| Dim 16 Déc - 13:22 | Orion G. Fleury CRIN DE SOMBRAL Nom Fleury, comme la célèbre librairie Fleury and Botts dans laquelle son père travaille. Sa mère est une magizoologiste d'origine étrangère qui ne souhaitait pas spécialement transmettre son nom ; Prénoms Orion, le chasseur, un choix de son père qui aime l'astronomie. Gabriel, le messager, choix maternel. Et on s'étonne qu'il ait la bougeotte ; Âge 26 ans, il a connu la guerre et vu partir son meilleur ami lors du tournoi des trois sorciers ; Date de naissance 16 novembre 1977 ; Lieu de naissance Londres, Sainte Mangouste n'est pas loin de la librairie ; Signe astrologique Scorpion, l'ironie avec son prénom vous a-t-elle échappé ? Il n'accorde pas beaucoup de crédit aux mythes d'autodestruction de ce signe ; Nationalité Britannique, origines grecques par sa mère ; Statut Civil Célibataire mais amoureux transi ; Préférences sexuelles Hétérosexuel, plusieurs relations longues qui ont mystérieusement échouéStatut du sang Mêlé, les Fleury n'ont jamais cherché à le préserver et sa mère vient d'une famille plus ou moins pure, dans une île reculée de Grèce Tradition Ordre d'Hermès, pratique des runes ; Baguette baguette de cèdre, le bois des sorciers loyaux, droits, perspicaces. Le coeur est un crin de licorne. ; Patronus L'hermine, refusant tous les compromis pour poursuivre son idéal de pureté ; Dons répondre ici ; Pouvoirs répondre ici ; Particularités répondre ici. Activité Professionnelle, études, métier, autre Ancien Poufsouffle qui a longtemps hésité entre travailler dans la librairie familiale ou partir soigner des bestioles magiques comme sa mère. Il est devenu briseur de sorts pour Gringotts CARACTÈRE & ANECDOTESFidèle Il ne donne pas son affection à moitié et ne reprend pas sa loyauté. Dévoué à ses amis, il se met en quatre pour les aider. Il paraît que c'est un bon compagnon, mais quel dommage qu'il n'ait pas réglé certaines choses ... ; Passionné Certains diront qu'il est buté. Il a en effet du mal à se résigner à abandonner une tâche en cours ou un sujet qu'il affectionne ; Changeant Il commence à se connaître suffisamment pour savoir qu'il ne pourra rien faire contre ses périodes basses et ses périodes hautes. Selon un complexe mélange de fatigue et états d'âmes, il peut devenir taciturne et renfermé sur lui-même. Le reste du temps, il est solaire et de bonne compagnie. Poufsouffle a été un vrai refuge où il se sentait naturel ; TolérantCapable d'empathie, il croit fermement en la phrase selon laquelle chacun mène un combat intérieur, et n'a pas envie d'en rajouter aux autres. On fait souvent de lui une épaule sur laquelle épancher ses malheurs, il se montre de bon conseil et s'abstient de juger, donnant son affection sans faire des mystères ; Indocile Ses parents le trouvaient remuant et son père ne comprenait pas qu'il ne puisse pas rester sagement dans la librairie familiale. Ses professeurs l'ont trouvé bavard pour certains, plein de vie pour les autres. On le considère indocile à Gringotts. Sa loyauté n'est pas remise en question, mais qu'il ait un mi-temps pour avoir le temps de lire et faire ses recherches a surpris tout le monde. Orion poursuit une quête absolue de liberté. Il s'engage volontiers en amitié, en amour, mais ne se laissera pas dicter sa conduite ; Romantique Dans les deux sens du mot. Ivre de voyages et de paysages somptueux, de livres d'aventures, de musique faisant la part belle aux cuivres. Mais aussi transi d'amour, attentionné et amoureux. Dommage qu'il dirige si mal cette affection ; Complexé Orion a vécu dans l'ombre de Cedric Diggory jusqu'au décès de celui-ci. Ce n'est qu'après, la fin de l'adolescence aidant, qu'iil s'est mis à avoir un certain succès auprès de la gent féminine .. et à passer pour un bellâtre. Il ne se hissait dans les bons élèves de sa promotion que grâce à son travail acharné et il est persuadé qu'un jour, le masque tombera et il sera rejeté ; Trait de caractère Ici vous pouvez mettre quelques mots à propos de ce trait de caractère ; ETC. CURRICULUM VITAEI'm leaving you 'cause I don't love you HISTOIRE - Spoiler:
