi ayant ta préférence puisque tu estimes que ce n’est surement pas celle que préfère les autres et qu’elle peut donc t’appartenir. Tu aimes d’ailleurs te retrouver aux creux de ses bras alors que sa chemise est ouverte pour travailler, après tout, chacune de vos rencontres n’est pas obligé de finir au septième ciel.
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Mar 27 Aoû - 11:51


Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas.

Themis / 779 mots


Tu étais toujours un peu mitigé lorsque tu passais des moments avec Themis, car ils étaient toujours riches en émotions, peut-être trop des fois à ton goût. Tu n'avais pas un bon contrôle de ces dernières en général, cela étant ton point faible depuis un bon bout de temps, et cela n'allait pas en s'arrangeant lorsque tu étais auprès de la belle Serpentard. Le moindre geste un peu osé te faisait tourner la tête et perdre pied, bien que tu adorasses cette sensation de manque de contrôle et de légèreté, il fut vrai que parfois cela te frustrasse. Lorsque la jeune femme ajouta à cela sa magie à breloques, tu ne pus résister et fus quelque peu contrarié. Ce n'était pas contre elle, de toute façon tu lui étais accro et dépendant, non, cela était davantage dirigé contre toi. Tu avais parfois l'impression d'être faible, avec elle cela ne te dérangeait pas, tu aimais ce que vous aviez, mais il fallait avouer que des fois cela te rendait perplexe.

Ne désirant cependant pas te laisser cueillir trop facilement, tu entras dans son jeu, frôlant l'impertinence certainement. Le regard brûlant, tes yeux se posèrent sur les moindres faits et gestes de la délicieuse Themis. Tu trouvais mignon la façon dont elle prenait soin de garnir ton assiette, et attendis patiemment. Malgré vos petites prises de becs de temps en temps, vous n'en restiez pas moins fusionnels et complices. La fusion se réalisant dorénavant dans tous les sens du terme, pour ce qui en était de la complicité, cela remontait à votre enfance. Tu ne manquas pas de souligner ses traits faussement courroucés tandis que ses yeux montraient le contraire. Tu aimais bien la chercher, tu avais l'impression que votre vie à deux ne faisait qu'être un jeu, et tu ne t'en lasserais jamais. Les yeux sur la silhouette de la jeune femme se déplaçant gracieusement jusqu'à toi pour t'apporter les mets, un sourire rompit tes traits. Tu sentis une main dans tes cheveux, puis le souffle de ta belle frôler ta peau avant d'en sentir les lèvres. Un doux frisson parcourut ton échine, tu étais de suite réceptif à ce genre de chose, et Themis n'était pas sans le savoir. Un sourire coquin souligna tes traits faciaux en entendant les mots qu'elle prononça avec choix dans ton oreille. Tu n'attendais que cela. Étant d'un naturel joueur, tournant la tête vers elle et plongeant tes yeux dans les siens, tu répondis ces quelques mots avec malice.

« Merci. Qui te dit que j'accepterais si tu le décidais ? »

Pour toute provocation tu pris ton toast gracieusement doré et le picoras. Elle n'était pas dupe, toi non plus, il t'était impossible de lui résister, d'autant plus que tu n'en avais pas même la volonté. Cela était le pire pour toi, tu la désirais et la voulais pour toi uniquement tout le temps. Tu tentas d'agir comme si tu n'étais pas perturbé par son contact, ce qui sembla l'apaiser. Ou pas d'ailleurs, cela était étrange, ta petite Themis n'était pas du genre à vouloir seulement un câlin. Sentant ses bras autour de toi et sa tête contre ton épaule, tu baissas ta garde, posant simplement l'une de tes mains sur les siennes, jointes au niveau de ton torse, et inclinas la tête contre le sienne en douceur. Alors que tu profitais de ce doux contact romantique, tu sentis petit à petit ta chemise se détendre, et baissas les yeux sur les petites mains de la Serpentard qui la déboutonnait dans le plus grand des calmes. Tu sentis une nouvelle vague de chaleur t'envahir, frémissant sous les doigts de ta belle. Ton palpitant accéléra ses tumultes et ton désir ne cessa de grimper. Tu fus une nouvelle fois désarçonné lorsqu'elle s'arrêta et changea de sujet. Sérieusement ? Tu n'avais pas vraiment la tête à étudier là mais puisque madame le désirait, tu allais devoir t'y plier, pour changer. Tu mordis ta lèvre inférieure et l'attrapas par les hanches avant de l'attirer sur tes genoux. Tu avais beau adorer la tension toujours présente entre vous, il t'était très difficile de ne pas y céder. La dévorant du regard, tu finis par reprendre une contenance et souris.