« Ce n’est pas juste. » Pas juste, pas normal, sont devenues les nouvelles expressions préférées d’Orion. Les Fleury savent que comme tous les parents, leur vision de l’éducation est très personnelle et se construit en réaction au contexte. Il leur semble risible d’élever leurs enfants dans du coton et de les endormir de pieux mensonges. Ils parlent de capitalisme, d’exploitation des travailleurs, de xénophobie entre les peuples, d’exclusions fondées sur des concepts abstraits pour les enfants. On le fait grandir plus vite que prévu. Il s’empare régulièrement du journal laissé sur la table, et le repose quelques minutes plus tard, nauséeux. Comment concilier cette violence qui se passe partout en ce moment, alors qu’on l’aime autant dans leur appartement au-dessus de la librairie ? Ces dilemmes commencent à le maintenir éveillé et fractionner son temps de sommeil. C’est un enfant grognon, parfois irritable, dont on sait qu’il a bon fond. Quelques potions parviennent à l’apaiser et le faire dormir d’un sommeil profond qui le rend aussi vulnérable que tous les enfants de son âge. Le matin, il se rue dans les bibliothèques privées de son père et parcourt des doigts le rayon philosophie. Il a glané que ce sont dans ces ouvrages que se résolvent les grands dilemmes. Lire ces auteurs se révèle extrêmement ardu. Il a l’impression d’avoir du porridge dans la cervelle. Il n’est pas bête. Il réclame de quoi écrire et prendre des notes, et ses parents s’y prêtent bien volontiers. Laborieusement, Orion note des définitions, qu’il rature et complète de son écriture maladroite. Les mots vont trop vite, il élabore des systèmes d’abréviation, des symboles. Il résout son problème comme il le peut. Son père le remet sur le droit chemin. Sont-ils trop exigeants, à le pousser à peiner seul avant d’oser leur en parler ? Le soir, Aldric Fleury s’émerveille de cette prise de notes désordonnée, certain de pouvoir transmettre son héritage Verbanae. Dans son lit, la poitrine de l’enfant se soulève au rythme régulier du dormeur épuisé.
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On frappe à la porte de la boutique. Orion et sa soeur entendent leur père descendre l'escalier en maugréant, une tartine à la main. Il reçoit toujours avec moult grognements les gens qui interrompent leurs moments en famille pour acheter des livres. Mais il se radoucit dès qu'il est question d'un livre qu'il connaît et a aimé. Cette fois, ils entendent des éclats de rire et dévalent l'escalier, certains de trouver leur mère revenant d'une expédition de soin aux créatures magiques. La dernière fois, elle soignait des dragons. « Mes petits magyar à crête ! Comme vous avez grandi ! » On rentre dans la boutique, on s'embrasse. Elle s'installe à table et comme à son habitude, elle ouvre son sac et en sort des souvenirs de voyage. « Ton père m'a dit que tu t'ennuyais pendant ces vacances et que tu étais sans cesse dans ses pattes. Je comprends que Poudlard te manque. Tu as déjà écrit à Cédric, à Dahlia et tes autres amis ? Bon. Je t'ai ramené un livre d'un auteur moldu -ne fais pas cette tête - qui a écrit des récits d'aventure. Je suis sûre qu'ils vont te plaire. Les moldus du livre n'ont pas de baguettes ou d'oghams, mais ils font preuve de beaucoup de débrouillardise. » La lecture peut enfin devenir un plaisir.
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Fleury Orion est un élève moyen mais plein de bonne volonté d'après ses enseignants. On loue sa patience et son sérieux. « Il y a une tradition familiale des runes, c'est bien cela ? » demande le professeur Chourrave lors d'un entretien d'orientation. « Oui, et ma mère descend aussi d'une tradition magique ... mais je n'aime pas trop en parler. C'est compliqué. On ne s'aime pas beaucoup. » « Vous n'êtes pas obligé de m'en parler, rassure le professeur. La fin des études est encore loin et je compte sur vous pour bien suivre les matières fondamentales, mais est-ce que vous avez déjà réfléchi à votre futur ? Reprendre la librairie familiale, peut-être ? » « Peut-être plus tard, mais je n'ai pas envie de rester enfermé. Ce que j'aimerais bien ... c'est voyager. Et je sais que Gringotts recrute des briseurs de sorts. Vous croyez que j'ai mes chances ? » « Je demanderai à Madame Vector ce qu'elle en pense mais je suis sûre que si vous continuez à travailler studieusement comme vous le faites, vous avez vos chances. »
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« T’as changé, Orion. T’es pas content pour nous ? » Patient Cédric, sensible Cédric qui s’arrange pour qu’ils soient seul à seul avant d’évoquer sa relation naissante avec Dahlia. Cela crève les yeux qu’Orion est jaloux. Dévoré par une rancœur qui lui ressemble peu, certain qu’elle s’est jouée de lui. La figure de style est sexiste et éculée, mais cela n’atténue pas sa peine. Il est hors de question de critiquer leur couple. Il tient à eux. Mais les voir ensemble et est au-dessus de ses forces et il les évite depuis qu’il les a vus s’embrasser. Ce n’est pas facile de prendre sur lui dans la salle commune. Il réussit à réduire drastiquement sa présence. Il ne peut rien pour les repas. Les voir se tenir la main lui donne la nausée. Il a perdu du poids en quelques semaines. Est-ce que quelque chose ne va pas chez lui ? Est-ce qu’il sera toujours le second couteau en présence de son meilleur ami ? Comment rendre cet amour pour Dahlia moins néfaste pour lui ? « Non, j’ai juste d’autres choses à faire. D’ailleurs j’ai un devoir à boucler, je suis pas du tout au point en métamorphose. Je suis content pour toi, Cédric. » Il est sincère.
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Le château a perdu tout intérêt depuis la mort de Cédric. Orion ne s'y sent plus à sa place, mais comment le pourrait-il alors que leur duo n'existe plus ? Il en vient à regretter de l'avoir laissé mettre son nom dans la coupe de feu. Aurait-il dû y aller à sa place ? Il lui serait arrivé la même chose ... Madame Pomfresh est incapable de soigner la douleur qu'il éprouve. Il postule chez Gringotts et se laisse envoyer à l'autre bout du monde, tandis que la situation empire en Grande-Bretagne. Suivant les conseils d'un livre, il fait voeu de silence, à l'exception des sorts qu'il faut parfois bien formuler car les oghams ou les mouvements de baguette seuls sont impuissants. Il se nourrit de paysages et de nombreux livres sur le deuil.
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- Je pense qu'il vaut mieux qu'on arrête, Orion. Je suis désolée. Je tiens beaucoup à toi, mais il n'y a pas de place pour moi dans ta vie. - De quoi tu parles, tu ... ? Il se rapproche mais elle s'écarte et Orion n'insiste pas. Cela va beaucoup lui manquer. Elle y a réfléchi. Orion est tendre, attentionné, charmeur. Mais ce serait faire l'impasse sur les problèmes qu'il a à régler de continuer cette situation. - Je parle de Dahlia Prewett. Je n'ai rien contre elle, précise-t-elle aussitôt. Orion s'est braqué pour prendre la défense de Dahlia. Elle sait que ce doit être un réflexe amoureux quelconque mais elle en a le coeur brisé. Tu as ta famille, tes amis, c'est déjà pas facile d'avoir une place ... Oh bien sûr, tu es toujours là pour moi mais ... Je sais que tu en aimes une autre. - C'est juste une amie ! Je ...[ - Je n'ai pas dit que tu étais infidèle. Merlin merci. Mais je sais que tu n'aimeras pas entièrement. Que tu la regarderas toujours ... de cette manière là. C'est juste une amie, mais tu lui dirais non, si elle voulait plus ? Il n'a plus rien à répondre. Bien sûr qu'il y a déjà pensé, qu'il en a déjà rêvé. Cela fait des années qu'il se consume d'amour. Il est sûr que c'est de l'amour., merci bien, il a assez lu de romans qui en parlaient. Mais il refuse de poursuivre Dahlia de ses avances, de perdre son statut de meilleur ami pour devenir un demi harceleur. Il a déjà essayé et a été rudoyé. Chat échaudé craint l'eau froid et lui le rejet. Il y a trop à perdre à sortir du bois et dévoiler son jeu, il espère qu'elle finira par venir vers lui. Ou qu'il soit délivré de cet amour. - Je te souhaite beaucoup de bonheur, dit-il d'une voix rauque. Ils s'enlacent une dernière fois. Il n'y a pas de larmes, pas de cris. C'est aussi ça, l'âge adulte. - Je te souhaite tout le bonheur du monde, Orion.