« Je m'en suis douté oui. »

Te penchant vers elle pour récupérer ton sac vers tes pieds, tu frôlas sa peau du cou du bout des lèvres avant d'y déposer quelques baisers puis te redressas dans le but d'y sortir tes cours. Les lui remettant avec un air coquin dans le regard, tu ne pus t'empêcher d'ajouter cette phrase.

« Tu me devras quelque chose en échange. »

Autant tirer profit de cet avantage, après tout, n'était-ce pas ce qu'elle faisait avec toi ?



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Mar 10 Sep - 15:43

   
Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas
Tu laisses un rire sortir de ta gorge alors qu’Elian te réponds avec effronterie avec une question à laquelle tu ne daignes même pas répondre. Tu ais très bien qu’à la minute même où tu déciderais de tester son endurance, il se laisserait faire, entrerait dans la danse sans même s’y opposer tout simplement parce qu’il ne le voulait pas. Bien sûr, s’il venait à dire non, un simple non et tenter de te repousser, tu n’insisterais pas, tu tenais beaucoup trop à lui pour le perdre, il était le premier garçon, non plutôt le premier enfant de ton âge qui avait réussit à devenir ton ami. Enfant, tu avais tendance à agacer les jeunes gens de ton âge, tes questions, tes activités n’étaient pas les leurs et puis tu les trouvais franchement idiots aussi sans parler du fait que tu avais du mal à suivre leurs mouvements. Ton cerveau allait vite, tes gestes beaucoup moins et les autres enfants te trouvaient nuls, tous sauf Elian, il s’était accroché et il avait fini par réussir à atteindre ton cœur, à devenir un ami, ton meilleur ami puis un amant remarquable. Tu fermes les yeux un instant face au mouvement d’Elian en réaction à ton câlin, tu aimes bien être contre lui, tu as l’impression d’être normal, comme les autres filles de ton âge ou du moins d’être acceptée pour ce que tu es. Pas seulement pour une partie de ce que tu es, celle que tu montres aux autres pour éviter de nuire à tes ambitions mais être entière, tu sais que tu n’as pas besoin de mentir ou te cacher avec Elian et cela te fait un bien fou. Tu n’aimes guère les mensonges, l’injustice aussi, ce n’est pas dans ta nature, tu préfères la franchise et le sarcasme même si tu te fais souvent violence pour ne pas nuire à tes projets. D’une certaine manière, Elian est déjà un membre de ta famille, quelqu’un qui t’accepte sans conditions, t’aimes avec tes défauts et qualités et cela te plait énormément au point que tu sais déjà que le jours où il te fera une demande sérieusement pour t’épouser, tu diras oui. Pour le moment, il se contente du constat, de t’affirmer que vous finiriez marier et tu ne niais jamais sachant pertinemment que tu ne serais jamais aussi bien avec un autre homme que lui.

Poussant un cri de surprise, tu le laisses te guider jusqu’à ses genoux où tu t’installes tranquillement comme s’il était une simple chaise même si tu adores cette proximité. Le fixant du regard, tu attends sa réponse laissant une de tes mains profiter du torse en partie découvert d’Elian. Tu aimes sentir le contact de sa peau sous ta paume et tu te retires immédiatement pour le laisser un peu plus libre de ses mouvements quand il te répond. L’idée de ne pas avoir pu prendre ce cours à cause de l’études des moldus t’es difficilement acceptable, tu ne comprends pas en quoi il est nécessaire de connaître parfaitement le monde moldu pour pouvoir accéder à l’étude des arts obscurs. Franchement, tu te fiches royalement de la manière dont vivent les moldus et tu ne comptes pas utiliser de la magie noire contre eux bien au contraire tu viserais plutôt des sorciers. Cette nouvelle directive du ministère te semble idiote et totalement infondée, connaître le monde moldu ne rendra pas plus tolérant les crétins racistes, pire cela leur donne une bonne occasion de mieux se fondre dans le décor et de pouvoir agir encore mieux. Faut vraiment être un idiot pour faire une corrélation là-dessus mais tu as eu beau le souligner, tu n’as pas obtenu gain de cause alors tu tentes d’apprendre comme tu peux le maximum de choses en contournant cette directive qui t’as pénalisée injustement.