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« Comment se passe ta nouvelle vie de propriétaire terrien ? » demande-t-elle avec un regard pétillant. Ils se sont retrouvés dans un salon de thé qui embaume une délicieuse odeur de pain d'épices. La serveuse n'a eu d'yeux que pour lui, ragaillardie par cet air de famille qui ne trompe pas en frère et soeur. « Eh bien j'ai dû camper dans mon salon car je n'avais pas encore mes meubles. C'était affreux, j'avais l'impression de faire des heures sup et tout ça pour quoi ? Découvrir mes chaussettes sales de la veille ? » « Sortilège de puanteur. » Il fait mine de s’énerver. Il n'aimerait pas que la serveuse ait entendu cela. « Ca va, hein. Ho. Aucune de mes conquêtes n'a jamais formulé de plaintes à ce sujet. Tiens, je ne sais pas si je t'ai dit mais j'ai découvert une elfe de maison. La peur de ma vie. » « Ils ne l'ont pas mentionnée dans l'acte de vente ? » « T'en fais pas, elle ne fera pas monter le prix parce qu'elle est presque aveugle et quasiment sourde aussi. » « Qu'est-ce que tu vas faire ? » « Rien de plus. Je lui ai proposé un mi-temps thérapeutique, ce sera donnant-donnant. Quelqu'un va aérer la maison, arroser les plantes et nourrir les chats affamés en mon absence, j'aurais des repas chauds quand je rentre de mission elle pourra couler des heures heureuses les vingt-trois autres heures du jour. Or week-end où elle ne fait rien. » précise-t-il en resservant du thé. « C'est moins qu'un mi-temps. » « Ecoute, personne n'a légiféré sur le temps de travail des elfes de maison. J'innove en la matière. Sinon, j'ai aussi une liste des choses que je prévoyais d'acheter en vide-grenier moldu. Je te la lis parce que tu n'attendais que ça, je le sais bien. Un matelas (neuf), un sommier, une théière en fonte, un canapé et un fauteuil bien moelleux dans lesquels bouquiner, beaucoup d'étagères de bibliothèque, un tourne-disque moldu et des disques moldus, des flûtes à champagne. » « Ca aussi, c'est de première nécessité ? » raille-t-elle. « Comment veux-tu que j'organise une fête sans flûtes à champagne ? Tu me fais penser que je dois rajouter une table, ça peut servir. » « Il paraît, oui. » Il continue. « En première nécessité et demie, une hache. » « Pardon ? » s'étouffe-t-elle. « Oui, pour couper du bois. » « Un sortilège ne peut pas suffire ? » « Sue Hebbel coupe son bois dans Une année à la campagne et tous les héros de Jules Verne passent par là à un moment donné. Je ne vois pas pourquoi je n'en ferais pas autant. On est en août mais il faut que j'anticipe. En deuxième nécessité, des chaises et un piano à queue. » « J'aurais cru à une liste de livres longue comme le bras. » « Elle se trouve à l'onglet "livres" de ce formidable calepin dont je t'ai fait la lecture. Par contre tu peux demander deux autres théières le temps que je te la lise. Il referme le calepin d'un coup sec et se penche vers sa soeur avec un grand sourire. Elle sait qu'il prépare un mauvais coup. « Quoi qu'il en soit, j'ai loué une camionnette moldue pour ramener tout ça - tu te souviens qu'ils m'ont fait passer le permis de conduire chez Gringotts ? Comme il y a quelques heures de route, je me disais que tu accepterais volontiers de faire le trajet avec moi pour le bonheur de ma seule société. Tu veux bien ? On achètera une cassette pour écouter sur la route, ou trois parce qu'il y a quand même cinq heures de route. Ce sera bien, je t'assure. Je te paie une coupe de champagne à l'arrivée. Convaincue ? »
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Orion est ivre tout court mais aspire à être ivre de joie quand Dahlia vient trinquer avec lui. Il la soulève dans ses bras et la fait tourner, manquant de renverser leurs flûtes. - J'ai eu une idée sensationnelle. Tu vas voir, tu vas adorer, explique-t-il en la reposant à terre. Et si on se mariait ? On a manqué de bonnes occasions ces dernières années et imagine-nous raconter à nos petits-enfants que je t'ai fait ma demande pour le premier janvier deux mille ! Si tu ne veux pas d'enfants, j'en ferai un roman et je deviendrai un genre de Hemingway moins sexiste. - Tu n'es pas sérieux, Orion. Combien de verres as-tu bu ? Il aurait juré qu'elle a eu l'air d'hésiter. Dahlia s'écarte de lui comme s'il était pestiféré. Il reste seul avec le décompte des invités extatiques.
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Au village, on l’appelle la maison des saules. On pourrait aussi bien l’appeler le refuge des animaux tant ils sont nombreux à se montrer sur la lande dans les abords. C’est une maison traditionnelle, au toit de chaume. On ne saurait être sûr qu’elle est habitée. Certaines semaines, les fenêtres restent obscurcies. D’autres jours, la porte est ouverte, laissant échapper de la musique, et passer les chats errants qui viennent chercher tendresse et nourriture. Orion n’aime rien mieux que s’asseoir sur le perron et boire son thé le matin avant de commencer ses recherches. En hiver, il reste près de la cheminée. Quand il ne va pas ouvrir la porte pour accueillir les chats transis de froid qui grattent le bois. C’est une maison pleine de craquements qu’il aime retrouver lorsqu’il rentre d’expédition. La lande s’étend à perte de vue. Il s'y sent chez lui. Il y a des années de travaux à faire mais elle est déjà payée. Il peut retrouver un endroit qui sera chez lui si les choses tournent mal. Ici, on oublierait presque la guerre et ses morts. Il profite du lever du soleil quand on vient s’asseoir à côté de lui. Orion sait que l’elfe de maison est presque aveugle et qu’elle profite moins du paysage que de sa présence. Ils vivent paisiblement ensemble. « Tu as bien dormi, Twinkle ? » « Le maître est bon de poser cette question. J’ai bien dormi. Twinkle a fait des gaufres car elle sait que le maître aime beaucoup en manger. » En somme, c’est une très bonne journée qui s’annonce.
FT. Will Higginson ; Pseudonyme nutcracker ; Âge 25 ans ; Comment as-tu trouvé le forum ? Ma grande capacité de repérage de forums HP ; Un petit mot à ajouter ? C'est moi la joueuse amie de Dahlia J'ai finalement jeté mon dévolu sur cette famille de libraires ; Ta fréquence de connexion Quasi journalière, pour les rp ce sera moins fréquent. |
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hiboux : 3012 pictures :
TEATIME is always epic with englishmen | ALWAYS in love with his dear Lily | BOOKS lover | MAGISTER es potionis | Dim 16 Déc - 15:06 | Ah <3 un Briseur de sorts de la famille Flourish ! Je t'aime déjà <3
Bienvenue sur le forum ^^ Super choix de bouille et de famille, j'ai hâte de découvrir ton personnage <3
Sens toi libre de poser toutes les questions que tu veux, au besoin, tout le staff est là pour ça <3 |
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