Un soupir franchit tes lèvres alors que tu sens celles d’Elian sur ton cou, tu fermes les yeux aux contacts profitant de l’instant présent comme les extatiques savent si bien le faire. Peut-être que vos deux traditions communes ont aussi permis votre rapprochement étant enfant, cette pensée soudaine te vient alors que tu observes le bracelet d’Elian à son poignet. Doucement, tu caresses celui-ci avant de t’emparer de ses cours pour les poser non loin de l’assiette de ton ami pour pouvoir travailler pendant qu’il déguste son petit-déjeuner. « Je te donnerais ce que tu veux contre ses cours, mon magnifique lion… Une heure de plaisir, une breloque pour ton bracelet ou tout autre chose qui te plaira. Tu n’as pas besoin de négocier, tu le sais bien ! » Un sourire en coin, tu viens lui voler un baiser avant de te plonger dans ses notes, blottis contre son torse, les sourcils froncés et concentrée sur ta lecture. Tu sembles oublié presque la présence de ton ami même si cela est faux, sa présence t’apporte toujours un calme certain et éloigne tes angoisses ce qui te permet de mieux te concentrer sur tes études. En réalité, si tu le pouvais, tu passerais ta vie à étudier sur lui, que se soit assise aux creux de ses bras, allongés contre lui ou la tête sur son torse. Tu ne sais pas si c’est de l’amour, tu t’en fiches royalement pour dire vrai, tu sais juste que tu es bien avec lui, que tu le seras surement toujours et que tu ne comptes pas le perdre au profit d’une autre.
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Dim 22 Sep - 11:58


Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas.

Themis / 515 mots


Ayant attiré la belle jeune femme extatique sur tes genoux, tu plantas son regard sur elle tandis que son parfum t'envoûtait. Ton coeur battant la chamade à cause de votre contact charnel, tu laissas tes lèvres glisser le long de son cou. Tu avais besoin de ce contact avec elle, bien qu'il ne te rendisse jamais indifférent, tu ne pouvais t'en passer. Themis était ta drogue, la petite femme qui te rendait folle en un seul sourire, et qui savait faire frémir ton corps en le déshabillant visuellement seulement. Tu avais beau avoir eu de nombreuses conquêtes, tu n'avais jamais ressenti cela avec une autre. Peut-être était-ce dû à son pouvoir de breloques, ou non, tu n'en savais rien, et cela t'était égal à vrai dire, tu ne cherchais pas à comprendre, seulement à l'avoir pour toi.

Ce fut la raison pour laquelle tu lui tendis tes cours, marchandant quelque peu avec elle. Sa réponse t'arracha un sourire, ses idées étaient tentantes, surtout la première, étant à jamais ta préférée. Néanmoins, tu ne voulais pas lui rendre la chose aussi aisée. Attrapant soigneusement ses cheveux pour les nouer dans tes mains et contempler ses doux traits avant de les déposer sur le côté droit de son épaule, tu lui souris amoureusement.

« J'aime toutes les idées, mais j'en ai une autre en tête. »

Tu n'en dis pas plus, désirant la taquiner plus tard. Tes yeux la regardèrent se pencher sur tes cours, elle était si belle ta Themis, si concentrée et vulnérable d'apparence. En la connaissant, tu savais que cela fusse loin d'être le cas, qu'en réalité cela fusse plus ton cas que le sien au final. Tu la laissas tranquille, sachant ce que l'étude des arts obscurs représentait pour elle. Tu mangeas tranquillement ce que la jeune femme t'avait préparé, en prenant soin de ne pas salir sa robe avec tes miettes. Ton regard se portait sur elle tandis que tu dégustais ton repas, te remémorant chaque parcelle de peau qui était cachée par ses vêtements. Tu avais très envie d'elle, d'autant plus que sa présence sur tes genoux n'arrangeait en rien ce sentiment, mais tu savais que madame aimait avoir le contrôle, et en dépendre t'excitait d'autant plus. Tu tentas de rester sage pendant de longues minutes, te contentant de l'observer étudier.

Une fois ton casse-croûte achevé, tu vins déposer de chastes baisers sur son épaule, et remontas doucement jusqu'à son oreille que tu mordillas. Tes bras l'enlacèrent avec tendresse et désir de possession, tandis que ta bouche restait au niveau de ses oreilles où tu pus lui murmurer ta requête.

« Épouse moi Themis. »

D'un doux sourire tu la mordillas à nouveau avant de déposer un baiser sur sa tempe, calmement. Ce n'était pas la première fois que tu lui demandais cela ainsi. Tu étais complètement accro à elle, et cela ne te dérangeait pas pour ainsi dire, mais tu voulais qu'elle finisse tienne, quand bien même elle ne refusait jamais, elle n'acceptait pas non plus. Cela était un jeu entre vous, mais tes intentions étaient fondées, et un jour tu ferais d'elle ta femme, quoiqu'il t'en coûte.


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Sam 5 Oct - 18:03

   
Le véritable amour unit, mais n’emprisonne pas
Tu te concentres sur les cours de ton ami pendant qu’il profite de son repas, lisant ses notes et te mordillant la lèvre de temps en temps en songeant aux recherches supplémentaires sur certains points qu’il te faudra faire. La magie noire t’a toujours attiré, non pas que tu souhaites l’utiliser mais elle te fascine et tu regrettes qu’une nouvelle et stupide loi soit passée t’ayant empêché de suivre ce cours si intéressant. A tes yeux, l’argument est irrecevable mais l’expliquer aux adultes obtus, marqué par la guerre et inutile, tu en as bien conscience. Tu ne comptes pas étudier les arts obscurs pour torturer des moldus, tu te fiche complètement de leur existence pour la simple et bonne raison que tu préfère de loin rester dans le monde sorcier. D’ailleurs, tu restes persuadé que le futur mage noir fera en sorte d’obtenir la note maximale en études des moldus pour ensuite prendre cette matière des arts obscurs et s’en servir non seulement contre les moldus mais les idiots qui ont mis en place cette mesure. Si ton plan était de dominé le monde, c’est le choix que tu aurais fait sans aucun doute, apprendre un maximum sur les gens que tu voulais dominer voire tuer pour ensuite utiliser ses connaissances contre eux. Sans parler que cela donnait un accès direct à l’étude d’art occultes et donc une manière de pouvoir obtenir plus de puissance afin de réussir à mettre son plan à exécution. Parier sur le fait que l futur mage noir refuse d’étudier les moldus et obtienne de mauvaises notes ou que l’études des moldus finisse par lui ouvrir l’esprit est un très mauvais calcul pour toi. Sans oublier que rien n’interdit à un futur né-moldus de justement devenir le futur mage noir et ainsi obtenir un accès encore plus facilité à l’études des arts obscurs. Tu ne ressasses pas ses pensées durant la lecture du cours de ton ami mais tu ne peux pas t’empêcher de penser, assez souvent, que les têtes au Ministère ont beau changer, basculer d’un camp à un autre, ils restent toujours aussi stupides. A croire que rentrer au Ministère ou en politique rends idiots les gens ou que se soit la seule voie pour les imbéciles qui ne peuvent exceller dans aucun autre domaine.

Plongé dans les notes, tu en viens à oublier totalement le monde autour de toi pendant un moment jusqu’à sentir Elian venir gentiment te déranger. Déposant les notes sur la table, tu le laisses faire pendant que tes sourcils ne se froncent plus et qu’un sourire né sur tes lèvres au fil des baisers du garçon. Doucement, tu sens ton rythme cardiaque s’emballer avant qu’un rire ne naisse au fond de ta gorge face à la question affirmative de ton ami. Te retournant sur lui, tu viens l’embrasser en passant ta main dans ses cheveux pour ensuite t’en servir pour qu’il penche la tête en arrière. Délaissant ses lèvres, tu glisses doucement vers son cou pour déposer des baisers avant de revenir vers ses lèvres que tu ne captures pas à nouveau. Tu prends ton temps dans ton parcours voulant l’agacer en ne lui fournissant aucune autre réponse que ses baisers, tu ne compte de toutes façons pas lui répondre réellement, tu ne l’as jamais fait et tu ne comptes pas le faire maintenant. Il sait, il te l’a déjà dit et tu es persuadé qu’il le pense réellement, que vous finirez par vous marier mais tu ne veux pas lui promettre, tu refuses de lui donner ton accord tant qu’il ne te fera pas une demande sérieuse. Pourtant, tu comptes bien lui fournir une réponse aujourd’hui, d’habitude tu éludes, l’embrasser, laisse tes mains et tes lèvres errer sur son corps jusqu’à ce qu’il oublie son propre nom mais pas aujourd’hui, pas tout de suite. Relâchant ses cheveux, tu laisses tes mains glisser sur son torse pour s’immobiliser sur sa ceinture, tu souhaites son accord pour continuer, tu ne pousseras pas le vice plus loin s’il refuse et tes yeux plongés dans les siens, tu lui offres pour la première fois, un semblant de réponse. « Tu appelles ça une demande en mariage ? Tu tiens vraiment à ce que je sois enchaînée à toi ainsi, par un échange de bons procédés et non que je sois libre de t’épouser ou non ? » Ton regard plongé dans le sien, tu attends ses réponses, celle silencieuse de tes mains sur ta ceinture et celle audible, prononcé à voix haute. Tu ne réponds pas à sa demande mais t’interroge ouvertement même si tu sais que tu es déjà enchainée par tes sentiments, que ton cœur lui appartient pleinement. Bien sûr, en pratique, c’est toi qui adores l’enchainer pour le rendre fou, entendre ses gémissements, ses supplications sous tes douces tortures, voir ses yeux embués de désir et sentir son corps réagir grâce à tes actes. Tu aimes prendre le contrôle sur lui ainsi même s’il a toujours le contrôle, que tu attends son consentement pour aller plus loin, que tu t’arrêtes quand il l’exige, un contrôle factice mais un contrôle que tu peux exercer tout de même.
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